Ce qui est « vrai, unique et différent » pour toi

Ce qui est « vrai, unique et différent » pour toi VERSUS
 ce qui est « vérifiable, mesurable et contrôlable » par tous

 
( Cette conversation va demander toute votre attention _ Un homme me demande : )

_ « Ai-je remplacé ce qui est vrai pour moi, par ce qui est vrai pour l'autre ? »


Es-tu disposé à être totalement honnête envers toi-même, quitte à devoir mentir aux autres ?

_ « Non, je ne crois pas, pourquoi ? »

Parce que sinon tu as encore besoin d'avoir raison. Dans ce cas tu as certainement remplacé ce qui est vrai pour toi par ce qui est vrai pour les autres. 

« Je ne comprends pas..."


Si tu gardes le besoin de prouver que tu as raison, tu ne peux pas dire aux autres ce qui n'est pas vrai pour toi, mais qui est vrai pour eux.
Tu veux dire aux autres ce qu’ils sont intéressés et capables d’entendre - ce qui va leur permettre de t'écouter et qui va donc être une contribution pour eux. Pour ça il te faut ne plus avoir besoin de leur prouver que tu as raison.
C'est-à-dire qu'il te faut avoir confiance en ce que tu sais. Et pour avoir confiance en ce que tu sais, il te faut être totalement honnête envers toi-même.

_ « Pour être totalement honnête avec moi-même, je dois ne plus avoir besoin d'avoir raison ?"

Oui c'est ça.

_ « Mais alors comment je peux partager ce que je sais avec les autres ? »


Tu peux te poser deux questions : demandes-toi si ce que tu savais dans le passé est encore vrai maintenant...
Puis demandes-toi si ce que tu as défini comme vrai est ce que tu sais« en vérité », ou si c’est ce que tu as reproduit que les autres t’ont dit qu’ils « savent vrai »…

_ « Mais n’est-ce pas précisément ce qui nous permet de nous entendre ; d’avoir un savoir commun ? »

Non. Le « savoir commun » est précisément ce qui vous empêche de vous entendre et de « savoir que vous savez ».

_ « Savoir qu'on sait ; c’est-à-dire être conscient de ce qu’on sait ? »

Oui, entre autres. « Savoir qu'on sait » c’est passer de la croyance du « je ne sais pas » à la reconnaissance du « je sais bien plus que ce que je crois savoir ».

_ « Mais pourquoi reproduire ce que les autres savent, nous empêcherait-il de nous entendre et de savoir qu’on sait ? »

Parce que reproduire ce que les autres savent est précisément ce qu’on utilise pour remplacer la curiosité de « ce qui est maintenant » par le besoin d'avoir raison ou tort sur ce qui n’est plus (sur ce qui a été défini dans le passé et entendu comme vrai). C’est comme ne plus se poser de questions.
On ne peut pas s’entendre sur ce qui est défini, car ce qui est défini est déjà « entendu » ! On ne peut plus que confronter nos torts ou nos raisons sur ces définitions.

_ « Je n'aime pas la confrontation, je l'évite ; pourquoi je choisirais de me confronter ? »

Tu confrontes tes torts et tes raisons parce que tu le vis comme un besoin ; celui de te différencier sur le terrain du savoir commun. Tu ne le choisis pas parce que tu aimes ça, tu le choisis parce que tu l'as défini comme besoin.
Tu es coincé dans cette dualité. Si tu ne veux pas confronter tes points de vues, tu essayes d'éviter la confrontation, mais c'est en fait une autre manière de maintenir la confrontation en te mettant en tort. Si à l'inverse tu choisis la confrontation, c'est pour avoir raison. Avoir tort te maintient tout autant dans la confrontation qu'avoir raison.

Quand tu ne te donnes plus la liberté d’avoir un savoir différent du savoir commun, tu essaies d’inventer de nouvelles définitions de ce savoir commun et tu compares tes définitions aux définitions des autres. Tu cherches à trouver ta différence personnelle dans cette confrontation de définitions.

