Dans un précédent article, j’ai expliqué ce qu’est l’empathie et comment vivre dans un monde si déconnectés les uns des autres en ét.... Nombreux pensent comprendre les autres, quand l’empathie est quelque chose de vraiment au delà de la compréhension, ou même de la « compassion ». En effet, la compréhension ne peut être que mentale, et non nécessairement RESSENTIE à 100% comme si nous étions l’autre, la compassion n’implique pas nécessairement non plus une « fusion » avec l’autre comme dans le cadre de la réelle empathie. L’empathie est véritablement la capacité à pouvoir instantanément fusionner avec n’importe quelle conscience, de n’importe quel type (humaine, animale, ou même végétale et minérale). Le véritable empathe n’a même pas besoin d’être en présence physique d’une conscience pour se « connecter » à elle. Il lui suffit simplement de porter son intention sur n’importe quelle conscience encore une fois pour « devenir elle ». Il se met alors à voir avec les yeux de l’autre, entendre avec les oreilles de l’autre, et ressentir avec le cœur de l’autre.
La question n’est donc pas de savoir si c’est bien ou non d’être empathique, si c’est une qualité ou un défaut, car il est évident que c’est une grande faculté. L’empathie est le plus haut niveau de connexion avec une autre conscience, et par définition c’est donc la preuve chez un humain ou mammifère (car beaucoup d’animaux sont capables d’empathie aussi) qu’il a développé ses facultés psychiques, émotionnelles et subtiles au delà de la « norme actuelle », limitée à une perception de 3ème dimension (qui ne perçoit qu’au travers des 5 sens « physiques » : la vue, l’odorat, le toucher, l’ouïe, le goût, et qui analyse tout au travers de son mental et non de son cœur et de ses « ressentis »). L’empathique utilise ses sens « spirituels », « invisibles » et la connexion avec l’autre s’effectue sur des fréquences différentes (et souvent plus élevées), comme s’il était capable de capter d’autres « radios » que les radios des 5 sens physiques, auxquelles la plupart des humains sont encore limités (lire également l’article sur l’hypersensibilité et les sens ici).
Le symbole de l’empathie

A gauche : Toi – A droite : Moi – Au milieu : Nous


Lorsque l’on comprend le principe de création de notre réalité directe en fonction de notre taux vibratoire, et le principe des émotions qui nous indiquent notre « niveau » dans l’échelle des vibrations (les émotions dites « négatives » vibrent plus bas que les autres dites « positives »), alors on comprend à quel point il est important voire VITAL de veiller en permanence au maintien de son taux vibratoire le plus haut possible. Ce travail demande encore plus d’efforts pour un empathe, lui qui capte toutes les vibrations ambiantes. Celui qui est uniquement « dans son corps » et ne se connecte pas aux autres reste facilement dans sa vibration (même si elle est basse du coup), alors que celui qui est connecté à tout ce qui l’entoure, peut plus facilement vaciller et varier tout au long de la journée. Il lui suffit de tomber sur une image de maltraitance humaine ou animale (peu importe si cela se passe à l’autre bout de la planète), d’entendre une information négative, d’intéragir avec quelqu’un dans la rue, de parler 5min au téléphone avec quelqu’un de sa famille qui le « plombe » énergétiquement, pour se sentir tout à coup vidé, déprimé, en colère; ou inversement, d’admirer la beauté d’une fleur ou d’un animal, d’un coucher de soleil pour se sentir euphorique et heureux comme jamais – là où on encore une fois le « non-connecté » passera son chemin sans ne rien ressentir.
