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On ne le voit pas, mais vraiment, on peut choisir entre être victime ou créateur …la vie nous présente même une multitude de possibilités de choisir !
J’ai secoué l’attitude victimaire et décidé de (re)créer ma vie – j’ai pris plusieurs décisions pour la faire aller dans le sens qui me sert (moi, les autres & le monde).
Si l’on choisit d’être une victime, le monde est un endroit froid et dur. « Ils » vous ont fait des choses qui vous ont causé de la douleur et la souffrance. »Ils » sont faux et mauvais, et la vie est pourrie tant que « ils » sont présents.
« Ils », ce peut être une ou plusieurs personnes de votre famille ou de la communauté. C’est peut-être les méchantts politiciens ou votre patron ou la cabale ou l’élite au pouvoir qui gouverne le monde.
Ou vous pouvez intérioriser votre victimisation & vous blâmer pour tous vos problèmes.
Le point essentiel, c’est qu’une victime ressent le besoin de blâmer quelqu’un (soi-même ou d’autres) pour ses problèmes, qu’elle croit que quelqu’un est en train de ruiner sa vie et le monde.
Et la vérité de tout ça, c’est que tant que vous ressentirez le besoin de jeter le blâme sur quelqu’un, votre vie stagnera !
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Ceux qui choisissent d’être des créateurs regardent la vie différemment. Ils savent qu’il y a des individus et des groupes puissants qui aimeraient contrôler leur vie, mais ils ne se laissent pas prendre cette voie & ils savent qu’ils ont leurs faiblesses, mais ne se blâment pas quand ils échouent.
Les créateurs ne ressentent pas le besoin de blâmer quelqu’un ; ils savent que quoi qu’il arrive, ils ont le choix de leur réaction. Lorsque Gandhi et Martin Luther King, ont été emprisonnés, ils ont utilisé cette occasion pour prier, méditer, écrire des livres et inspirer leurs communautés à se lever et faire une différence dans le monde.
Et ils ont prié non seulement pour eux-mêmes et leurs partisans, mais aussi pour ceux qui les avaient emprisonnés et méprisés. Ces puissants créateurs ont continué à vivre dans la joie et à donner du sens à leur vie jusqu’à leur mort.
Les victimes savourent la colère, la vengeance, la culpabilité, et d’autres émotions et comportements faisant que quelqu’un (eux-mêmes ou quelqu’un d’autre) se sente victime, alors que les créateurs choisissent consciemment l’amour, l’inspiration, l’autonomisation et d’autres qualités qui inspirent eux-mêmes & tout le monde autour d’eux, et ce, pour créer en permanence les conditions de vie et du monde qu’ils où ils veulent vivre.
Bien que victimes & créateurs vivent dans le même monde physique, et soient confrontés aux mêmes réalités physiques, leur expérience de la vie est à l’opposé.
On a toujours (& à chaque instant) le choix de déterminer le sens de notre vie ; on peut choisir quoi faire avec les cartes que la vie nous distribue ! Pourtant, bien peu réalisent combien on a le choix …
Une personne qui perd son emploi ou son partenaire amoureux, peut vivre cela comme si c’est la fin du monde et s’enfoncer dans la souffrance pendant des mois ou des années, alors qu’un autre, vivant la même chose, aura d’abord de la douleur, mais acceptera la perte et passera assez vite à la force créatrice.
Dans chaque circonstance, nous pouvons choisir de jouer un rôle actif dans la co-création de notre propre destin.
En choisissant de voir et d’inspirer le créateur en vous & en tout ce que vous rencontrez, vous pouvez créer une grande transformation dans votre vie et dans le monde. Si vous avez passé beaucoup de temps en mode victime, il sera dur de changer, mais c’est possible. En explorant vos principaux défis à relever et en travaillant à les transformer, en décidant d’arrêter de critiquer, et d’interpréter autrement votre vie, vous pouvez changer.
Il y aura sûrement des moments où vous retomberez dans les vieux schémas – mais en vous souvenant de votre intention d’être un créateur, vous sortirez bien vite de cet état qui vous est nuisible.
