Composition nutritionnelle des champignons
Les champignons contiennent 80 à 90% d’eau en moyenne, mais également des nutriments essentiels et des fibres alimentaires.
 
Beaucoup d’eau

Les champignons contiennent 80 à 90% d’eau en moyenne. Ce pourcentage descend à 50% pour la Truffe Noire Tuberosum Melanosporum. Mais les champignons les plus aqueux, comme les Coprins Coprinus comatus, contiennent 96% d’eau.

Très peu de calories

Les champignons amènent en moyenne 25 kcal pour 100 grammes. Cette valeur énergétique est à peu près équivalente à celle des légumes verts.

Haricot vert 25
Asperge 26
Champignon 25
Lait entier 65
Avocat 167
Agneau 339

Valeur énergétique de quelques aliments, en kcal pour 100 grammes

Des fibres alimentaires et de l’amidon

Le terme « fibres alimentaires » regroupe l’ensemble des composants qui ne sont pas digérés par les enzymes du tube digestif.

On distingue deux types de fibres selon leurs propriétés: les fibres solubles et les fibres insolubles. Tout comme les légumes verts, les champignons sont de bonnes sources de fibres insolubles.

L’amidon est un sucre lent : il est composé de plusieurs molécules de glucose. L’amidon est une molécule de réserve d’énergie pour les végétaux et un composé essentiel de l’alimentation humaine.

Les fibres alimentaires insolubles et l’amidon résistant sont des alliés de la santé car:
- les fibres alimentaires insolubles aident au transit intestinal en absorbant l’eau et augmentent également la sensation de rassasiement.
- l’amidon est important pour la santé intestinale car il « nourrit» les bactéries du tube digestif

Le champignon : relativement riche en protéines

Les champignons contiennent 2 à 5 % de protéines. C’est un des légumes les plus riches en protéines. Mais rappelons que les champignons contiennent environ 10 fois moins de protéines que la viande. Ainsi, un homme de 70 kg devrait consommer près de 2,5 kg de pleurotes par jour (Pleurotus eryngii) pour couvrir les besoins nutritionnels conseillés en protéines !

Bœuf 20,2
Champignon 2
Haricot vert 1,6
Tomate 1,1

Teneur en protéines de quelques aliments, en grammes pour 100 grammes

Caroténoïdes

Les champignons colorés sont une source importante de caroténoïdes. Ils sont particulièrement riches en canthaxanthine qui est un antioxydant.

Vitamines

Les champignons sont sources de vitamines. Ils apportent surtout des vitamines du groupe B (B2, B3, B5) et de la vitamine D.

La vitamine B2 est aussi appelée riboflavine. Elle joue un rôle dans le métabolisme de l’énergie de toutes les cellules et contribue à la croissance et à la réparation des tissus. Elle intervient également dans la production d’hormones et dans la formation des globules rouges.

La vitamine B3 est la niacine. Elle contribue à la production d’énergie à partir des glucides, lipides, protéines et alcool. Cette vitamine participe aussi au processus de formation de l’ADN.

L’acide pantothénique est la vitamine B5. Elle fait partie d’un coenzyme qui permet l’utilisation optimale de l’énergie des aliments que nous ingérons. La vitamine B5 participe également à la synthèse des hormones stéroïdienne, des neurotransmetteurs et de l’hémoglobine.

Enfin, la vitamine D est importante pour la santé des os et des dents en rendant le calcium et le phosphore disponible dans le sang. Elle joue aussi un rôle dans la maturation des cellules immunitaires. Les champignons sauvages contiendraient plus de vitamine D que les champignons cultivés car produisent plus de précurseur de la vitamine D2.

Certaines espèces de champignons apportent plus de micronutriments que d’autres. La chanterelle par exemple est le champignon qui contient le plus de vitamine B3 et de vitamine D.

Sels minéraux

Les champignons apportent également des minéraux comme le cuivre, le sélénium ou le potassium, à hauteur de 10% de la matière sèche.