L’empathe DOIT donc se protéger vibratoirement. Il ne peut pas être DÉPENDANT du monde extérieur pour déterminer sa VIBRATION. Le processus de création de sa réalité doit toujours être : de l’intérieur vers l’extérieur, de l’intérieur vers l’extérieur – jamais de l’extérieur vers l’intérieur. Et quand l’empathe se connecte à quelqu’un qui ne lui renvoie rien énergétiquement en retour ou à quelqu’un qui souffre ou vibre bas, alors il peut, s’il ne fait pas attention, comme nous l’avons vu plus haut, adopter la fréquence vibratoire de l’autre. Il se met alors, à créer une réalité qui n’est plus la sienne mais qui est celle de la personne à qui il s’est connecté ! C’est la raison pour laquelle beaucoup d’empathes se perdent dans leurs relations amoureuses, car la fusion est telle qu’ils sont devenus leur conjoint, et ont totalement perdu leur personnalité propre (et donc leur vibration propre) et se sont mis à littéralement « vivre la vie de l’autre », et même quand l’autre n’est pas là, à créer la vie que l’autre aurait lui-même créé, simplement car ils sont branchés sur le même champs de fréquence. Ce problème peut également arriver dans une relation entre un enfant empathe envers un parent ou l’inverse, un parent empathe envers un enfant. Mais encore une fois, quand il n’y a que l’un des deux qui est connecté à l’autre, il y a forcément DÉSÉQUILIBRE ÉNERGÉTIQUE ! Il est donc impératif que celui qui envoie son énergie apprenne à se protéger et à contrôler son empathie, pour la stopper quand l’autre en abuse ou franchi les limites du bien-être et de l’équilibre de l’empathe (que ce soit consciemment ou non).

C’est la raison pour laquelle il est si difficile pour un empathe de se mettre en colère contre quelqu’un, ou de dire non (surtout avec les gens qu’il aime). Tout simplement car il est à la fois la personne qui dit non, et à la fois celui à qui on dit non. Il est à la fois celui qui se met en colère, et celui qui se fait « gronder ». Tout cela en même temps. Il se retrouve donc comme « coincé » et n’arrive souvent à rien dire, puisqu’en temps réel il expérimente toutes les perspectives, et est incapable de blesser. Face à son absence de réaction, parfois l’individu non-connecté, non-empathe va prendre l’empathe pour un individu « faible », qui manque de personnalité, et pourra même aller jusqu’à « abuser » de la situation ou de la personne (même inconsciemment car c’est avant tout énergétique). Nous connaissons cette triste réalité que les « gentils » sont souvent les plus abusés. L’empathe se sentira alors ensuite encore plus mal, car il n’aura rien dit non pas par faiblesse, mais pour ne pas blesser l’autre (ou car il savait d’avance qu’il n’y avait pas de possibilité de compréhension dans la conscience de l’autre) – et c’est là souvent que la colère interne, la tristesse ou la frustration montera. La colère et la frustration d’avoir à porter ce « poids » seul, de comprendre l’autre tout en étant souvent incompris en retour, et par conséquent également la colère face à soi-même de ne pas réussir à dire non et à se faire respecter… L’empathe entre alors dans un dilemne. Il se rend compte qu’il ne peut plus dire oui aux autres si cela implique de se dire non à lui-même… Il réalise alors qu’il doit apprendre à se protéger et à mettre des limites dans son empathie.
L’empathe développera souvent au fil des années en effet de la colère envers lui-même. Cette colère est un appel du moi intérieur qui demande à être respecté, au même titre qu’il respecte les autres. L’empathe, faisant systématiquement passer les autres avant lui-même, doit faire un grand travail « contre-nature » pour apprendre à se respecter assez pour se faire passer avant. Il doit lutter contre cet immense sentiment de culpabilité qui lui monte dès lors qu’il doit mettre une limite ou dire non. Comme il déteste l’égoïsme plus que tout au monde, c’est la chose la plus difficile qui lui soit d’accomplir. Mais pourtant, il convient de se demander : « quand je dis oui à cette personne, est-ce que je ne suis pas en train de me dire non à moi-même ? ». Nous ne pouvons pas nous considérer « moins importants » que l’autre. C’est ainsi que notre estime de nous-mêmes est sérieusement abîmée. Et c’est pour cette raison que la plupart des empathes manquent terriblement d’estime d’eux-mêmes. Ayant toujours fait passer les autres avant eux, de part leurs ressentis accrus, ils ont subis beaucoup plus d’abus que la moyenne, de rejets, d’humiliations, et ont donc toutes ces blessures beaucoup plus présentes (blessures de l’abandon, du rejet et de l’humiliation). Le travail de l’empathe est donc de réapprendre à se dire « oui » au même titre qu’il a pris l’habitude de dire oui aux autres. Comment faire ?