Aucun de nous n’est parfait ; nous avons tous fait des erreurs ou de mauvais choix, et nous continuerons à en faire mais quand on échoue, il n’est pas nécessaire de nous blâmer ou quelqu’un d’autre.
Alors, quand on se trompe, il faut accepter qu’on n’a pas fait ce qu’il fallait, puis tenter de comprendre pourquoi, et chercher comment on pourrait faire mieux la prochaine fois.
Si on se met à blâmer, il faut le remarquer, s’arrêter, regarder en soi, & se demander si on veut continuer à vivre ainsi, ou si on veut améliorer notre vie …
J’ai traité ici https://bonheuretamour.wordpress.com/2013/10/11/pourquoi-le-monde-v... , des attachements psychologiques (qui font qu’on est attiré(e) par des relations violentes & des habitudes nuisibles, pour revivre des sentiments familiers). Les processus inconscients derrière ces comportements peuvent être découverts en réfléchissant à l’ambiance dans votre famille d’origine et comment vous avez vraisemblablement (vu votre sensibilité) dû y réagir…
Une fois comprises les causes profondes, prenez l’ intention profonde de transformer ces tendances mauvaises, qui vous freinent & nuisent à votre épanouissement.
Le passage de victime à créateur ne signifie pas rejeter la responsabilité de vous-même sur d’autres, mais de sortir de relations ou d’habitudes nocives, et dans l’engagement de créer une transformation positive dans votre vie et celle de vos proches.
À certains moments de ce processus, vous regarderez en arrière et comprendrez que vous refaites la victime ; soyez doux avec vous-même, ne vous jugez et ne vous blâmez pas, mais pardonnez-vous et tentez de comprendre ce qui s’est passé. Il peut même y avoir des moments où, pour une raison quelconque, vous sentez un besoin de jouer le rôle de la victime pendant un certain temps. Si c’est le cas, jouez le rôle pleinement. Mais rappelez-vous que vous choisissez cela, et que vous pourrez choisir de redevenir un créateur dès que vous êtes prêt. Il ya un temps et un lieu pour tout.
Un piège commun qui tire les gens vers le bas est la perte de quelque chose ou quelqu’un à quoi on tenait ; alors, on déprime, on râle et on accuse les autres ou soi-même pour ce qui s’est passé.
Il faut lâcher prise et travailler à comprendre. Un être créateur, sachant que rien n’est éternel, vise à vivre chaque moment au maximum, sans la nécessité de la sécurité fournie par l’attachement.
En acceptant le passé et l’avenir et lui permettant d’être un grand infini, potentiel & inconnu, les créateurs sont conscients que chaque expérience peut apporter plus de sens et une connexion plus profonde à eux-mêmes, aux autres et à la Vie. Ces êtres-là savent que la vie est un cadeau & que même les expériences les plus pénibles peuvent être des outils pour nous enseigner et nous faire évoluer ; ils comprennent que les tempêtes sont une partie naturelle de la vie qui peut apporter la pluie nécessaire à la croissance émotionnelle et spirituelle.
Les créateurs savent aussi que, en choisissant de soutenir et d’inspirer tout autour d’eux, en passant de victime à créateur, la vie devient meilleure, non seulement pour eux-mêmes, mais pour tous ceux dont les vies les touchent.
Oui, vous pouvez avoir dès ce moment une vie plus ample & riche en prenant l’engagement de transformer la victime en vous, et en accueillant le créateur puissant que vous êtes au plus profond de vous-même.
Pour aller plus loin, voici la vidéo de Thomas D'Ansemboug "cessez d'être gentil, soyez vrai"
Source : Bonheur et amour
Commentaires bienvenus
Bonsoir à Tou(te)s .. les victimes.
Mais, si : "inconsciemment", était un bon terme.
Car l'expression : "J'entendais par là, trompée, manipulée et la personne est ou plutôt croit être consentante.", est encore pire (dans l'auto manipulation).
La personne est ou croit être consentante; c'est l'un ou l'autre.
Mettre les deux ensemble est … de la manipulation … conscience , inconsciente?
Là je ne sais pas, je ne suis à dans la tête de BéatriceV
Etre manipuler, on en a des preuves, pour se permettre de le dire.
