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Je veux pouvoir t’aimer

sans m’agripper

t’apprécier sans te juger

te rejoindre sans t’envahir

t’inviter sans insistance

te laisser sans culpabilité

te critiquer sans te blâmer

t’aider sans te diminuer

Si tu peux m’accorder

la même chose

alors nous pourrons

vraiment nous rencontrer

et nous agrandir l’un

l’autre.

Virginia Satir

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Commentaires bienvenus

Commentaire de dubourg marie le 6 Juin 2010 à 17:45: TRES BEAU COMMENTAIRE
MERVEILLEUX MERCI DE VOTRE PARTAGE

Commentaire de glain isabelle le 17 mai 2010 à 10:09: Oui, merci, une jolie dè-finition de l'amour que je viens d'envoyer à l'amoureux avec qui j'ai partagé un merveilleux we et qui vient de repartir sur le chemin de sa vie. "Je veux pouvoir aimer sans m'agripper"...
Isabelle

Commentaire de Philippe le 17 mai 2010 à 9:15: Merci pour ce beau texte...

Cela me fait immédiatement penser à certains de Jacques Salomé ;-)

Commentaire de myrtille le 13 mai 2010 à 22:41: La clé de l'amour vrai , qu'il soit sous forme amical ou amoureux. Tout un programme, et surtout, tout un travail...sur soi.

Commentaire de rorob13 le 13 mai 2010 à 19:37: Bon message d'accroche,
Si aucune objection, cela viendrai bien en deuxième chapitre ou étape, dans le premier, les "t" seraient remplacés par des "s".

Commentaire de Patrick Courtois le 13 mai 2010 à 19:33: Je connaissais Virginia Satir comme thérapeute exceptionnelle, je ne savais pas qu'elle était également poète... Merci pour ce partage

Commentaire de amarange le 13 mai 2010 à 19:00: c'est très beau en effet !!!! mais à atteindre par pas mal de " travail"

Commentaire de Yves le 13 mai 2010 à 16:24: Bonjour,
très très beau texte "Interstitiel" (j'ai cherché sur le Web mais n'ai pas trouvé l'auteur).
Il est "central" et un phare à apprécier en tous moments par tous me semble-t-il.
Merci à tous les participants de faire Vivre de tels lieux.
Gérard - Yves

Commentaire de interstitiel le 13 mai 2010 à 15:58: Je ne veux pas quoi que ce soit à ton égard car je reçois déjà beaucoup et ne souhaite plus me séparer de la source universelle, aussi je te vois, te respire et m'étonne en permanence de cette magie qui flue en nous, autour de nous et même au delà; ce mystère qui n'est ni toi, ni moi, ni personne mais tout à la fois. Même le mot aimer doit pouvoir disparaître au profit d'une réalité qui ne m'appartient pas et dans laquelle j'accepte de laisser fondre le toi et le moi. Anonyme