La première chose à faire est de se reconnecter à ses PROPRES ÉMOTIONS. L’empathe doit faire le tri dans ce qui lui appartient et ne lui appartient pas (les émotions des autres). Ses émotions sont sa propre guidance intérieure et donc il ne doit en aucun cas s’en éloigner (ceci est valable pour tout le monde). Si je me sens « mal », c’est le signal que ma vibration a chuté, et c’est mon corps qui m’envoie un message. Qu’ai-je fais, pensé, dit, entendu, pas fait, ou pas dit, qui m’a fait chuter vibratoirement ? (oui, les « non-dits » peuvent être aussi dommageables pour nous que les paroles, voire encore plus). Cela veut donc dire que dès lors que l’empathe est en présence d’un non-empathe où il n’y a pas d’échange énergétique sur le même niveau (de connexion), alors l’empathe doit impérativement RESTER DANS SON CORPS, et ne pas projeter sa conscience dans l’autre. Il DOIT RESTER SA PROPRE IDENTITÉ et ne DOIT PAS FUSIONNER AVEC L’AUTRE. Il pourra ensuite refusionner avec une autre conscience avec laquelle il y aura échange d’énergie ou respect mais dès lors que c’est unilatéral et surtout dès lors qu’il commence à « se sentir mal », il doit s’empêcher de fusionner et conserver les 2 perspectives bien distinctes, surtout la sienne. Un bon moyen est de se répéter dans sa tête, dès qu’on sent les premiers symptômes de fusion et de « plongeon » dans la conscience dans l’autre, de dire « non, non, je reste dans mon corps, je reste dans mon corps, je reste dans ma propre perspective », et de stopper le processus d’empathie dès ses prémices. Qu’est ce que JE ressens ? Qu’est ce que JE pense ? Qu’est ce que JE veux ?
Je coupe le robinet énergétique pour ne pas me vider et stoppe la fusion

Je visualise mon « aura » (ma protection énergétique) comme une « coque » qui me protège de tout ce qui ne m’appartient pas et je « reste en moi »
Sophie est empathe et Sébastien, son conjoint ne l’est pas. Quand elle est avec lui, elle fusionne avec lui et devient lui. Quand elle va au restaurant, elle le laisse choisir car le fait de ressentir au fond d’elle la joie de Sébastien quand il va dans son restaurant préféré, la rend encore plus heureuse que d’avoir choisi son propre restaurant préféré. Elle fait la même chose avec ses amis, c’est toujours elle qui s’adapte car leur joie, de par son empathie, la rend heureuse. De l’extérieur, pourtant, souvent son attitude s’apparente à une absence de personnalité.
Elle fait tout à coup un sourire pour dire que tout va bien, et Sébastien s’endort ensuite, rassuré, quelques minutes plus tard, laissant Sophie pleurant en silence sur son oreiller. Le lendemain, Sébastien aura tout oublié et recommencera, et Sophie « recomprendra ». Mais Sophie se sent de plus en plus mal, sa vibration baisse et sa joie de vivre aussi par la même occasion. Elle qui était si joyeuse et pleine de vie avant, elle ne se reconnait plus. Elle fait toujours tout pour remonter les autres, comprendre Sébastien, faire en sorte que tout soit parfait à la maison, et pourtant elle se sent mal (= son corps lui fait signe que quelque chose ne va pas). Un soir, Sébastien rentre du travail et trouve Sophie en train de pleurer sur le canapé. Il lui demande si ça va, mais malgré ses mots elle ne ressent aucune connexion avec lui. Elle voit bien dans sa conscience qu’il ne la « voit » pas, qu’il ne la comprend pas. Elle se sent terriblement seule. Elle qui comprend toujours tout le monde, pourquoi personne ne fait cela pour elle. Pourquoi n’a-t-elle pas droit elle aussi à ce que quelqu’un se penche sur elle et lui dise « Je comprends ce que tu ressens ». Et parfois même, au delà des mots, seul un regard peut nous faire nous sentir moins seuls. Tout simplement car c’est la connexion vibratoire qui nourrit. Ce ne sont pas les mots. Sophie réponds alors que tout va bien, car elle sait d’avance que si elle disait à Sébastien qu’il ne s’occupe pas assez d’elle et qu’elle se sent ignorée voire rejetée, il se braquerait et ne comprendrait pas, et la situation deviendrait ensuite encore pire. Alors une fois de plus, elle se tait et le garde pour elle, en se disant que c’est à elle d’être « forte ». Des mois peuvent ainsi s’écouler, voire même des années. Et un jour, Sébastien apprend que Sophie a un cancer. La famille de Sophie ne comprend pas : « Pourquoi il arrive toujours des maladies aux gens les plus gentils ? La vie est injuste. »
Mais le corps de Sophie n’a pas dégénéré immédiatement en Cancer. Il a commencé par la faire se sentir mal dans son coeur, il y a de nombreuses années déjà. Parfois il lui donnait mal au ventre aussi. Parfois il passait par les intuitions de Sophie lui disant que cette situation n’étais pas normale et que ce n’était pas ce qu’elle désirait ni méritait. Mais Sophie n’écoutait pas cette petite voix, et culpabilisait de vouloir autre chose que ce qu’on lui donnait. Et puis en plus, ces derniers temps elle lisait beaucoup de livres de spiritualité où on lui disait qu’il fallait être dans l’amour inconditionnel des autres, et leur pardonner. Alors elle était dans l’amour inconditionnel de Sébastien, mais cela ne l’a pas empêchée de développer un cancer. L’énergie qu’elle a donné pendant toutes ces années ne lui a jamais été renvoyée en retour. Elle qui « nourrit » tout le monde de sa compréhension et de sa connexion, n’a jamais été nourrie en retour. Elle a dû puiser sans cesse au plus profond d’elle-même pour faire remonter son énergie vitale, jusqu’au jour où il n’y en avait plus assez.

