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Dialogue avec son enfant interieur

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Commentaires bienvenus

Commentaire de Lovyves le 15 novembre 2016 à 17:04: Bonjour à Tou(te)s
Si, au lieu de réagir, de réagir en fonction de nos histoires personnelles; nous pensions le sujet de cet article.
Si nous mettons nos émotions et nos raisonnements (appris) de coté, pour penser.
Pour penser comme un enfant, comme un enfant qui n'a pas encore été "formaté".
Ceci ouvrirait des possibilités de dialoguer sans invoquer "l'enfant intérieur", "l'enfant extérieur" ou le vieillard que je suis.
Ceci permettrai de voir tous mes tabous, de "bousculer" mes paradigmes.
Seulement penser sur ce qui est présent, pas sur ce qui est "accumulé" dans ma tête, ou en rapport à mes divagations.
Parler avec l'être, de l'être tout entier, de l'être que je suis au présent, sans parler de mon petit doigt ou du cœur ou du foie ou d'un temps qui n'existe plus … ou de mes idéologies et croyances figées (pléonasme, très souvent).

Les blessures se cicatrisent très bien et vite, chez les gens en bonne santé (physique, mentale).

Nous sommes UN; et je parle .. comme je veux… sans me raconter d'histoires.

Commentaire de Inesdivination le 3 octobre 2016 à 17:11: Bonjour à Tou(te)s ♡

Chacun réagis en rapport à sa propres histoires..(son enfant intérieure ;) Ce qui donne des névroses... Mieux vaut d'ailleurs être névrosé que psychotique, la nuance étant que le névrotique est conscient de son état, de sa « faiblesse », alors que le psychotique n'analyse plus du tout son mal et n’entend plus son enfant intérieure.

qui tiens ce discours avec l adulte qu il ou elle es devenu ...

Permets moi d'être. notre individualité première, notre "Je suis". Avec le temps, nous adoptons une personnalité pour répondre aux demandes des adultes. Sous ma peine (celle de l adulte que tu es devenu ! Le formatage de la société ext..) se cache ma joie. cette enfants émerveiller qui demande sa libérations la spontanéité, la créativité, l'authenticité,la capacité d'être naturel ainsi que le respect de soi. Sous ma colère, (je suis enfermé, étouffé sous les croyances d'adultes, au rancard). l'Amour. votre belle lumière intérieure! sous ma peur:je meurs. la confiance en toi. de reprendre contact avec l'enfant en vous et passez à l'action. Je prends maintenant le parti de mon enfant intérieur blessé en m'occupant très bien de lui _/|\_

Commentaire de Liouba le 3 octobre 2016 à 12:07: Pas de réponse possible puisque le commentaire de Lovyves fait dire ce que l'on ne dit pas.

Commentaire de Lovyves le 3 octobre 2016 à 10:10: Bonjour à Tou(te)s
Les humains sont imparfaits, c'est un fait.
Donc, tout ce qu'ils font est, plus ou moins bons, selon des critères et surtout limité (physique, psychologique).

Par contre, si j'associe une chose et son contraire pour justifier un état d'être et en faire une qualité.
Là ce n'est plus de l'imperfection, mais de la perversion, volontaire ou involontaire.
L'amour ne nait pas de la colère ou ne se cache pas derrière la colère; par exemple.

Commentaire de Liouba le 3 octobre 2016 à 8:55: Comme souvent, au lieu d'une simple discussion, Lovyves botte en touche avec cette fois-ci une "salade de fruits"...très bon pour la santé !

Commentaire de Lovyves le 2 octobre 2016 à 21:56: Si je parle des "pommes" et que Liouba me répond en parlant des "poires";
les deux sont des fruits, certes; mais nous ne parlons, cependant, pas de la même chose.

Commentaire de Liouba le 2 octobre 2016 à 21:47: Je ne suis pas sûre que le fait d'être à la fois peine et joie, à la fois colère et amour (pas en même temps bien sûr) soit un signe de névrose.

"que de dualités"...oui, personne n'est tout blanc ou tout noir (je ne parle pas de la couleur de peau), l'équilibre est difficile à trouver et les moyens de "survie" de chacun dépendent à la fois de ces capacités intrinsèques et de son histoire. Ils ne peuvent être jugés même si cela ne ressemble qu'à des apparences qui empêchent de trouver son propre équilibre.

Commentaire de Lovyves le 2 octobre 2016 à 21:01: "Sous ma peine se cache ma joie,
Sous ma colère, l'amour.".
…
Eh bien !
Voila un adulte qui a bien intégré son "formatage" d'enfance.
Face à ce "bric à brac" d'éducation, très rarement cohérent, il en résulte un être névrotique.
Alors pour calmer son angoisse et survivre, l'adulte invente des cantiques.
Ainsi va "le monde" de l'apparence.

Que de dualités, que de dualités !