Le cuivre est nécessaire à la formation d’hémoglobine et de collagène (une protéine intervenant dans la structure et réparation des tissus). Egalement, plusieurs enzymes contenant du cuivre participent à la défense du corps contre les radicaux libres. Quelques espèces montrent la présence relativement abondante de cuivre, comme Cantharellus cornucopoides, Hydnum repandum, Tricholoma squarrulosum, Amanita caesarea, mais la grande majorité des champignons en est totalement dépourvue.

Le sélénium entre dans la constitution d’une des principales enzymes antioxydante et contribue à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme actives.

Le potassium participe à la protection contre l’hypertension artérielle et à la restauration de l’équilibre acido-basique.

Les champignons possèdent généralement une faible teneur en sodium, et conviennent donc au régime des hypertendus.

 
 

Visites : 570

Commentaires bienvenus

Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de ‘épanews’.

Rejoindre épanews (c'est gratuit)

Commentaire de Minoucha le 17 Février 2013 à 19:07
En savoir plus
Sites internet et articles scientifiques sur les champignons et leurs vertus pour la santé.
 
Sites internet

• Santé Canada. Avis de Santé Canada concernant l’emballage des champignons frais
www.afssa.fr
www.passeportsanté.net
www.la nutrition.fr
www.virtualmuseum.ca/Exhibitions/Mushroom/Francais/index2.html
• National Library of Medicine (Ed). PubMed, NCBI.www.ncbi.nlm.nih.gov
www.naturalstandard.com.
http://www.elements4health.com/pdf/shiitake-mushrooms.pdf

Articles scientifiques

Champignons et cancer

• GAO Y., ZHANG D., SUN B. (2006). Active hexose correlated compound enhances tumor surveillance though regulating both innate and adaptive immune responses. Cancer Immunology Immunother. Volume 55, pp. 1258-1266
• KIDD P.M. (2000). The use of mushroom glucans and proteoglycans in cancer treatment. Altern Med Rev. Volume 5, numéro 1, pp. 4-27.
• BORCHERS A.T., KEEN C.L., GERSHWIN M.E. (2004). Mushrooms, tumors and immunity: an update. Exp Biol Med. Volume 229, numéro 5, pp. 393-406.
• SLIVA D. (2003). Ganoderma lucidum (Reishi) in cancer treatment. Integr Cancer Ther. Volume 2, numéro 4, pp.358-64.
• KODOMA N., KOMUTA K., NANBA H. (2003). Effect of Maitake (Grifola frondosa) D-Fraction on the activation of NK cells in cancer patients. J Med Food. Volume 6, numéro 4, pp.371-7.


Champignons et cancer du sein

• GRUBE B.J., ENG E.T., KAO Y.C., KWON A., CHEN S. (2001). White button mushroom phytochemicals inhibit aromatase activity and breast cancer cell proliferation. The journal of nutrition. Volume 131, pp. 3288-3293
Champignons et cancer de la prostate
• COLLINS L.(2006). Phellinus linteus sensitises apoptosis induced by doxorubicin in prostate cancer. British Journal of Cancer. Volume 95, pp.282-288


Champignons et maladies cardiaques

• SHIMADA S., KOMAMURA K., KUMAGAI H., SAKURAI H. (2004). Inhibitory activity of shiitake flavor against platelet aggregation. Biofactors. Volume 22, numéros 1-4, pp. 177-9.


RESUMES DES ARTICLES SCIENTIFIQUES

• GAO Y., ZHANG D., SUN B. (2006). Active hexose correlated compound enhances tumor surveillance though regulating both innate and adaptive immune responses. Cancer Immunology Immunother. Volume 55, pp. 1258-1266
L’objectif de cette étude est d’évaluer l’impact de l’AHCC (Active Hexose Correlated Coumpound) sur le système immunitaire et le développement des tumeurs. L’AHCC est un extrait de champignons. Plus particulièrement, c’est un mélange de polysaccharides, d’acides aminés, de lipides et de minéraux issus de plusieurs espèces de champignons Basidiomycètes. Pour savoir si l’AHCC a un rôle protecteur vis à vis des tumeurs, les chercheurs ont mesuré la production de deux cytokines, interféron (IFN-y) et tumor necrosis factor (TNF-a) sur des périodes de 30 et 60 jours. Ces cytokines sont produites par des globules blancs et utilisés par l’organisme pour prévenir la croissance anormale des cellules cancéreuses. Les résultats montrent que la production d’IFN-y et de TNF avait augmenté dans les quatre semaines suite à la prise d’AHCC et que la stimulation du système immunitaire continue pendant au moins quatre semaines après que la consommation d’AHCC ait été arrêtée. L’extrait de champignon renforcerait donc le système immunitaire et aiderait à lutter contre l’apparition du cancer.