Sophie se sent rejetée et pas aimée à sa juste valeur. Sébastien l’ignore et comme elle est empathe elle voit ce qu’il se passe dans sa conscience, il est fatigué et autocentré et n’arrive pas à capter ce qui l’entoure. Il ne fait pas d’efforts car de toutes façons inconsciemment il est « habitué » à ce que Sophie gère tout et le comprenne. Il n’est donc pas « poussé » à lui-même développer son empathie ou à se préoccuper des autres. En surprotégeant Sébastien et le faisant passer avant elle, Sophie ne lui rend donc pas service et elle l’a bien compris. Sophie a bien conscience de sa capacité d’empathie. Elle s’en sert d’ailleurs merveilleusement bien à son travail et auprès de ceux qui en ont besoin. Elle aime la vie plus que tout et s’émerveille d’un petit rien quand elle part au travail le matin. Tout le monde l’appelle « le rayon de soleil », et quand elle se retrouve le soir dans ses sentiments négatifs face à Sébastien qui n’est pas présent émotionnellement, elle ne se reconnait plus mais maintenant elle a appris à identifier le processus et ne se laisse plus descendre dans la « spirale négative » des émotions. Elle prend le signal de son corps (qui lui fait se sentir mal) comme une alerte et comprend immédiatement qu’elle doit rester dans son corps et revenir dans ses propres émotions pour se faire respecter et mettre ses limites. Energétiquement, elle « coupe » le lien qui ne part que dans un sens. Elle stoppe le robinet énergétique. Elle s’aime suffisamment pour accepter ses propres désirs et besoins et ne plus les renier. Elle veut un homme qui soit présent émotionnellement pour elle, elle ne veut pas un « enfant » ou un homme fuyant, ou autocentré. Puisque c’est ce qu’elle ne veut pas, elle arrête donc de « comprendre » (dans le sens « cautionner ») cet aspect chez l’autre car ainsi elle continue à créer cette réalité. Elle se remet à créer sa propre réalité, sur la base de ce qu’ELLE souhaite. Elle se focalise donc sur ce qu’elle souhaite (dans l’enthousiasme et non la frustration) pour s’aligner vibratoirement à ce qu’elle désire, avant que cette chose ne soit encore manifestée dans le monde physique (que ce soit Sébastien qui change ou la manifestation d’un autre homme plus aligné à ce que Sophie désire). Elle a repris son plein pouvoir et reconnait la personne importante qu’elle est, et surtout puissante, dans la création de sa propre réalité. Nous ne sommes pas responsables de ce que les autres font ou ne font pas, mais nous sommes responsables de les laisser entrer dans notre réalité. Pour qu’ils puissent entrer dans notre réalité proche, il faut que vibratoirement nous leur ayons laissé la place.