_ « C’est pour ça qu’on ne s’entend pas donc ? »

Disons que c’est ce qui fait que vous ne pouvez plus vous entendre. Au départ vous aviez tout pour vous entendre, même avec des points de vues différents, puis vous vous êtes fermés.
« S’entendre » avec quelqu'un revient à entendre « sa propre différence » dans la reconnaissance de l’autre ; quand l'autre est capable de dire avec ses propres mots ce qui est vrai pour toi. Là, tu « t’entends » avec l'autre (plus précisément ; tu entends ton savoir à-travers ce que dit l'autre).
Mais ça n’arrive pas dans une confrontation de définitions. Vous n’y faites que remuer la poussière ; vous re-définissez ce qui a déjà été défini et qui n’est plus présent, donc qui n’existe pas. Vous vous prenez la tête sur des soit-disantes vérités qui en fait ne font que vous éloigner de ce qui est là, vivant et « vrai » effectivement. Parce que ce qui est présent et vrai, l’est pour chacun différemment. Ce n'est donc pas définissable.

_ « A t’entendre il n’y a pas d’espoir de s’entendre avec qui que ce soit… »

Si et je viens de t'en parler ; il y a une autre possibilité ; si tu t’intéresses à ce qui est « vrai » pour l’autre, alors vous commencez à vous « entendre », parce que l’autre commence à s’entendre - lui-même - dans ce que tu exprimes toi (avec tes propres mots) de ce qu’il te dit lui. Il commence à entendre sa propre différence dans ta version de ce qu’il sait. C’est ce qui va lui donner la reconnaissance et la confiance qu'il cherche. Ensuite - et seulement ensuite - il sera disposé à écouter ce qui est vrai pour toi. Tu as fait le premier pas ; il s’est « entendu » avec toi… Maintenant à toi de t’exprimer pour « t’entendre » avec lui.

Si tu ne fais pas ce premier pas, soit tu adoptes ce que l'autre a défini, soit tu t’y opposes. Dans aucun cas « ta vérité » ne peut être entendue ; soit elle est remplacée par celle de l’autre, soit elle y est opposée, donc refusée et souvent réfutée. C’est de là que tu commences à douter de ce que tu sais, donc de toi. Tu commences à perdre confiance en toi...

_ « Donc je dois avoir confiance en moi pour m’entendre avec quelqu’un ? »

Non, pas forcément ; tu peux trouver confiance en toi en conversant avec qui que ce soit. Mais pour ça tu dois faire le premier pas : n’avoir rien à dire qui te concerne, pour exprimer - seulement - ce que l’autre te dit.
Comme je viens de te dire ; pour t’entendre avec quelqu’un, il faut te permettre à toi-même d’exprimer le point de vue de cette personne avec tes propres mots ; tu ne mets pas en jeu ce que tu sais de vrai pour toi, tu ne parles que de ce qui est vrai pour l’autre. Du coup tu n’as plus à douter de ce que tu sais ! Et tu deviens confiant.

_ "Mais qu'est-ce que je dois dire alors ? »

Ce que tu exprimes, c’est ta curiosité, ton intérêt pour ce que l’autre dit et sait, avec les mots qui te viennent, mêmes s’ils ne sont pas justes. Si tu cherches le bon mot à dire, tu vas perdre ta curiosité parce que tu seras à nouveau centré sur toi-même.
Il faut commencer par centrer ton intérêt sur l’autre. Si tu es intéressé par ce que l'autre sait, non seulement tu diras les mots qui conviennent, mais en plus tu ne perdras pas de vue ce que tu sais toi-même. Tu n’auras plus besoin de l’opposer ni d’en douter, ni d’avoir raison, ni d’avoir tort. Ta liberté relationnelle commence là.