• KIDD P.M. (2000). The use of mushroom glucans and proteoglycans in cancer treatment. Altern Med Rev. Volume 5, numéro 1, pp. 4-27.
Plus de 50 espèces de champignons montrent une activité anticancer dans les modèles in vitro ou chez l’animal. Cette propriété est due aux glycanes et protéoglycanes de ces champignons. L’effet sur le cancer humain de six espèces a été étudié. Les protéoglycanes mis en jeu sont : le lentinane, schizophyllane, AHCC, fraction D du maitake, polysaccharide K (PSK) et polysaccharide-peptide (PSP). Le PSK et PSP, du champignon Coriolus versicolor, sont les plus prometteurs. Au Japon depuis 1970, le PSK augmente la survie des malades du cancer de l’estomac, du colon, du rectum, de l’œsophage, du poumon de cinq ans et plus. Le PSP augmente également significativement la durée de vie des patients du cancer de l’œsophage de cinq ans. Le PSP améliore la qualité de vie en soulageant la douleur, et en augmentant les défenses immunitaires. Le PSP et PSK boostent la production de cellules immunitaires, sont compatibles avec le traitement par chimiothérapie et en diminuent les effets secondaires. Les champignons contenant ces protéoglycanes peuvent donc faire partie intégrante de notre alimentation.

• BORCHERS A.T., KEEN C.L., GERSHWIN M.E. (2004). Mushrooms, tumors and immunity: an update. Exp Biol Med. Volume 229, numéro 5, pp. 393-406.
Les auteurs de cette étude passent en revue les principaux articles traitant des champignons et leur action sur les cancers ou le système immunitaire. Il a été montré que certains champignons stimulent les réponses immunitaires, du fait de leurs polysaccharides, particulièrement lorsque ces derniers sont étudiés in vitro. Ces différents polysaccharides des champignons sont efficaces à différents dosages : de 10 mg/kg à 1000 mg/kg. Ces études sont importantes mais les auteurs de l’article restent prudents sur les effets bénéfiques des champignons. D’une part peu car d’études épidémiologiques et expérimentales sont disponibles, et d’autre part du fait de la possible présence de métaux lourds, incluant l’arsenic, le plomb, le cadmium et le mercure, tout comme la présence de contamination radioactive. Les auteurs concluent sur la nécessité de poursuivre l’évaluation des effets des champignons ou extraits de champignons sur le système immunitaire.

• SLIVA D. (2003). Ganoderma lucidum (Reishi) in cancer treatment. Integr Cancer Ther. Volume 2, numéro 4, pp.358-64.
Le champignon comestible Ganoderma lucidum (Reishi) est un champignon populaire qui a largement été utilisé pour la promotion de la santé et la longévité dans les pays Asiatiques. La poudre sèche de Ganoderma lucidum était connue en tant qu’élément de la chimiothérapie en Chine ancienne. Les auteurs de cette étude ont montré que Ganoderma lucidum supprime l’adhésion et la migration des cellules du cancer du sein et de la prostate, hautement invasives. Ceci suggère son potentiel à réduire l’invasion des tumeurs. Ainsi, Ganoderma lucidum, pris en supplément dans l’alimentation, aurait un potentiel thérapeutique pour les cancers du sein et de la prostate. Les auteurs terminent en soulignant que d’autres tests, pour étudier l’activité biologique de ce champignon de manière complète, sont néanmoins nécessaires.

