On a souvent l’impression que la distance qui nous sépare du bonheur est immense, voire incommensurable.
On croit que nous serons heureux quand nous aurons rencontré l’âme sœur, quand nous changerons d’emploi, quand nos problèmes financiers seront réglés, quand nous aurons recouvré notre santé, quand nos conflits seront terminés.
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On s’imagine que ces manques ou ces difficultés constituent des obstacles à notre bonheur et qu’ils le repoussent constamment. Nous imaginons souvent le bonheur dans le futur car il semble nous échapper dans le présent. Si nous attendons après le futur pour être heureux, nous ne le serons jamais ici maintenant!
Car la distance qui qui nous sépare de notre bonheur est une illusion. C’est à l’intérieur de nous que le bonheur existe, pas dans les événements extérieurs. Si nous revenons constamment au centre de nous-mêmes, nous découvrirons qu’il est toujours possible de toucher au bonheur, même dans les difficultés.
C’est un défi, certes, quand nous avons passé toute notre vie à attendre après le bonheur, mais c’est possible si nous nous branchons sur notre âme. Nous pouvons choisir de voir le bonheur, même par toutes petites doses dans notre quotidien si nous faisons l’effort de le faire.
Nous pouvons revenir à cet état de grâce, comme l’enfant qui pleure un instant et qui rit le moment d’après.
Évidemment, ça demande tout un reconditionnement face à l’éducation que nous avons reçue, mais quand nous développons cette aptitude, nous savons hors de tout doute que le bonheur est un choix de vie.
Commentaires bienvenus
Bonjour,
Connaissez la technique de "vision sans tête" selon Douglas Harding. C'est immédiat pour revenir à son centre et c'est une superbe découverte.
Pour aller plus loin : le livre de José Le Roy "s'ouvrir à la vacuité".
https://www.bonnes-habitudes.fr/
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