Réussir à affirmer ses propres désirs et besoins pour un empathe encore une fois est l’une des choses les plus difficiles, et lorsque nous sommes en train de dire non ou de mettre des limites, surtout avec un proche, il faut impérativement « tenir » pendant que nous disons non et nous empêcher de « craquer » dès que l’on ressent l’autre (qui pourra être triste ou en colère par exemple). On peut tout à fait comparer cela à une mère qui doit disputer son enfant quand il fait une bêtise. Pourtant, elle sait très bien que l’enfant ne l’a pas fait exprès ou que c’est « normal » qu’il fasse ce genre de bêtises à son âge au vu de sa conscience, mais ce n’est pas pour autant qu’elle ne va rien lui dire, sinon il continuera et ne comprendra jamais qu’il doit cesser de faire cela ou que c’est une chose dangereuse ou mauvaise pour lui ou pour les autres. Cela n’empêche pas non plus la maman d’aimer énormément son enfant, même si elle le dispute. C’est le même procédé lorsque nous devons mettre des limites autour de nous. Dire non ne veut pas dire ne pas aimer l’autre ou être égoïste. C’est simplement affirmer ce que l’on souhaite et ne souhaite pas dans sa propre réalité, et souvent aussi, cela permet à l’autre d’évoluer beaucoup plus que de lui avoir tout cédé.
Beaucoup d’empathes prennent leur empathie comme un « fardeau » plutôt qu’autre chose et ont souhaité maintes et maintes fois qu’on leur enlève ce fardeau, pour être « enfin comme tout le monde ». L’empathie et l’hypersensibilité sont difficiles à vivre au quotidien dans un monde si déconnecté, mais avec les techniques que nous venons de voir, et surtout la compréhension des mécanismes vibratoires et de création de notre réalité, nous pouvons reprendre notre pouvoir en temps qu’empathe et nous en servir à bon escient, sans en subir les conséquences négatives. Notre discours interne créé notre réalité externe, alors temps que nous pensons que l’empathie est un fardeau, notre réalité externe reflétera cette croyance, et nous nous placerons en tant que « victimes ». Il faut au contraire arriver à changer sa perspective sur cette qualité que nous possédons qui sera la normalité de demain, la normalité d’un monde et d’une humanité plus consciente, si nous persistons dans cette voie. Il y a une citation de Saint Augustin qui dit « Ce qui est juste est juste, peu importe si personne ne le fait. Ce qui n’est pas juste, n’est pas juste, même si tout le monde le fait ». Gardez toujours cela en tête vis-à-vis de votre empathie. Même si vous êtes la seule personne de votre entourage à l’être, ce qui est juste est juste. Ne pas être connecté au reste du Monde et aux autres n’est pas « juste », même si c’est le cas encore de la majorité des humains. Mais nous sommes là pour leur montrer la voie. Nous sommes là pour leur montrer ce qu’est justement qu’un humain conscient. Devenez un modèle de cet humain conscient qui sait utiliser son empathie à bon escient tout en mettant des limites à ceux qui ne savent pas les déterminer d’eux-mêmes. Et surtout, ne désirez plus ne plus avoir cette qualité, ce serait comme si un oiseau disait qu’il désirait ne plus chanter car personne ne comprend son chant. C’est la nature de l’oiseau que de chanter, peu importe si personne ne le comprend ou ne l’entend. Ce qui compte, c’est la relation entre votre âme et vous. Et vous savez très bien au fond de vous que vous ne seriez pas plus heureux si on vous enlevait votre empathie, autrement dit votre connexion avec le Monde qui vous entoure, car vous perdriez tout, même la connexion aux choses et sentiments merveilleux de ce Monde, et ils sont nombreux. C’est justement l’empathie, la qualité indispensable à un Monde harmonieux et plus conscient, et vous faites partie des pionniers et des graines de ce Monde plus conscient. Intégrez-le profondément en vous et ne reniez plus jamais cet aspect de vous, car vous portez en vous le Monde de demain, la Conscience de demain, que vous êtes venus pour inséminer petit à petit sur Terre.

Auteur : Laura Marie
Commentaires bienvenus
Je suis tres contente et reconnaissante pour cesujet car c'est mon probleme a resoudre face a mon empathie.
Cela va m'aider dans ma vie.Merci.
Amore
Merci.
Dire tout simplement dire
Dire c'est grandir
Dire grand tout ce qui nous oppresse tout ce qui nous coupe de notre elan de vie sortir de la peur pour l'amour de la verite de l'authenticite
Tout à fait, BéatriceV : "Avoir conscience qu'il faut différencier comprendre et cautionner.".
Et pas besoin de paraphraser, ce qui sera du cautionnement.
Parfois dire non, c'est dire oui à l'amour.
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