Date: |
Ven, 14 Mai 2010 20:00 EST |
De: |
Eric Hamel |
À: |
Distribution |
Sujet: |
Blessures émotionnelles et libérations |
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Bonjour, Comment les blessures émotionnelles sont créées Nous avons tendance à croire, que parce que nous sommes sensible, que nous devons protéger notre sensibilité, et/ou nous protéger des autres, car c’est dangereux qu’ils nous blessent. Il y a deux erreurs de pensée là-dedans. Première erreur de pensée Avez-vous remarquez, que même si nous créons des tonnes de protections, que nous finissons toujours par nous blesser? C’est parce que ça n’a rien à voir avec la sensibilité. La sensibilité, c’est une très belle qualité d’Amour, que nous apprenons à développer, en apprenant à s’écouter. Plus nous apprenons à nous écouter, et plus nous devenons sensible. Plus nous devenons sensible et plus nous sommes en mesure de sentir ce qui se passe à l’intérieur de nous et à l’extérieur de nous. Les protections ne nous empêchent pas de souffrir, car nous ne souffrons pas à cause de notre sensibilité. Vous allez comprendre avec l’exemple plus bas. Deuxième erreur de pensée C’est de croire que les autres peuvent nous blesser. C’est tout à fait faux. Preuve Si quelqu’un nous crie des bêtises, et que nous partons à rire sans que nous nous sentions mal à l’intérieur, est-ce que nous allons nous blesser? Non! Si la même personne, nous crie les mêmes bêtises, et que nous n’acceptons pas ce qui se passe, est-ce que nous allons nous blesser? OUI! Vous voyez que dans un cas, nous nous blessons, et dans l’autre non. Ça n’a donc rien à voir avec la sensibilité, ni avec les autres. C’est toujours nous, qui nous blessons, selon la façon que nous prenons ce qui nous arrive dans notre vie. Pourquoi Si c’est nous les créateurs de notre expérience, est-ce que ça fait du sens que de ne pas accepter ce qui nous arrive? Non! Parce que c’est nous qui l’avons créé! Une des plus grandes leçons que nous venons apprendre ici en tant que Créateur, c’est d’être responsable de nos créatures, de nos créations. Si nous n’acceptons pas nos créatures, est-ce que nous prenons notre responsabilité? Non! C’est donc un premier manque d’Amour envers soi. Comme nous venons sur Terre pour apprendre, c’est comme si nous disions à l’univers : je ne veux pas apprendre ça. C’est donc, un deuxième manque d’Amour envers soi. Jouer la victime Ne pas vouloir prendre notre responsabilité, fait en sorte que nous jouons la victime! Plus nous jouons la victime, et plus nous disons à la vie : « J’aime ça jouer la victime! Envoies-moi en plus! ». Nous disons même :
Nous n’avons rien fait au Bon Dieu pour mériter ça, c’est NOUS qui l’avons créé! Arrêter de nier Lorsque nous disons ces phrases, nous nions ce qui est arrivé. Ça ne donne rien de nier, C’EST ARRIVÉ! Comme nous ne pouvons changer le passé, nous mettons de l’énergie dans la mauvaise direction. Acceptation Accepter ça nous semble bien difficile. Nous disons même : « Ah ça, je ne serai jamais capable d’accepter ça dans ma vie! ». C’est causé par deux choses :
Aussitôt qu’on est pas en accord avec ce qui arrive, comme dans l’exemple plus haut, automatiquement, nous ne l’acceptons pas. Et c’est la même chose avec le jugement. Aussitôt que nous avons jugé quelque chose est bon ou pas bon, tout ce qui n’est pas bon, nous ne voulons surtout pas que ça nous arrive dans notre vie. La vraie signification du mot accepter Ce n’est pas ce que « accepter » veut dire. Quel est l’opposé du mot « accepter »? C’est « refuser », « rejeter ». Est-ce que vous voyez que ça n’a aucun lien avec « être en accord avec »? « Accepter » veut dire : « accueillir », « embrasser », « unir ». Par rapport à l’exemple de tout à l’heure, voyez-vous que même si nous ne sommes pas en accord avec la personne qui nous crie après, qu’il est quand même possible, d’accueillir que ça se passe comme ça. C’est de comprendre que la personne qui nous crie après, est tout simplement en manque d’Amour pour elle-même, et qu’elle souffre présentement. De prendre le temps de le voir de cette façon, c’est ce que l’on appelle, la compassion. Si nous répondons en criant, est-ce que nous allons lui donner l’Amour qu’elle a besoin? Non! C’est tout le contraire qu’il faut faire! Un autre exemple Si quelqu’un nous coupe un membre, disons une main, est-ce qu’il nous a blessé? NON!!! Est-ce que nous sommes le corps physique? NON! Nous sommes la Conscience qui vient emprunter le corps physique. Voir le courriel sur « Les besoins du corps physique ». Le corps physique ne nous appartient même pas. Est-ce que quelqu’un d’autre peut vraiment nous toucher et nous faire mal? NON! L’Âme ou la Conscience est INTANGIBLE, c’est à dire qu’on ne peut lui toucher physiquement. Nous allons nous blesser seulement si nous n’acceptons pas la blessure physique. Donc, nous ne pouvons pas être attaqué! C’est l’égo qui nous fait croire à ça. Ce cher égo C’est l’égo qui se sent attaqué, et qui attaque en retour. Il croit pouvoir nous protéger. Est-ce qu’il peut nous protéger, si c’est nous qui nous blessons chaque fois que nous n’acceptons pas? Non! Il est là pour nous amener dans la direction du manque d’Amour. Il est faux de croire que nous pouvons favoriser la paix, en favorisant la guerre. L’égo est un logiciel. Un logiciel ça fonctionne avec un ordinateur. L’égo fonctionne avec le cerveau. C’est une création du mental humain. Cela veut dire que nous avons TOUS le même égo. Par contre, un logiciel ça ne fonctionne pas tout seul. Il a besoin de données pour fonctionner. Comme l’égo est une création du mental humain, il a seulement accès à notre passé. Qu’est-ce qu’il y a de si terrible dans notre passé qui pousserait l’égo à essayer de nous protéger? Nos blessures émotionnelles! Comme nous avons tous des blessures différentes, c’est ce qui fait que l’égo de chacun, réagit d’une façon différente, et que nous semblons tous avoir des défauts différents. Plus nous libérons nos blessures émotionnelles, et plus nous nous libérons de l’égo. C’est comme ça que nous libérons les programmes par défaut de l’égo. Ce qu’on appelle les défauts! Ce sont les apprentissages qu’il nous reste à faire! Comment faire pour éviter de se créer des blessures Donc, « accepter », ça veut dire d’arrêter de nier ce qui est arrivé, au lieu de dire « je ne voulais pas que ça m’arrive », c’est de dire « hey bien oui, c’est ça qui est arrivé! ». C’est d’aller plus loin que ce qui est arrivé, pour voir c’était quoi que nous avions à apprendre à travers ça. C’est toujours en lien avec un manque d’Amour envers soi. Il est maintenant beaucoup plus facile d’accepter, contrairement à ce que l’on croyait! Et cela nous évitera de nous créer de nouvelles blessures. Si les autres ne peuvent nous blesser, est-ce que nous pouvons blesser les autres? Non! Arrêtons d’avoir peur de blesser les autres, car ce n’est pas possible. Nous n’avons aucun contrôle sur comment les autres vont accepter ou non. Et c’est ce qui est bon pour eux, pour leur apprentissage, qui arrivera. Nous bloquons souvent notre cou et gorge, en nous empêchant de communiquer aux autres comment on se sent, de peur de les blesser. Ce qui fait que les autres, ne peuvent nous connaître vraiment, connaître nos désirs et