Se croire manipuler, c'est sans preuve.
Et là, les victimes (de tous poils) sont très fortes (en croyances) !!!
"Cela ne veut pas dire qu'après elle rend les autres entièrement responsables du mauvais chemin qu'elle aura pris".
Mais un peu (mon neveu), je veux !!!!!
Oui, il y a de "tout" (en ce monde) : des bourreaux, des victimes, des sauveurs ..
.. et tous ont une qualité : la perversité : c'est parce que .. c'est à cause de !!
Oui, l'inconscient, il faut aller le chercher loin, car si c'était près, ce serait moins glorieux, à aller chercher .. il faut bien se donnes "des gants".
Savoir garder sa responsabilité en chemin (nuance).
Et, je dis tout ceci avec le sourire .. non moqueur; mais , un peu désappointé.
Nous sommes Tou(te)s des manipulateurs (et c'est souvent pour le bien, du moins on le pense); nous sommes Tou(te)s influencés.
Nos conversations sont des manipulations et elles nous influencent.
Y a pas de bourreaux, de victimes, de sauveurs, en tout ceci.
A moins que Vous ne soyez pas des humains .. sains d'esprit .. des humains faibles d'esprit.
S'il y a des humains faibles d'esprit (qui se laissent influencés sans discernement) :
Est ce inné ou acquis ?
La mention "faible d'esprit" est elle inscrite sur leur carte d'identité ?
Vous voulez savoir ce que c'est que la manipulation (de masse) celle qui a "du poids" :
Suivez les cours de Mr Edward Louis James Bernays!
.. Mr Paul Joseph Goebbels les a suivis !
Bonjour à Tou(te)s
BéatriceV , est ce que j'ai rencontré des personnes influencées par leur environnement ?
Oui, bien sur !
Exemple BéatriceV qui ne me parle plus de personnes influencées avec leur consentement, mais de personnes "forcées inconsciemment dans leur consentement".
Si c'est inconscient, alors c'est possible pour nous Tous .. les 7 milliards d'humains.
Et ma vraie nature et ma fausse nature. Ha, ha, ha !
Tout ceci, des expressions acquises … (inconsciemment) par les médias des années 1980 à 2000.
C'était "la belle époque" de la "chasse aux sectes" !
Il en reste des séquelles.
Dur, dur, d'admettre que je fais des expériences où je n'y trouve, finalement, pas "mon compte"; j'étais pas assez intelligent, ou trop inexpérimenté pour rester lucide.
Alors après l'enthousiasme, c'est la déception.
Mais, comme j'ai beaucoup, beaucoup, d'orgueil.
Je ne me suis pas trompé dans mon cheminement, dans le choix de mes fréquentations, alors ..
… Les autres, l'autre est un manipulateur, et de plus avec mon inconscience !
Ah ! l'inconscience, de plus forcée .. nous sommes au summum de l'auto manipulation. Ou plutôt au summum de consentement de la manipulation sociétale.
Oui, j'en connais, il y en aura tant que la conscience (de ce que je fais) ne sera pas là, d'être un irresponsable de moi-même.
L'enfer c'est les autres.
A chacun ses expériences pour devenir un humain responsable de ses actes.
Comme il est dit : "ne pas forcer la chrysalide à devenir papillon".
Et, l'Amie Thérèse,
Très bien l'écoute.
Et, lorsque Thérèse voit que autrui a trouvé une solution (acceptable pour elle), Thérèse ne dit rien.. j'en sais rien .. j'en ai rien à .. "cirer" ?
L'amie BéatriceV, nous dit :
"Nul ne peut me faire changer (d'idées) sans mon consentement.
"Il est regrettable que tout le monde ne puisse pas en dire autant car il y a tant de gens manipulés car perdus et cherchant un chemin rassurant... ".
Voilà une chose qui m'interpelle, je m'interroge :
Pour ses personnes ce serait sans leur consentement ?
Mon esprit a des difficultés à consentir à ceci.
Là, Cher, nous "touchons du doigt", le conditionnement (ordinaire) de la population.
Et, je suis "très pointilleux" à ce sujet.
