Si vous voulez en Avoir pour "votre argent"!
Peu d'argent !
Mais risque "de défriser" les "belles mises en plis" du paraitre, de "l'image" que je veux donner à moi-même et aux autres.
http://madame.lefigaro.fr/bien-etre/consulter-un-philosophe-une-alt...
Commentaires bienvenus
Histoire très intéressant Dempsey,
Cependant je ne vois par le rapport (ou l'intérêt) de cette histoire avec la consultation philosophique.
Bonjour à Tou(te)s
Chère Thérèse,
Ne tergiversons pas.
Si j'ai pris le cas d'Ulysse pour parler "d'être (de s'appeler) personne", c'est qu'Ulysse, en se présentant devant le cyclope Polyphème, donne un sens précis du mot "personne".
Il n'est pas tout le monde, il est un déshérité, ses parents ne l'on pas nommé. Et, beaucoup plus fort, même les Dieux ne peuvent rien contre "personne" (celui qui n'a pas d'identité).
Si je suis "bloqué" par mes limites, c'est que je ne vois que .. ces limites.
"Limité" et "bloqué" ne sont pas des synonymes.
"Limité" signifie que j'ai "un espace" de liberté, d'actions; mais pas infini.
Et, c'est d'appréhender les limites qui est intéressant.
Cette compréhension de mes limites (en tous domaines), est , possiblement, un paramètre insoutenable; la fuite dans les "mondes parallèles" rassure, apaise, permet de nous distraire de la réalité de nos capacités.
Ah ! notre finitude .. que ne ferais je pas pour l'occulter.
Bonsoir à Tou(te)s
Je pense comprendre l'ami Dempsey, maintenant.
" le questionneur croit qu'il existe parce qu'il se pose des questions" :
Question (fort) intéressante, pour le fonctionnement de chacun d'entre nous et nos comportements, dans la vie de tous les jours.
Mais ceci, n'a pas cours en philo socratique et, plus particulièrement, en consultation philosophique.
Le questionneur est le "sosie" de Ulysse : "je m'appelle personne".
Il n'a pas de pensées, même pas d'identité; il est le "miroir" du "questionné".
Eh bien ! Chère Thérèse, je vais parler de moi, (très) directement (par rapport à votre commentaire):
Je ne suis pas surveillant (pion), ni ici sur Epanews ou ailleurs.
Je commente ou questionne, en fonction de ce qui se dit, de ce qui me parait incohérent ou extravagant, parfois.
Bien sur, avec un peu de pratique philo socratique, je peux voir, facilement, se que révèlent les mots .. écrits ou omis (ou occultés).
Ce qui est occulté, omis, sincère, vrai, n'ont que bien peu d'importance; c'est la cohérence (dans la suite des mots) qui fait la différence.
Je n'ai pas de "petites idées" sur les personnes; Vous l'avez, sans doute déjà remarqué, je ne fais pas de différence entre les personnes qui sont d'accord ou en désaccord avec mes propos.
Ma bienveillance est la même; mais je ne suis pas complaisant .. avec les écrits (les idées).
Je ne suis pas "la philo socratique"; c'est un "outil", puissant, pour moi; pour comprendre les gens, le fonctionnement de la société.
Quel que soit "l'outil", c'est intention qui fait la différence.
Cher Dempsey, de quelle question "le questionneur" se pose t'il la question ?
Je ne comprends pas votre requête.
Oui, Serge, rien de nouveau "sous le soleil".
Toute méthode est un outil pour l'humain, pour qu'il se connaisse mieux.
Et, toute méthode est bonne, si l'intention (de l'utilisateur) est bonne (dans l'intérêt de Tous).
L'ami Dempsey est, très certainement , meilleur détective que Nous Tou(te)s.
Donc, il va être d'une grande évidence, pour lui, de trouver une question sans réponse.
Quant à la satisfaction d'une réponse à une question posée :
La réponse est toujours satisfaisante pour ceux qui n'avaient pas de réponse préétablie; pour les autres: une bonne réponse est une réponse qui correspond, uniquement, à leur idéologie.
La philosophie socratique est l'art de poser des questions désobligeantes pour l'égocentrisme (de chacun d'entre Nous).
Et, Socrate, en avait conscience , c'est mortel !!
Bonsoir à Tou(te)s
Quand Thérèse s'adresse à "monsieur Lovyves",
Parle t'elle de Yves ou d'elle-même ?
Eh bien !
Il me semble que Thérèse a "tout compris" de la consultation philosophique.
LA difficulté du questionneur est de rester "neutre", vide de ses pensées.
Etre surpris, interrogatif à tout ce qui se dit; tout en n'étant jamais choqué, émotif à ce qui est dit.
Tout a une logique, la pire des idées, trouver la logique de cette idée est la seule chose importante.
Dempsey,
Oui, même l'impensable est dans le pensé de l'humain.
Etre dans l'action est toujours la suite, le résultat, d'une pensée (de soi, ou d'autrui).
Même les soldats ne sont pas, complètement robotisés (à l'action permanente).
En réponse au commentaire de Bougeoir :
"Toute question a une réponse, immédiate ou bien plus tard, mais s'il n'y avait pas de réponse, quel intérêt d'avoir une question???".
Il me semble, que l'humain a réponse(s) à tout.
Même là où, raisonnablement, il n'y a pas de réponse.
Exemple : "dieu existe-t-il?".
Réponse : "je ne sais pas";( je ne sais pas est une réponse).
Certains s'en contenteront, présentement; d'autres trouveront des réponses en fonction du besoin de combler le vide (croire ou autres, sont des réponses).
D | L | M | M | J | V | S |
---|---|---|---|---|---|---|
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 |
8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 |
15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 |
22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 |
29 | 30 | 31 | ||||
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de ‘épanews’.
Rejoindre épanews (c'est gratuit)