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Décider d'être heureux.

Pour débuter, j'aimerais reprendre un article que j'ai publié sur mon site jeveuxetreheureux.com et qui a été inspiré par mes lectures :

Les gens ne veulent pas vraiment changer. En fait, ils voudraient que les autres changent pour leur apporter ce à quoi ils aspirent...

Tant que l'on ne se décide pas à changer, à 'être heureux, en intégrant notre responsabilité dans ce que nous vivons, nous ne mettons pas en oeuvre d'actions concrètes et pérennes pour connaître le bonheur dont nous parlons.

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Commentaire de Gabriel Charroin le 12 Septembre 2015 à 18:27: C'est bien vrai et j'y suis un peu arrivé avec qulques difficultés et je poursuis mes efforts et demande à changer dans beaucoup de domaines mais je me sens déjà mieux.,merci pour votre article qui est un encouragement à poursuivre l'évolution

Commentaire de savapasmaletoi le 12 Septembre 2015 à 16:51: De très beaux exemples que vous citer Bougeoir et Aiden Trimeau.

Je rebondis sur cette phrase que nous entendons souvent autour de nous : "Il/elle avait tout pour être heureux". Ceci n'existe que dans les pensées des autres. Être heureux, le bonheur....nous en avons chacun(e) une idée intime.

J'ai 2 de mes fils qui ont chacun un métier et qui depuis quelques années ont fait des choix. Ils ont tout remis en question....pour l'un c'est vivre sa passion, la musique, il en vit et assume ses responsabilités de mari et de père. Pour le deuxième (qui n'a que lui à sa charge), c'est un globe-trotteur, il travail quand c'est utile pour se loger ou manger. C'est leur choix, ils sont heureux et bien sur je suis heureuse de voir comment ils s'épanouissent.

Commentaire de AIDEN Trimeau le 12 Septembre 2015 à 16:38: Coucou, Bougeoir,

Ton histoire est incroyable mais elle me rappelle celle-ci. J'ai rencontré une fois, lors d'un voyage une jeune femme qui avait eu de grandes responsabilités, gagnant très bien sa vie, et ayant un très grand appartement à Londres, et aussi des amis et une vie de couple.

Bref tout pour "être heureuse". Un jour, elle partit en Inde et là, elle reçu un "terrible choc" et tomba éperdument amoureuse de ce pays.

Lorsque je l'ai rencontrée, elle avait tout plaquée, et sa mère avait faillit 'en mourir de chagrin". Elle était radieuse et souhaitait juste se rendre utile là-bas en étant simplement heureuse et en ne voulant ..rien :)

Commentaire de AIDEN Trimeau le 12 Septembre 2015 à 16:27: " La vie c'est agir dans la création", c'est aussi ma philosophie. Les possibilités sont illimitées, elles nous nourrissent, elles nous donnent du bonheur, et peuvent être utiles tout autour de nous.

Commentaire de Yveline le 12 Septembre 2015 à 16:23: Merci pour ton complément Liselotte et bien sûr, il faut savoir reconnaître, apprécier les petits bonheurs simples (apparemment simples, mais que d'autres n'ont pas). Il faut être aussi présent au "Moment" pour le vivre pleinement, ne pas rester dans le passé, ne pas projeter "d'ondes négatives" vers le futur. Et je crois aussi que Savapasmaletoi n'a pas tort : "être heureux ou malheureux ne sont pas des états permanents, la vie elle même est impermanente....prendre simplement acte de ce qui est là devant nous et continuer d'avancer." Si l'on peut se plaindre sur le moment, rester dans la plainte lorsqu'une difficulté nous parvient (l'occasion d'apprendre quelque chose), n'a rien d'actif, c'est seulement faire du surplace....la vie c'est agir dans la création, comme le dit Savapasmaletoi. En fait, nos commentaires se rejoignent.

Commentaire de Yveline le 12 Septembre 2015 à 16:12: Tu as raison AIDEN Trimeau, on ne peut nier qu'à la naissance, les cartes ne sont pas toutes les mêmes !

Commentaire de AIDEN Trimeau le 12 Septembre 2015 à 16:11: J'aime aussi beaucoup la définition de Liselotte:

"Oser être heureux semble constituer un risque de devoir renoncer à être malheureux , de se priver du plaisir de se plaindre "

Le problème est que notre société valorise le côté jouissif du mental à se plaindre et à critiquer..

Commentaire de AIDEN Trimeau le 12 Septembre 2015 à 16:01: Il n'y a effectivement jamais de fatalité dans le karma, à partir du moment, ou l'on prend un chemin d'acceptation et de lâcher prise, et du fait de cultiver les bonnes choses au quotidien..Plus on est dans la résistance, dans la lutte, dans le rejet, ou dans la victimisation, plus on s'enfonce..

Néanmoins, la fatalité peut se trouver dans certains cas graves, (graves maladies, etc ) ou quand l'âme se réincarne dans un milieu de souffrance.

Commentaire de Yveline le 12 Septembre 2015 à 15:53: Je partage ton expérience aussi savapasmaletoi : se prendre en main, se relier à sa source intérieure, faire preuve de gratitude et voir les miracles s'accomplir.