_ « Ok je commence à comprendre, mais je ne vois toujours pas pourquoi définir quelque chose m’empêcherait de savoir ce que cette chose est en vérité… »

On y revient ; ce qui est défini, est conclu, c'est passé. Si je l’utilise comme prétexte à savoir ce qui « est » maintenant, je regarde le présent à-travers la lunette du passé. Je regarde « ce qui est » à-travers « ce qui n'est plus ». Je crois observer ce qui vit et qui évolue en regardant en fait ce qui est mort et révolu...
Si en plus j’essaie de faire des « vérités » de mes conclusions, alors je perds totalement de vue « ce que je sais », car je ne sais plus que « ce que je pense ». C’est comme ne croire que ce qu’on voit… On finit par croire qu’il n’y a pas d’espoir, qu’il y a pas d’air, pas d'espace et même que la Terre est plate…

_ « Vu comme ça il n’y a plus de vérité ni de réalité.. ! »

Si, il y a toujours « cette » réalité commune sur laquelle les gens s’entendent... pour oublier ce qu'ils savent de vrai - et de différent - pour eux.  Dans cette réalité, on ne nous encourage pas au savoir et à la différence, on nous encourage plutôt à savoir ce qui est déjà « su » et défini par tous.
Ceux qui savent le plus de ce savoir commun, sont ceux qu’on respecte le plus dans cette réalité. « Cette » réalité, à-travers cette vérité commune, existe donc bien. Mais est-ce la tienne ?

_ « Je ne sais pas, je cherche... Je connais des gens qui vivent dans leur propre réalité… »

Oui tu cherches ta réalité. Certains créent des réalités qui leur semblent plus personnelles, ils les créent pour maintenir une version plus individuelle de la réalité commune. Deux personnes et quelques définitions suffisent pour créer une réalité.
Mais en fait, ce n’est toujours pas ce qui est « vrai et différent » pour eux, parce qu’une réalité se crée sur un accord d’égalisation : une égalité de définition. Il y a forcément une « différence » qui passe à la trappe. L’un des deux (ou pour un plus grand nombre ; tous sauf un !) doit abandonner ce qui est « vrai » seulement pour lui, pour y substituer ce qui est vrai pour l’autre (ou pour tous). Tu vois où ça mène ?

_ « ... A l’oppression ? »

Oui entre-autres ; c’est le fondement de l’abus relationnel… et de la dictature, sous toutes ses formes, manifestes ou intrinsèques. Mais ça peut prendre aussi des formes beaucoup plus romantiques… « vivre d’amour et d’eau fraiche » en est un exemple ; nous créons notre réalité à nous-deux, dans notre cocon, pour ne plus sentir la tyrannie de « cette » réalité commune générale qui ne reconnaît pas « notre » différence. Mais dans « notre » différence, lequel des deux à abandonné ce qui était vrai « seulement »  pour elle ou pour lui ? Peut-être même que les deux s’y sont « abandonnés », dévoués à cette nouvelle réalité qui les conduit vers une déception.

_ « J'ai quand-même besoin que l’autre reconnaisse ce qui est vrai pour moi ! Sinon comment pourrais-je exprimer mes besoin ? »

As-tu vraiment besoin d’exprimer tes besoins aux autres et que les autres respectent tes besoins, ou peux-tu les satisfaire toi-même ? Et quels sont ses besoins en vérité ?
Si tu veux que les autres respectent tes besoins, tu vas leur imposer comme les conditions de tes possibilités avec eux… C’est encore une forme de dictature.
Tu crois que tu as besoin que l'autre connaisse tes besoins parce que tu cherches sa reconnaissance, mais tu attends la reconnaissance de l’autre seulement parce que tu ne te l’ai pas donnée à toi-même. C’est ce qui maintient la relation dans l'abus. Et la dictature continue… parce que tu ne recevras jamais la reconnaissance de l’autre tant que tu ne te la seras pas octroyée toi-même.