besoins. Si les autres ne connaissent pas nos besoins et désirs, comment peuvent-ils nous « supporter »? C’est souvent en lien avec des maux de haut de dos, lorsque nous avons l’impression de ne pas être assez supporté par les autres, ou si nous avons l’impression d’avoir à supporter tout le monde. Les émotions, un bon outil à comprendre Chaque fois que nous avons des émotions négatives (que ce soit de la colère, de la frustration, de la peur, ...), nous devrions réaliser, prendre conscience, qu’il y a quelque chose que nous n’acceptons pas présentement. Ça devrait être comme une alarme qui nous dit « Attention, tu es en train de te créer des blessures émotionnelles! ». Il est donc important de ne pas avoir peur de nos émotions négatives, de les comprendre, et les remercier. La digestion L’expression « Ah ça, je ne digère pas ça dans ma vie! » prend tout son sens ici. Ça veut dire qu’on est pas capable d’accepter. Plus nous avons de la difficulté à accepter, et plus nous avons de la difficulté à digérer! Il n’y a pas de hasard. Tout a été prévu et planifié ainsi. Chaque organe digestif, absorbe une émotion en particulier. Par exemple : le foie accumule la colère. Plus nous accumulons de la colère et plus le foie sera engorgé et aura des problèmes à fonctionner. L’organe du foie est aussi en lien avec la foi, la confiance! Il est évident que si nous vivons de la colère, c’est que nous manquons de confiance en soi, en la vie. Des petits monstres (nos blessures émotionnelles) Chaque fois que nous n’acceptons pas ce que nous avons créé, nous créons des blessures émotionnelles. Comme nous sommes des Créateurs, et que l’énergie que nous utilisons pour créer c’est l’Amour, et que l’Amour est l’énergie de Vie, cela fait en sorte que nos blessures émotionnelles sont VIVANTES! Même si nous ne pouvons les voir avec les yeux, elles existent dans l’énergie autour de nous. Et comme nous les avons créés lorsque nous n’étions pas dans un état de paix, ces créatures souffrent et ne sont pas heureuses. C’est pourquoi je les appelle nos petits monstres. L’inconscient Et comme nous n’avons pas voulu accepter ce qui est arrivé, nous n’avons pas voulu le vivre, nous n’avons pas voulu en avoir conscience. Alors toute cette énergie s’est retrouvée dans l’INCONSCIENT. Tout ce qui se ramasse dans l’inconscient, ne peut pas être libéré, tant et aussi longtemps que ça ne revient pas au niveau CONSCIENT. Ça c’est ramassé dans l’inconscient parce que nous n’avons pas voulu l’accepter. Et bien la clé pour que ça puisse revenir au niveau conscient, c’est l’ACCEPTATION. Apprendre à s’écouter Ces petits monstres remontent de l’inconscient de temps en temps pour nous faire sentir leur présence, pour que nous finissions par les écouter, et pour que nous prenions notre responsabilité. Ces petits monstres se manifestent de plusieurs façons : dans le silence, dans les rêves, à travers les autres, blessures physiques (maux, malaises, maladies, accidents). Dans le silence Nous nous sentons bien, et tout d’un coup, nous commençons à nous sentir mal, sans comprendre pourquoi. Ce n’est pas nous qui nous sentons mal. Ce sont nos petits monstres qui nous font sentir leur présence. Ils nous font sentir comment ils se sentent. En fait, c’est exactement comment nous nous sentions au moment où nous les avons créés. Si nous nous écoutons pas assez, nous allons croire que c’est nous qui nous sentons mal, et nous allons dire « Je me sens dont mal! », et nous allons amplifier ça encore plus. Dans ce temps là, nous avons tendance à vouloir fuir de se sentir mal, en mettant de la musique, la télévision, aller sur internet, travailler comme des débiles mentales, compenser dans la nourriture, le jeu/casino, l’alcohol et la drogue, et bien plus. C’est en fait que nous fuyions de nous écouter, d’écouter nos petits monstres. C’est comme si nous n’acceptons toujours pas ce qui est arrivé dans le passé. Alors nos petits monstres finissent par retourner dans l’inconscient, à force des les ignorer, et nous finissons par nous sentir bien à nouveau. Est-ce que nous nous sommes libéré d’eux? Non! Ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils reviennent au niveau conscient. Comme on est ici pour apprendre, ça va revenir tant et aussi longtemps que nous n’aurons pas appris! Dans les rêves Pas tous les rêves, mais certains rêves sont « l’inconscient » qui nous parle, sous forme de symbole. Qu’est-ce qu’il y a dans l’inconscient? Nos blessures, entre autres. Nous nous réveillons en pleine nuit, nous étions en train de faire un mauvais rêve, et nous nous sentons mal. C’est justement une ou des blessures qui sont justement à la surface, à la conscience. Et nous ne pouvons pas nous rendormir avant un méchant bout! Jusqu’à temps que ça fasse assez longtemps que nous ignorons nos blessures, pour qu’elles finissent par retourner dans l’inconscient, et là, nous pouvons nous rendormir. Si nous prenions le temps de nous libérer tout de suite, aussitôt qu’on en prend conscience, nous pourrions nous rendormir aussitôt! Je l’ai fait à plusieurs reprises et ça fonctionne super bien. Voir « Comment se libérer » plus bas. À travers les autres Lorsque nos amis et notre famille vivent des choses difficiles, et qui viennent nous en parler, nous avons tendance à répondre « Ah non! Ça n’a pas d’allure ce qui t’arrive! ». Qu’est-ce qui ne fait pas de sens dans cette phrase? Nous n’acceptons pas ce qui arrive aux autres, ce n’est même pas à nous que ça arrive! De plus, nous n’aidons pas les autres à accepter ce qu’ils ont créé dans leur vie. Ce sont eux qui ont créé ça, pour leur apprentissage! Ce n’est pas mauvais, c’est bon! Alors pourquoi nous nous sentons aussi mal? Parce que les blessures que les autres sont en train de se créer, en n’acceptant pas ce qu’ils ont créé dans leur vie, vibrent à la même fréquence, que des blessures que nous portons en nous. Ce qui entre en résonnance, et fait vibrer nos blessures, ça les fait remonter au niveau conscient. C’est pourquoi, nous nous sentons aussi mal qu’eux, sinon plus! Si nous prenions le temps de nous libérer tout de suite, nous pourrions nous sentir beaucoup mieux tout de suite! Blessures physiques Nous venons ici sur Terre, pour apprendre c’est quoi l’Amour. Et pour ce faire, nous avons besoin de vivre le manque d’Amour en premier. Plusieurs conditions sont nécessaires pour nous permettre de ressen..., voir le courriel à ce sujet. Comme nous venons ici pour apprendre, nous avons besoin de deux outils de motivation. Outils de motivation Le premier outil est la carotte. Nous courons après la carotte, et lorsque nous réussissons à en attraper une, nous la mangeons et ça nous fait du bien. Et ça nous motive à courir après d’autres carottes. Si nous n’avions que des carottes, est-ce que nous pourrions vivre le manque d’Amour? Non! Nous avons besoin d’un deuxième outil de motivation : le bâton! Des fois, nous avons besoin que ça fasse MAL pour nous motiver à écouter, à apprendre. Le bien et le mal La carotte, c’est le bien. Et le bâton, c’est le mal! Le bien et le mal sont nécessaires pour notre apprentissage ici sur Terre. Vous comprenez maintenant pourquoi il est important d’arrêter de juger, car c’est une illusion, TOUT EST BON pour notre apprentissage. Nous sommes