Chronique n° 413-15 du 14 février 2013. Une leçon à tirer de la démission du pape Benoit XVI

Dans la déclaration de démission du pape Benoit XVI, il a vu que le monde d’aujourd’hui est sujet à de rapides changements et agité par des questions de grande importance pour la vie de la foi. Il a souligné aussi que le monde va si vite que lui, humain ordinaire, ne peut plus suivre. Par cette déclaration courageuse, il donne un exemple de ce que nous avons toujours avancé sur le type du nouveau leader dans l’ère du verseau. Celui-ci doit être d’abord charismatique, c’est à dire que le nouveau dirigeant aujourd’hui doit se sentir lié au grand coeur cosmique de toute l’humanité. Dans ce coeur invisible mais réel, toutes les composantes de l’espèce humaine sont représentées : les idéologies les plus divers, de l’islamisme au christianisme, du taoïsme au bouddhisme, de l’athéisme aux scientifiques en passant par ceux qui croient aux extra terrestres, des ordres et mouvements initiatiques multiples, etc.

Dans le coeur et le mental de tout nouveau dirigeant du troisième millénaire, chacun doit avoir sa place sans clientélisme marqué, et surtout dans un nouvel état d’esprit de complémentarité vrai et il doit bouter dehors l’esprit de compétition qui a toujours abouti à la rivalité entre les humains, entre les communautés et entre les nations. La rivalité et l’exclusion ont conduit tant de guerre dans l’humanité ! C’à été le climat quotidien du monde mental dont nous venons de voir la mort symbolique en fin d’année 2012. Pour qu’un tel homme puisse gouverner plus d’un milliard d’humains, sans pression, sa supraconscience doit être active. Dans le concret ou bien dans la vie matérielle, sa gestion doit rassembler plutôt que de diviser ! L’église catholique et son dirigeant le plus haut doivent revoir leur copie s’il veulent continuer à être pris comme une voie de salut, moralisatrice et d’une grande solidarité agissante.

Nous l’avons déjà dit que l’année 2013 verra, plus fortement marqué, le changement d’état de conscience de toute la planète. Les énergies du Feu d’amour universel sont dures à digérer pour tous ceux et pour toute organisation qui tolère le vice, la corruption, la concupiscence et la haine ; c’est la cause de la mal gouvernance ! A l’opposé ces mêmes énergies d’amour universel sont plus digestes et propices à une créativité bénéfique pour tous les citoyens du monde ! Le futur pape doit nécessairement mesurer son degré d’immersion dans le coeur d’amour universel pour savoir comment travailler pour l’harmonie, la paix et un peu plus de justice dans le monde ! C’est seulement ainsi que l’église catholique recouvrira le manteau de sagesse des anciens ! Une autre vertu, que doit développer tout leader aujourd’hui, est d’être imaginatif bénéfique à souhait. C’est à dire qu’il doit ouvrir son dogme aux autres. Il doit savoir écouter, prendre les points du vue des tous et proposer des synergies de travail. Est-ce que mentalement l’église, et aussi les autres religions, sont prêtes à accepter de s’ouvrir ?

A demain pour d’autres pages croustillantes de cette réflexion partagée.

JeanFrançois MANSILLA

Cionsultant-Formateur en Développement Global

Analystedes énergies émergentes

Email : jfmans@yahoo.fr

          Jeanfrancois.mansilla@facebook.com

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