Bonjour,

En venant de lire un article sur Le Figaro, j'apprends que le journal, Charlie Hebdo. a publié une "une", caricaturant Nadine Morano.

Voici la page :

Mais, c'est un commentaire (YvesB) qui m'a donné l'idée d'ouvrir une discussion suite à cela. Combien, vont se constituer "je suis trisomique" ?

Car, comme le disent les associations des concernés, le handicap, contrairement à la religion et la politique, n'est pas un choix.

Il ne s'agit pas de condamner ou juger quoi que ce soit, mais de savoir si autant se sentent toujours autant concernés par la liberté d'expression, mais celle de tout le monde, y compris des handicapés qui n'ont pas à être utilisés comme échelle de mesure négative.

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Commentaire de Katy le 13 octobre 2015 à 19:10

Lorsque vous serez disposé à répondre, on pourra parler de discussion.

Je suis de votre avis sur au moins, un point : j'ai déjà passé trop de temps à vouloir converser avec vous.

Commentaire de Lovyves le 13 octobre 2015 à 19:00

Après ce long monologue, il ne manque plus que les questions (du questionnement), et là, ceci commencerait à devenir philosophique.

Commentaire de Katy le 13 octobre 2015 à 15:43

Cette assertion selon laquelle « tout n'est qu'illusion » est à manier avec beaucoup de précautions, car, elle ouvre la porte à l'acceptation du délire comme réalité et sape toutes les constructions de la pensée humaine.

Dire tout n'est qu'illusion, peut faire référence à la nature potentiellement énergétique de toute chose, pour autant une énergie, n'est pas une illusion (qui est une production du sujet).



Le fait de balayer tout support tangible, outil de la pensée humaine et qui lui permet de se construire et garder sa cohésion, revient à jouer à l'apprenti sorcier et j'appuye sur « apprenti » car, même l'idée d'inconstance de la réalité est une construction humaine et donc soumise à interprétations subjectives : rien ne permet d'affirmer de façon certaine qu'il y ait rien plutôt que quelque chose.

D'ailleurs nombres de « manipulateurs » s'engouffrent dans la brèche pour faire accepter leur illogisme (pour ne pas dire délire) et déstabiliser l'autre afin de le transformer en marionnette.



Les seuls outils dont nous disposons sont ceux que la nature nous a confiés : les perceptions, capacités d'analyse et affect (qui permet de discriminer les gens avec lesquels on peut cheminer et ceux qui représentent un danger potentiel. Qui permet de garder en mémoire...et est une constituante des processus de pensées, même abstraites) et même si ils sont imparfaits (nécessite de se voir affinés ou corrigés par des démonstrations, constations, informations), ils constituent une réalité, celle qui a été prévu pour l'humain, en tout cas, comme fondation de sa pensée.

Avec une assertion telle qu'il n'y a pas de réalité, il est tout à fait possible d'en arriver à : « la paix c'est la guerre » et, il est facile d'observer que cela est de plus en plus utilisé par les dirigeants (mais aussi tout individu qui s'érige en maître à penser).



En plus, dans un cas comme celui-ci, dire qu'il n'y a pas d'insultes, revient à nier ce que ressent l'autre, à nier sa parole et au final à pratiquer une censure bien plus insidieuse et sournoise que la coercition dictatoriale « classique ».

Pour autant, à en voir vos réactions, vous êtes loin de « l'insensibilité » que vous semblez tant défendre, puisque le moindre mot négatif à votre encontre suscite des réactions, tantôt vives, ou amères ou en tout cas, loin d'un individu qui considère que tant qu'il n'y a pas mort d'homme rien n'est grave. Avec en sus, une tendance à la victimisation : je suis un imbécile ou un tel a dit, écrit, laissé entendre.

Peut être ne considérez-vous pas « l'autre » (interlocuteur, en tant que sujet de débat...) comme un semblable ? Et peut être que le problème est là (c'est ce que je pense pour être honnête : vous vous considérez supérieur à la plupart des gens. Vous répétez trop que je vous prend pour un imbécile, alors que rien dans mes propos ne porte à déduire cela. Bien au contraire, vos commentaires à l'encontre des miens -apparemment pas que les miens- sont souvent bien plus condescendants que les miens).

Qui considère l'autre comme un imbécile au juste ?

Si vos commentaires sont à chaque fois perçus, selon vous, à côté de l'objectif qu'ils sont censés suivre, arrive un moment où la question s'impose : l'outil que j'utilise, est-il approprié ? Et cela autant dans son élaboration (construction) qu'utilisation.

