Le Chemin n'est pas linéaire, mais en forme de spirale, une spirale penchée où les cercles tombent dans l'obscurité et passent dans la hauteur de la lumière.
À chaque révolution c'est plus lumineux.
Son mouvement continuel nous mène de la périphérie vers l'axe, le centre, et du centre vers la périphérie, de la surface extérieure vers la profondeur abyssale du noyau et de là à nouveau vers la périphérie.
Sans cesse nous nous sentons attirés vers le centre, appelés par lui mais, en même temps, envoyés dehors, au large.
C'est le mouvement même du Souffle qui nous habite et dans son va-et-vient permanent nous saisis tout entiers, nous pénètre des couches les plus extérieures vers les couches les plus profondes et des couches les plus profondes vers celles qui sont extérieures, il nous "hominise" et nous divinise...
Karlfried Graf Dürckheim
Site l'armure et l'amour
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de ‘épanews’.
Rejoindre épanews (c'est gratuit)