Les grandes statues de ce monde s’effondrent les unes après les autres. Seuls ceux qui les ont érigés croyaient en leur permanence. Même les mensonges tissés des plus serrés finissent toujours usés par les accrocs de la vérité. Des couches et des couches de tissus hypocrites pour masquer des enjeux réels de contrôle et de manipulation sous prétexte de bien-être et de protection.

Se vêtir de la sorte sans jamais questionner la provenance de sa fabrication, ses conditions et son but voilà sans doute la plus belle réussite des dirigeants de cette planète, ceux à qui des milliards de personnes ont remis leur pouvoir de décision de leur vie.

La première chose à faire serait sans contredit de se méfier de toute personnalité que les médias auréolent d’une part et d’autre part de se méfier des raisons qui font qu’ils en critiquent ou blâment certains autres. Suffit de regarder la construction des films populaires américains pour se rendre compte que le scénario se répète comme une recette infaillible. Appliqué dans la vie de tous les jours, le succès est tout aussi garanti. Plus un personnage est médiatisé plus le message à passer est énorme. Il faut marquer les esprits à tel point que cela apparaisse comme une vérité incontestable. Pour s’en assurer, ne faudra que marteler sans cesse l’idée véhiculée par le personnage en question avec l’aide des propriétaires de médias qui y trouveront leur compte et leurs intérêts multipliés.



Le peuple est un concept où l’on tente – et réussi à faire croire – qu’un ensemble de différences ne peut cohabiter côte à côte sans problème puisque le postulat de départ qui nous est scandé est que l’humain est un être de bien et de mal. Du coup, nos bonzes du pouvoir incrustent une obligation d’homogénéisation, de normalisation, de nivellement par des lois, des clichés, des mensonges. Or, l’être humain ne vivrait pas dans le chaos sans ces règlements de peurs. Mais en général, le message contraire est tellement bien ancré en nous qu’il devient difficile d’imaginer vivre sans de telles limites.

Pour éviter que le doute s’installe en soi à ce sujet, des hommes principalement, de grands renoms font régulièrement leur apparition dans l’histoire. Leur mise en place se fait comme un scénario de film. Par exemple, Darwin le bon est apparu pour contrer et combattre les vues de l’Église. C’est le scientisme contre le créationnisme. Des idées farfelues d’un côté comme de l’autre. À peu près à la même époque apparaissait Pasteur le voleur, l’imposteur qui s’appropria les études de Béchamp et de plusieurs autres pour en faire siennes. Un autre étrange Monsieur du nom de Freud popularise la culpabilité par l’importance des névroses liées à la sexualité tout en revendiquant posséder le monopole de la lecture de l’inconscient. Il était financé par le B’NAI B’RITH.



La deuxième guerre mondiale voit l’arrivée d’un certain Hitler. Contrairement aux précédents, sa « popularité » n’en est une que par les atrocités qu’il a commis ou fait commettre. Cependant, ce qui est occulté à son sujet est pour le moins révélateur sur les agissements fallacieux dont les médias usent pour cacher les faits réels. Hitler n’était pas antisémite mais bien antisioniste. C’est l’association de son parti avec les sionistes, financé par la famille Rothschild qui le propulse au pouvoir du pays. Le mot nazi étant formé par le « na » de Na-tional Socialiste et le « zi » venant de zi-onism. Il a donc aidé une puissante classe de juifs à mettre au jour un pays qui deviendrait Israël, en plein cœur du Moyen-Orient mais qui se réclame de l’Occident.

Et le dernier et non le moindre – qu’il ne faut surtout pas toucher, une icône c’est sacré – le très timide et trop sympathique Einstein. Il arrive comme un cheveu sur la soupe pour faire concurrence aux recherches que font les Allemands. La science juive contre la science allemande, en apparence contradictoire. Tous ces grands encensés, même Hitler pour ceux qui le soutenaient, ont tous le même pattern ; ce sont des marionnettes, des mythes par qui des légendes mais surtout des mensonges se sont élaborés. Tous, ils ont été supportés par des gens richissimes qui n’ont que faire de la vie humaine. De beaux cobayes, nous en sommes.



Alors aujourd’hui, quand il est question d’inventeurs, de chercheurs, le doute m’envahit. L’avènement de la haute technologie n’a rien de conception humaine, c’est bien au-delà. Ça peut paraître tiré par les cheveux, ceux que l’on retrouve dans une soupe par exemple, n’empêche, réfuter de telles possibilités serait du déni total. Autrement, si vous insistiez pour propager ces mensonges je n’aurais qu’à sortir un argument bidon à la freudienne du genre : votre résistance à la vérité dénote un profond refoulement de votre sexualité, un besoin de baiser votre père ou votre mère. Votre névrose est dangereuse pour le peuple, allez vous faire soigner.

Sur ce, bonne découverte.

ÉDITIONS 180 DEGRÉS/Patrice Berthiaume