_ « C'est comme si j’étais obsédé par mes besoins... »

Exactement ; tes perspectives se réduisent, jusqu’à ce qu’il n’y en n’ai plus qu’une, étroite, nécessaire, isolée, obsessionnelle et décevante ; satisfaire ton besoin, atteindre ton objectif, obtenir ton résultat… et ça passe à travers la reconnaissance de ce besoin par l’autre.
Même si tu crois un jour avoir obtenu cette reconnaissance ; si au bout de tes efforts tu parviens à ce que l’autre apparemment t’honore et te respecte, ce sera depuis une idée qu'il a de toi fondée sur les jugements qu’il a de toi (positifs ou négatifs) ; ça ne comprends pas ce que tu es en vérité. Tu commenceras à t’identifier à ces jugements, qui au début seront séduisants, mais qui au bout du compte t’auront totalement trompé. Retour case départ ; malgré toutes tes manipulations et tes efforts, tu ne sais toujours pas qui tu es. Et ça s’empire ; le ressenti, la frustration et la colère pourraient alors devenir de nouveaux moteurs pour repartir en croisade relationnelle, cette fois plus violemment.

_ « Selon toi donc, il n’y a pas d’espoir… »

Si, il te faut reconnaître la confiance en toi que tu as déjà, en arrêtant de la chercher à-travers les autres. C’est tout l’intérêt du « premier pas » dont je t’ai parlé. C’est une véritable possibilité et elle est disponible à chaque interaction que tu as avec quelqu’un. Elle ne demande que du courage… Il faut être disposé à faire ce premier pas ; le pas que tu as attendu que l'autre fasse pour toi : t’intéresser authentiquement à lui.

_ « Du courage seulement ? Il s’agit quand-même de tout transformer, c’est pas à la portée de tout le monde ! »

C’est précisément cette croyance qui empêche tout le monde… La croyance que tu ne peux pas ; toutes les formes d'abus dans ta vie proviennent de cette croyance. Tout le monde est capable de s’exprimer, même ceux qui n’ont pas la parole. Ils expriment ce qu’ils perçoivent ; la façon dont ils voient les choses et c'est précisément ça qui est requis : exprimer ce que tu perçois ! La seule différence ici c’est que tu déplaces ton intérêt : tu passes de ton intérêt personnel à ton intérêt pour l’autre. La transformation se fait à ce moment-là. Et oui, c’est là qu’il faut du courage ; pour passer de soi à l’autre.
Si tu te permets à toi-même d'exprimer les besoins de l’autre, la relation commence à devenir extraordinaire. Tu génères une relation formidable et - en comparaison à nos habitudes relationnelles - ça devient même une relation proprement miraculeuse.*
Tu vas aussi reconnaître ce qui est vrai pour l’autre. Et contrairement à ce que tu penses, c’est la meilleure manière d’avoir confiance en ce que tu sais qui est vrai pour toi.

_ « Donc je n’ai plus besoin que l’autre comprenne mes besoins à moi ? »

Précisément. Mais as-tu véritablement des besoins, ou bien as-tu l'envie d'avoir plus ? Ce sont deux choses opposées. D'un côté, avoir un besoin empêche d'avoir plus et de l'autre, avoir envie d'avoir plus, te libère du besoin - c'est-à-dire du manque.
Tu te libères aussi d'une autre limitation ici ; tu n’as plus besoin non-plus que l’autre comprenne ce qui est vrai pour toi. Tes efforts pour que l’autre reconnaisse ton besoin est le meilleur moyen de perdre ou de ne pas pouvoir utiliser ce que tu as. Et ton besoin que l’autre reconnaisse ce qui est vrai pour toi est le meilleur moyen d’oublier ou de douter de ce que tu sais. Les deux te font manquer et douter de ce que tu es en vérité.

_ « Bon, ben ça change tout ! »


N’est-ce pas ce que tu cherches ; le changement ?

_ « J’ai cherché le changement pour certaines choses, mais pas pour d’autres… »

Quand tu permets à une chose de changer, les autres changent aussi. Quand tu ouvres les volets, la lumière rentre et éclaire tout ; tu ne demandes pas à la lumière d’éclairer seulement quelques parties de la pièce parce que tu préfèrerais que d’autres restent dans l’obscurité… De la même manière, puisque tout ce qui vit change, quand tu ne retiens plus ce qui évolue dans un domaine de ta vie, toute ta vie commence à évoluer.
Voici un autre exemple ; si tu as déjà fait du dessin ou de la photo, tu as observé que lorsque tu changes d'un seul degré l’angle de ta perspective, toutes les formes incluses dans cette perspective sont modifiées. La photo ou le dessin deviennent totalement différents. C’est le même principe.

