Vous êtes invité à lire ce texte avec votre cœur. Laissez-vous imprégner par ces mots, votre cœur les reconnaîtra. Si votre mental proteste, demandez-lui une trêve de quelques minutes, le temps de vous laisser toucher par une vérité que vous connaissez déjà. Vous êtes en exil dans votre ego ; la réunification est attendue d’un instant à l’autre.
Il existe un trésor inestimable d’une splendeur bien au-delà de tout ce que vous pouvez imaginer. Ce joyau est d’une beauté inimaginable, d’une vastitude infinie, Vous ne pouvez le capturer ni le posséder. Si vous le faisiez, cela le réduirait à l’état de quelque chose. Ce n’est pas quelque chose, c’est avant toutes les choses.
Vous ne pouvez voir ce joyau car ce n’est pas un objet, c’est un sujet.
Ce sujet c’est VOUS. Vous Lumière et Amour. Vous la Totalité. Toute manifestation est votre expression. Rien de ce qui existe n’est étranger à vous, tout est en vous et par vous.
Avez-vous réalisé cela ?
Si oui, vous avez découvert qui vous êtes, votre véritable nature, le Soi.
Si non, une découverte inestimable vous attend. Cette découverte passe par la réalisation que ce que vous croyez être vous est une illusion. Cette réalisation libère du fardeau de la misère humaine.
Lorsque la limitation du « je » est vue, lorsque vous réalisez qu’il est impossible de vous en sortir seul, lorsque vous êtes torturé par l’impuissance et la solitude, le lâcher prise s’impose.
Il est fréquent de se réfugier dans le passé ou le futur pour fuir sa réalité intérieure. Ce fonctionnement génère beaucoup de souffrance. Tôt ou tard vous devrez faire face à ce qui est.
Accueillez ce qui est là pour vous ici et maintenant, il n’y a rien d’autre à faire.
Le bonheur n’est pas ailleurs ni demain. C’est ici et maintenant.
Êtes-vous habité par la certitude que la vie est autre chose que ce que vous vivez ?
Sentez-vous cet appel de liberté et de vérité qui brûle en vous ? Si oui, ne cessez pas d’y croire. La ferveur de votre intention est votre phare. Ne cherchez pas à l’extérieur, cherchez à l’intérieur, derrière le chercheur.
Vous découvririez un espace où rien n’existe, rien d’autre qu’une présence aimante et lumineuse. Cette présence c’est Vous.
Être simplement ici et maintenant en mettant votre attention sur l’espace d’où émergent les pensées permet de goûter la simplicité d’être. C’est tellement simple.
L’éveil n’est pas pour demain, ni pour des êtres spéciaux. C’est pour tous, ici et maintenant. Vous êtes déjà éveillé !!! Votre individualité ne l’a juste pas encore réalisé. Prenez un instant et écoutez le SILENCE, plongez et appréciez ce SILENCE, il a peut-être quelque chose à vous dire.
Ne parlez pas… Chut…
Laissez-Le vous parler… Écoutez
Source : le beau doit être notre monde Facebook
Commentaires bienvenus
Et bien, moi, j'écris pour m’exercer à l'écriture et tendre un "miroir" à autrui.
Ravie de vous décontenancer !!!!
j'écris pour vous faire parler et ça fonctionne ! excellent !!!!
Pépite, vous me décontenancez.
Que ce soit "très clair" pour vous, j'en suis ravi pour vous.
Celui qui a écrit que chacun à "sa propre réalité", n'est, probablement, pas l'inventeur de l'eau chaude.
Si je (et autrui, sans doute) ne peuvent comprendre vos écrits, ceci est possible, mais alors, pourquoi écrivez vous ?
Mais, il est demandé de lire ce texte avec le cœur…
C'est bête, je l'ai lu avec ma conscience, c'est très bête de ma part.
Je le conçois, maintenant.
A mois que … lire avec le cœur et écrire pour ne être compris d'autrui, c'est …. prendre autrui pour … autre qu'il est.
c'est très clair pour moi.
Je rêve tout éveillée de ce que j'aimerais vivre dans un futur proche... n'essayer pas de comprendre mes écrits.
cela me fait penser à un texte que j'ai lu dans lequel l'auteur dit que chaque personne a sa propre réalité.
C'est pour cela que vous ne pouvez pas comprendre mes écrits, ils collent à ma réalité....
Pépite, je vous invite à penser vos écrits :
"Penser au futur cela rassure...car je rêve....".
Y voyiez vous de la cohérence et/ou de l'incohérence ?
Penser au futur cela rassure...car je rêve....
Si le silence parle, maintenant, "on est mal".
Oui, mais ce n'est pas simple.
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