• KODOMA N., KOMUTA K., NANBA H. (2003). Effect of Maitake (Grifola frondosa) D-Fraction on the activation of NK cells in cancer patients. J Med Food. Volume 6, numéro 4, pp.371-7.
Il a déjà été démontré que la fraction D du champignon Maitaké pouvait potentiellement réduire la taille des tumeurs du poumon, du sein et de la vessie chez l’homme. Dans cette étude, les auteurs ont donné de la fraction D du Maitaké à des personnes malades du cancer, qui ne prenaient pas de médicaments. Parallèlement, ils ont suivi l’activité des cellules NK, des globules blancs, pour voir si leur activité était directement reliée à la progression de la maladie. Les résultats montrent que la fraction D du Maitaké freine la progression métastatique, diminue l’expression des marqueurs de la tumeur et augmente l’activité des cellules NK sur tous les patients examinés. Ainsi, la fraction D du Maitaké semble réprimer la progression du cancer à travers la stimulation du système immunitaire, et notamment avec l’activation de cellules NK.

• GRUBE B.J., ENG E.T., KAO Y.C., KWON A., CHEN S. (2001). White button mushroom phytochemicals inhibit aromatase activity and breast cancer cell proliferation. The journal of nutrition. Volume 131, pp. 3288-3293
Les estrogènes jouent un rôle majeur dans le développement du cancer du sein. L’aromatase est une enzyme qui augmente le taux d’estrogènes et pourrait ainsi jouer un rôle déterminant dans la prolifération des tumeurs. Or il a été démontré que des composés naturels comme les flavones ou isoflavones ont des effets inhibiteurs sur l’activité de l’aromatase. On peut donc penser que certains légumes qui contiennent ces composés peuvent inhiber l’activité de l’aromatase et supprimer la prolifération des cellules cancéreuses du sein. Les auteurs se sont ainsi intéressés à l’interaction entre des extraits de légumes et l’aromatase. Sept légumes ont été sélectionnés: oignon vert, céleri, carotte, poivron, brocoli, épinard, champignon. Des extraits aqueux de ces légumes ont été mis au contact de l’aromatase, dans des concentrations allant de 10 à 200 nmol/L. C’est le champignon blanc, Agaricus bisporus, qui montre le plus de résultat : c’est un inhibiteur potentiel de l’aromatase. Pour voir si l’inhibition de l’aromatase était spécifique au champignon blanc, 10 autres espèces de champignons ont été testées. Ceux qui ont le plus fort potentiel d’inhibition sur l’aromatase sont : le shiitake, le champignon blanc, le portabello et le crimini. Les résultats suggèrent qu’une alimentation riche en champignons peut moduler l’activité de l’aromatase et réduire in situ la production d’estrogènes. Egalement, la cinétique des enzymes suggère la présence d’inhibiteurs multiples, ou plus d’un mécanisme inhibiteur.

• COLLINS L.(2006). Phellinus linteus sensitises apoptosis induced by doxorubicin in prostate cancer. British Journal of Cancer. Volume 95, pp.282-288
Dans cette étude, les auteurs se sont intéressés un champignon, Phellinus linteus, et son impact sur le cancer de la prostate. Les chercheurs ont additionné des extraits de ce champignon à un médicament souvent utilisé pour traiter le cancer de la prostate, la doxorubicine. Les doses de doxorubicine utilisées étaient trop faibles pour avoir un effet sur les cellules cancéreuses. Or les cellules tumorales ont été détruites. De plus, aucune cellule saine n’a été endommagée. Dans une chimiothérapie classique les substances anti-tumeurs ne sont pas capables de faire la différence entre les cellules malades et celles non atteintes. De nombreuses cellules normales sont ainsi tuées, entraînant des effets secondaires plus ou moins contraignants comme une grande fatigue, une perte des cheveux…Les résultats de cette étude montrent donc que l’association du Phellinus linteus à la doxorubicine pourrait permettre de réduire les doses de composés chimiothérapiques utilisés dans les thérapies. L’effet soigneur serait le même, mais le traitement serait moins toxique et par conséquent moins contraignant à suivre.

