D'une manière générale, la raison principale qui pousse la plupart des gens à recevoir un massage est à la fois de l'ordre du soin médical, d'un état de stress et du bien-être.
Du reste, on vient chez son praticien en massage pour une ou plusieurs raisons : douleurs, contractures et spasmes musculaires ; se rétablir après une blessure ; pour apaiser des maux de tête et des migraines ; pour soulager et gérer le stress ; pour faire face à une souffrance ou un mal-être d'ordre psychologique ; pour rester en forme et entretenir son bien-être ; ou tout simplement pour améliorer sa qualité de vie.
Le massage est ainsi perçu comme bénéfique pour la santé et le bien-être. A bon escient, puisque le massage peut être efficace pour diminuer les douleurs.
D'après l'American Massage Therapy Association (AMTA), si les personnes se faisant masser reçoivent en moyenne 4,1 massages par an, cette moyenne passe à 5,7 quand il s'agit de motifs médicaux.
En effet, de plus en plus de personnes se font masser non seulement pour le côté relaxant et choyant mais également pour accompagner leurs traitements médicaux.
On identifie alors clairement le massage comme une composante essentielle de la santé, parallèlement au bien-être qu'il procure.
A raison, les professionnels de santé ne considèrent pas le massage bien-être comme une forme de traitement à part entière. En revanche, tous s'accordent à dire qu'il apparait comme une aide légitime pour les patients qui en bénéficient.
En effet, environ une personne sur deux sera encouragée à recevoir un massage bien-être dans le cadre de son traitement.
C'est le cas par exemple dans le traitement du cancer. Il est admis que grâce à ses effets physiologiques et psychologiques, un massage bien-être adapté peut soulager certains symptômes provoqués par le cancer et les traitements, tels que : les nausées, la douleur, la fatigue, l’anxiété, le stress et la dépression. Il permet également d’augmenter le degré de relaxation, la qualité du sommeil et la réponse du système immunitaire. En conséquence, il peut améliorer de façon significative l’humeur des malades.
Ces bénéfices supposés peuvent être transposés à d'autres pathologies telles que la maladie de Parkinson, la fibromyalgie, la maladie d'Alzheimer et certaines maladies mentales. Sans mettre de côté les contre-indications habituelles qui feront l'objet d'un prochain article, le massage s'inscrit dans la pluralité des disciplines médicales autour du patient.
Le praticien en massage bien-être intervient en complément et ne se substitue en aucun cas aux traitements des intervenants médicaux.
Sylvain Donard
21 Octobre 2014
(Source : American Massage Therapy Association)
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de ‘épanews’.
Rejoindre épanews (c'est gratuit)