L'auto-critique est une marque d'intelligence, si ce n'est la plus répandue chez les gens dits « très intelligents », d'où d'ailleurs leur malaise (je ne vais pas détailler, ce n'est pas le propos). L'arrogance n'étant qu'un habit interprétatif et subjectif ; puisque l'on met la notion de « valeur » entre soi et l'autre, mais sans mentionner quoi que ce soit. L'autre perçoit juste la barrière, et laisse la possibilité à « l'auteur de la discordance » de tout nier en bloc .

Pour quelqu'un qui remet sans cesse en cause la notion, même, de valeur...c'est antinomique.



Il y a une disparité trop grande entre ce que vous définissez comme votre démarche, votre objectif, et, vos propres réactions, face à ce que vous considérez comme relatif chez les autres.

Encore une fois, je ne ressens ni colère, ni quoi que ce soit en écrivant cela. Il s'agit juste d'un constat, assorti de questionnements.

Commentaire de Lovyves le 13 octobre 2015 à 10:36

Cher Bougeoir,
Je répète ici, pour la .... dixième fois, peut être plus, que je juge, uniquement, ce qui est écrit, pas la personne.
Est-ce clair ?
Est-ce compréhensible ?
Si c'est non, je peux donner plus d’explication.
Si oui, alors comment se fait il que ceci est toujours remis en cause ?

Peut être Cher Ami, que vous ne savez pas dissocier l'importance entre la parole, du vent, des idées très limitées avec l'être que vous êtes, unique, très important ?
Tout s'apprend.

Qu'est ce que j'ai commenté, jugé :
"C'est lundi, je dois être fatigué, très fatigué mais je n'arrive pas à trouver...".
Est ce vrai ?
.. est ce vrai ?

Oui Nathie, paix et amour.
La paix et l'amour c'est d'abord entendre, prendre en compte ce que l'autre a dit. Et aussi, entre autre, être vrai.

Je respecte ceux que ces dessins ne font pas rire.
Qu'ils ne rient pas, c'est leur affaire.
Mais, de là, à dire qu'eux sont dans conscience, le respect, oui, par rapport à eux.
Si c'est pour les autres, je confirme : dictature.
Tant que je ne porte pas atteinte physique à autrui : Tout est illusion, dérisoire.

Commentaire de Lovyves le 13 octobre 2015 à 9:05

Bonjour à Tou(te)s
Après tous ces commentaires.
je me permets une conclusion.
Aucune cause (idéologie, dessin, insulte) ne justifie la souffrance (physique) ou la mort d'un seul être humain; même si le destin de l'humanité est en jeu.
Si je ne peux pas rire de tout, c'est que je suis en une société dictatoriale (quels que soient les "bons sentiments" des membres de cette société).

Commentaire de Lovyves le 12 octobre 2015 à 8:39

Ami Bougeoir, c'est pas beau de mentir.
Il me semblait que mentir était considéré comme un défaut, pour vous.

Commentaire de Lovyves le 12 octobre 2015 à 7:17

Bonjour à Tou(te)s
Un peu d'humour ce matin ..
.. à moins que .. ce soit une insulte !?
Peut être que humour et insulte, c'est un pléonasme, de nos jours ?

Commentaire de Romane le 11 octobre 2015 à 10:31

Cette affiche ''Abrasive '' me rappelle un évènement . Charlie Hebdo contestait à l'époque le discours,l'image et les comparatifs odieux d'une personne politique sur une ministre . Lorsqu'on se positionne face à  l'ignominie et qu'on la condamne, alors ce journal aurait du éviter de publier une affiche exprimant une affaire bien parallèle . Voici le lien .

https://youtu.be/ff3RiWj3AF0

 

Commentaire de Katy le 10 octobre 2015 à 18:55

Ou encore, faire disparaître la notion de norme. Cela est-il possible ?

Commentaire de Katy le 10 octobre 2015 à 18:52

Quand une population donnée, il y a divers groupes avec des caractéristiques communes entre les individus, mais qui diffèrent d'un groupe à l'autre, plus le groupe est important, plus il y a de chances que ce soient ses caractéristiques qui soient reconnues comme la norme pour l'ensemble.
C'est la définition que fournissent les "spécialistes" de psychiatrie....

Si c'est ça :

Le problème n'est peut être pas tant de savoir où est la norme que la place accordée aux groupes qui n'ont pas été considérés comme la norme.

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