« Dans le passé lointain, la coutume était d’enterrer les morts avec de la nourriture, avec certains de leurs objets familiers. Cette coutume peut subsister encore aujourd’hui ; elle repose sur une science concernant les relations qui existent entre le monde d’en bas et le monde d’en haut. Car ainsi qu’il est dit dans la Table d’Émeraude : « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas », il n’existe aucune opposition entre le visible et l’invisible. Tout objet existe en haut comme quintessence ; quand il se matérialise dans le monde d’en bas, il est toujours porteur de cette quintessence et il appartient à l’homme de la vivifier pour la rendre agissante.
Si dans l’Égypte ancienne, par exemple, la coutume était de placer des aliments, des armes ou des outils dans les tombeaux, c’est que les prêtres savaient préparer ces objets en introduisant en eux des vibrations, des énergies dont les âmes des morts s’imprégnaient pour continuer à mener leur vie dans les autres mondes. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov
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