• SHIMADA S., KOMAMURA K., KUMAGAI H., SAKURAI H. (2004). Inhibitory activity of shiitake flavor against platelet aggregation. Biofactors. Volume 22, numéros 1-4, pp. 177-9.
La lenthionine est un composé cyclique sulfurique du champignon shiitaké. Ce composé possède des similarités avec les sulfides de l’ail. Or ces derniers sont connus pour leur activité inhibitrice contre l’agrégation des plaquettes. Les auteurs se sont donc intéressés à l’activité inhibitrice du champignon shiitaké sur l’agrégation de plaquettes. Les chercheurs ont extrait l’huile essentielle du shiitaké, dont le composé principal est la lenthionine. Et les expériences ont été réalisées avec des échantillons de sang de volontaires en bonne santé âgés de 21 à 25 ans. Les résultats montrent que l’agrégation des plaquettes est inhibée par l’huile essentielle du shiitaké. Egalement, les effets de la lenthionine de synthèse étaient presque équivalents à ceux de l’huile essentielle. L’inhibition de l’agrégation plaquettaire de l’huile essentielle de shiitaké serait donc majoritairement due à la lenthionine.
 
Commentaire de Minoucha le 17 Février 2013 à 19:04
Conservation et préparation des champignons
Les champignons frais se gardent au réfrigérateur, une semaine maximum. Les champignons surgelés possèdent quasiment les mêmes propriétés nutritionnelles que les champignons frais. On peut les accommoder de différentes façons.
 
Conditions de conservation

Les champignons peuvent être frais, en conserve ou surgelés.

Les champignons en conserve contiennent quasiment autant de nutriments que les champignons frais, mais leur teneur en sodium peut être élevée. Il est donc préférable de les rincer avant de les consommer.

Les champignons gardés au congélateur ont été surgelés très rapidement après la cueillette. Par ailleurs le procédé de surgélation est très rapide pour ne pas endommager les produits. Ils possèdent donc quasiment les mêmes propriétés nutritionnelles que les champignons frais.

Enfin, les champignons frais peuvent être directement cueillis ou achetés au supermarché. Un champignon dont le chapeau est complètement refermé sur le pied est signe qu’il est frais. S’ils sont achetés frais, veillez à ce qu’ils soient dans un emballage perforé qui permet la circulation de l’air et une meilleure conservation.

Dans tous les cas, les champignons frais se gardent au réfrigérateur, une semaine maximum. Mieux vaut les mettre dans des sacs en papier que dans des sacs en plastique, car ces derniers accélèrent la détérioration des champignons.

De bonnes conditions de conservation des champignons frais sont importantes. En effet, certains champignons peuvent contenir une bactérie qui peut mener à une intoxication alimentaire en cas de conditions de conservation inadaptées.

Enfin, les champignons retiennent très facilement les odeurs du fait de leur texture poreuse. Ils retiennent les parfums des fines herbes, c’est pourquoi ils sont très appréciés en cuisine, mais aussi les parfums des autres aliments dans le réfrigérateur. C’est pourquoi mieux vaut les tenir à l’écart des aliments très odorants.

Modes de préparation

Les champignons peuvent être :

- cuits à blanc, 5 à 10 minutes dans l’eau bouillante
- sautés à la poêle, il faut compter environ 5 minutes pour que les champignons soient dorés
- grillés, 4 à 6 minutes de chaque côté
- farcis, si les champignons sont de taille suffisante
- être consommés crus à la vinaigrette pour les Champignons de Paris

Dans tous les cas, il est conseillé de ne pas laisser tremper les champignons frais avant de les préparer pour ne pas qu’ils perdent leur saveur. Passez-les rapidement sous l’eau courante ou frottez-les avec une petite brosse.
 
Commentaire de Minoucha le 17 Février 2013 à 18:53

Communauté

Rejoignez notre communauté pour partager textes, photos et vidéos sur le thème du développement personnel.

À découvrir

Stages, formations, etc.

Annonces gratuites

© 2024   ↑ Menu | Créé par l'association épanews    

Liens  |  Signaler un problème  |  Conditions d'utilisation