" C'est le but de tout orateur, de tout gourou, de toute personne qui a le souhait d'être un guide ....".
Oui, tout à fait, et … de tout le monde; surtout ne pas oublier de le mentionner.
Exception, pour quelques rares personnes qui donnent leur avis et autrui en fait ce qu'il veut, et ceci ne changera pas la bienveillance pour autrui.
Oui, à nous de faire la part des choses.
De ne pas être ... bêtes : ni mouton, ni chèvre.
De ne pas être autocrate : dictateur et démocrate sont des tyrans (avec ou sans majorité).
De ne pas être : psychologues et laveurs de cerveaux : les 2 sont des "laveurs de cerveau", parfois il est bon de se laver l'intérieur de la tête autant que l'extérieur.
P. S. : le conditionnement (ordinaire) de la population : "laveur de cerveau" : ça n'existe pas.
Même les armées des "dictatures (URSS, USA) n'y sont pas arrivé. Alors c'est pas un gourou de pacotille qui va y arriver.
Mais il est de bon ton de parler de "laveurs de cerveaux".
Nul ne peut me faire changer (d'idées) sans mon consentement. C'est ceci qui est horrible, terrible .. inhumain : nul n'a pouvoir sur moi; je suis responsable de mes choix.
Bonjour à Tou(te)s
En tant que "penseur de bobos", avec un "S" car apparemment il y en a beaucoup ici et ailleurs, je vais répondre à BéatriceV :
En cas de chute de tuile(s), couvrez vous.
Ou faites un pas en arrière (résilience), sans chercher à savoir si la tuile tombe du faîte ou pas.
En fait, c'est la bonne démarche.
Selon BéatriceV: je dirais des choses vrais !?
C'est invraisemblable !
Et pourtant, avec quelques efforts ceci est possible (changer sa façon de voir).
Et c'est plus bien que mal.
Nous sommes de doux rêveurs, non pas "tant pis", mais "tant mieux"; et, quoique disent les "non rêveurs, je passe (mon chemin .. coloré).
Oui, traiter, ceci permet de dépolluer.
" C'est vraiment déstabilisant pour moi chaque fois que je me trouve confrontée à une situation de colère autour de moi et j'aimerai être moins souvent obligée de devoir digérer cela"
Hum ! très sérieux ceci .
Si je m'en tiens à la phrase :
Difficile de "digérer" ce que les autres font et sont.
A-t-on besoin "de digérer" les émotions d'autrui ?
L'harmonie est toujours préférable; cependant, qu'est ce qui me dérange lorsque je ne suis pas impliqué(e) dans une situation de disharmonie ?
"Bien placé" ou "mal placé", il y a souvent (une forme) d'orgueil.
je voudrais que le monde (mon entourage) fonctionne comme il me semble qu'il serait bon qu'il fonctionne.
Et encore ...
.. de la poussière qui a pris conscience de sa "poussièritude".
Et encore :
Je suis, donc je pense.
Ce qui fait que "j'en rate" pas une, pour taquiner les penseurs, et Tou(te)s ceux qui font semblant de ne pas penser.
Qui est donc lovyves ?
Tout un univers.
Une infinitésimal particule.
Tout à fois.
Selon l'endroit et l'échelle de grandeur où se met Dempsey.
C'est avec le sourire du crémier que je réponds au fortuné Bougeoir.
Ma mère m'a appris à battre le beurre, mais jamais la crémière, ni que je me batte.
Donc, pas de colère envers moi-même.
Quoique, parfois "la moutarde me monte au nez".
Aussitôt je me dis : qu'a t'il de si important, pour que l'émotion de la colère "monte" en moi ?
Y aurait il événement plus important que mon harmonie ?
Ceci m'évite de "jouer" à la "soupe au lait", ce qui ne ferait pas "son beurre".
Qui, parmi nous, a envie d'être dans une émotion négative (colère) ?
Personne, je pense.
Alors pourquoi mettrais je un événement plus important que l'être, vivant, conscient, que je suis.
Et bonne cuisine .. au beurre, si vous le voulez.
Thérèse, être vu de travers .. je suis sur que de profil Thérèse est très bien.
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