Le passé est la graine du futur. Les documents Takenouchi. (7ème partie)

Des « pluriels » qui sont vraiment « singuliers » !
Dans le texte hébreu de la Bible, le mot « Elohim » est employé pour désigner ce que les exégètes traduisent par « Dieu », au singulier. Hors, « Elohim » est le pluriel de « Eloha » qui signifie : celui qui vient du ciel, le céleste. Le mot « Elohim » peut donc se traduire par : ceux qui viennent du ciel.
Parfois le texte hébreu utilise le mot « Adonaï » et les mêmes exégètes en font un mot singulier qu’ils traduisent par « Seigneur », alors qu’il est également un mot pluriel que l’on peut traduire par « Messeigneurs ». En effet, « Adonaï » (pluriel) dérive de « Adon » (singulier). Il ne s’agit pas de pluriel de majesté, de politesse, car cette notion n’existe pas en hébreu.
Il est donc vraiment intéressant et pour le moins curieux que les hébreux, qui sont le seul peuple monothéiste de l’antiquité, aient choisi ces deux pluriels pour désigner leur Dieu unique !
Un extrait tiré des documents Takenoushi qui constituent, comme nous l’avons vu, des archives de l’extrême antiquité, nous dit :
« Au commencement naquirent les étoiles dans l'univers en pleine expansion. Des hommes semblables aux dieux descendirent sur terre. Les dieux créèrent les hommes des cinq couleurs et leur apportèrent la civilisation et la terre fut peuplée d'êtres humains… »

Nous avons appris que les Sumera-Mikoto pouvaient voyager quasi instantanément vers chaque destination grâce aux Ameno-ukifune. En termes modernes, on désigne ces vaisseaux par les termes O.V.N.I (en français) ou U.F.O (en angalis).
Il existe des traces de leurs passages que l’on retrouve au sein de différentes cultures à travers le monde entier.
Un grand nombre d’entre elles évoquent des créatures qui seraient descendues du ciel.
Nous allons découvrir quelques exemples de cette réalité à travers les traces, les dessins, les peintures, les statues et les statuettes disséminées dans le monde.

La plupart de ces représentations sont très révélatrices.

Au 7ème siècle, à Palenque (Mexique), le corps du défunt roi Maya du nom de Pacal et d’une taille supérieure à la moyenne des habitants de l’époque, fut placé dans un sarcophage autour duquel une pyramide fut érigée.

Nous parlerons de cette découverte dans le prochain article. A suivre, donc !

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