_ « D’accord, mais comment je fais pour vivre avec l’autre si je n’ai plus besoin qu’il comprenne ce qui est vrai pour moi dans cette perspective différente ? »

Tu reconnais ce qui est vrai pour toi. Et tu l’assumes, même si ça n'est vrai pour personne d’autre. Tu as utilisé ce soi-disant besoin que l’autre le comprenne, précisément pour ne plus avoir à être le seul à savoir « ce que tu sais ».
As-tu conscience que ce que tu sais, personne d'autre ne le sait ? C’est ce qui fait ta force ; ta différence. Et c’est tout ce que tu as eu l’habitude de juger en toi ; là où tu t’es mis en tort toute ta vie.

_ «  Alors ça veut dire que je me retrouve tout seul ? »

Oui et non, ça veut dire que tu vas commencer à ne plus vivre isolé. Tu as vécu dans l’isolement, personne n'a jamais su reconnaître ni comprendre ce que tu es vraiment, ni ce que tu sais en vérité. C’est en train de changer. Il te reste à reconnaître d’une-part qu’être « seul » à savoir quelque chose ne veut pas dire être « isolé », et d’autre-part que c’est précisément ce qui va te permettre de te connecter aux autres et d’être enfin reconnu.

C’est parce que tu as tout fait pour ne pas être « seul » à savoir ce que tu sais que tu as passé ton temps et ton énergie à vouloir que les autres te comprennent. C’est ce qui t'a isolé. Maintenant c’est le moment de choisir d’être seul à savoir ce qui est vrai pour toi et à faire tes choix à-partir de cette vérité et de cette réalité, qui ne sont qu’à toi.

_ «  C’est quand-même une solitude… »

Qu'y a-t-il de mal avec la solitude ? La solitude n’est pas l’isolement. Celles et ceux qui inspirent les autres et qui ouvrent de nouvelles voies, de nouvelles possibilités, vivent dans la solitude : ils n’attendent pas que les autres leur donnent raison et ils ne s’arrêtent pas si les autres leur donnent tort. Ils avancent. Ils changent le monde. Et ils sont souvent suivis par de nombreuses personnes… Ce n’est pas ce que j’appelle de l’isolement, au contraire !
Alors peux-tu supporter cette « solitude » ? Si tu le peux, alors tu vas commencer à te trouver de moins en moins isolé ou séparé des autres. Oui c’est paradoxal ; en choisissant d’être « seul » à savoir ce que tu sais, tu vas te reconnecter à tous et à tout. C’est ce que tu as cherché depuis le début…
As-tu le courage de cette différence ? Reconnais-tu la puissance que ça te donne, ou préfères-tu suivre le besoin d’être comme les autres et de te diminuer et de te modifier jusqu’à ce que les autres t’acceptent et t’accueillent dans leur jugement, dans leur réalité, leur groupe, leur famille, leur culte…?

Tu vois, ce n’est pas seulement ce que tu sais que tu adaptes, déformes et contrains pour que les autres te reconnaissent, c’est aussi ce que tu perçois, ce que tu es et ce que tu es capable d’avoir… C’est en fait tout de Toi, dans ton intégrité, dans ta différence et dans ta souveraineté d’être, vivant et libre.


_ « Merci, je vois maintenant ce qui est devant moi… »

Merci à toi pour ta curiosité et ton courage. Il ne te reste qu’à choisir, encore et encore... C'est ta liberté.

(...)
__ __


©2021 AIM Ivan Martin

Cette conversation est extraite du livre "NE LES SUIS PAS".
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Merci pour votre curiosité.

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Commentaire de Ivan M le 5 Février 2022 à 19:39

Merci beaucoup Sohalia ! _/\_

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