Décoder nos croyances et nos peurs qui parasitent nos relations à nos enfants

Dans cette vidéo, Thomas d’Ansembourg nous invite à travailler sur nos croyances, et notamment celle de la différence. La différence que nos enfants affichent par rapport à nos croyances et nos valeurs n’est pas forcément menaçante.

Nous sommes souvent piégés dans une vision binaire : « Je ne peux pas laisser faire sans réagir, donc je dois l’interdire ».

C’est en constatant que des besoins apparemment contradictoires cohabitent en nous que nous nous libérerons de ce piège :

  • besoin de respecter nos enfants et celui de les protéger
  • besoin de laisser de la liberté et d’assurer la sécurité

Une fois que nous prenons conscience que ces besoins peuvent cohabiter sans s’opposer, nous pouvons nous situer avec clarté et avec responsabilité individuelle, sans pour autant fermer la relation ou étouffer les enfants.

La communication non violente pourra nous aider à accueillir la différence tout en exprimant nos inquiétudes :

– Observation : Quand je te vois sortir habillée comme ça…,

– Sentiments : … à la fois je suis heureuse que tu t’autorises à vivre ta liberté et à la fois je suis affolée par l’idée que tu suscites la convoitise de certains et que tu te retrouves dans des situations dangereuses que tu ne saurais pas gérer.

– Besoins : J’ai besoin de savoir que tu es bien dans ton corps et dans ton cœur.

– Demande : Je voudrais être rassurée sur le fait que tu te respectes toi-même.

4 étapes pour accueillir la différence avec nos enfants

Thomas d’Ansembourg propose 4 étapes pour accueillir la différence :

1. Se parler et s’écouter souvent

Voir cet article : Ecouter les enfants : 5 principes de base pour une écoute efficace

2. Demander ce qu’on veut demander clairement et positivement

Voir cet article : Comment formuler une demande en communication non violente

3. Transformer ce qu’il y a à transformer

Voir cet article : 10 manières de préparer ou d’aménager l’environnement familial pour...

4. Lâcher ce qu’il y a à lâcher

Voir cet article : Ces (petites) choses sur lesquelles j’ai réussi à lâcher prise

 

On retrouve cette anecdote dans le livre de Thomas d’Ansembourg :Être heureux ce n’est pas nécessairement confortable – Trouver le bonheur et non ce que l’on croit être le bonheur.

Cliquez sur l’image pour voir la fiche produit :

Sources : Thomas d'Ansembourg via Apprendre à éduquer

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