des Êtres Divins. Nécessairement, nous créons notre expérience toujours PARFAITEMENT pour notre apprentissage. Tout est toujours parfait! Si nous n’écoutons pas nos petits monstres, lorsque nous sommes dans le silence, ça ne fait pas si mal que ça, et ça nous ferait le plus grand bien, que de libérer ça tout de suite = c’est la carotte. Si nous n’écoutons pas nos petits monstres, à travers nos rêves, ça ne fait pas si mal que ça, ce ne sont que des rêves. Et ça nous ferait le plus grand bien, que de libérer ça tout de suite = c’est la carotte. Si nous n’écoutons pas nos petits monstres, à travers les autres, ça ne fait pas si mal que ça, puisque ce n’est pas nous qui le vivons. Et ça nous ferait le plus grand bien que de libérer ça tout de suite = c’est encore la carotte. Alors là, ça n’a pas d’autres choix, que de se manifester au niveau physique : maux, malaises, maladies et accidents = et là c’est le bâton. Un accident, ce n’est jamais un « accident ». Car ici dans la dimension physique, pour que quelque chose se manifeste, ça doit exister dans l’énergie avant. Alors, rien n’arrive pour rien, c’est vrai. C’est pourquoi le hasard, ça n’existe pas ici. Est-ce qu’un Créateur peut créer quelque chose par accident? Non! Nous créons notre expérience à partir de notre pensée. Rien n’est accidentel. Pourquoi prenons-nous des assurances? Pour jouer la victime! Et pour s’assurer (assurances) que nous ayons des accidents! Nous attirons à nous un accident, lorsque le corps physique n’est pas en mesure de se faire assez mal par lui-même tout seul, afin de nous donner la grosseur du message, que nous avons besoin, pour nous montrer la grosseur du manque d’Amour, que nous nous portons. Plus ça fait mal, et plus le manque d’Amour est grand. Comment se libérer C’est le contraire qu’il faut faire! Il faut prendre le temps de s’écouter et d’écouter nos petits monstres, afin de leur donner l’Attention, l’Amour dont ils ont besoin pour quitter notre énergie. Tout comme on s’occupe d’un bébé qui pleure. Nous ne lui disons pas de se la fermer. Et nous ne l’enfermons pas dans le garde-robe non plus! Nous devons les prendre dans nos mains, nos bras, leur parler, être présent pour eux, comme si rien d’autre au monde n’existait. Leur donner TOUT NOTRE ATTENTION, tout notre Amour. C’est de leur dire :
Et de continuer à les écouter, à leur porter attention. Et nous allons les sentir quitter notre énergie, ainsi que le corps physique, une fois pour toute! Je m’excuse de vous avoir créés C’est très puissant que de dire cette phrase, avec ces mots exacts. Ça nous permet de reprendre NOTRE RESPONSABILITÉ en tant que Créateur de ces créatures. Nous arrêtons de jouer la victime. Lorsque nous jouons la victime, nous donnons notre pouvoir aux autres. Alors les autres, ont le pouvoir sur notre bonheur. Mais, c’est notre bonheur! Si nous sommes tous des Êtres Divins, et que nous sommes tous très puissants, est-ce que les autres ont besoin de notre pouvoir? Non! GARDONS NOTRE POUVOIR! Si nous avons donné notre pouvoir aux autres, est-ce normal que nous ayons de la difficulté à créer notre vie, comme nous la voulons? Oui! Non seulement, cette phrase nous permet de reprendre notre responsabilité, mais elle nous permet également de reprendre TOUT NOTRE POUVOIR. Ce qui nous donne le pouvoir ensuite de créer notre vie, comme nous la voulons. Voir le courriel sur « Apprendre à Être des Créateurs ». Je vous demande pardon Nous ne devons pas dire ça en se sentant coupable, ou en ayant des regrets, ce n’est pas le but du tout. Le but, c’est simplement de donner de l’Amour à nos créatures pour qu’elles puissent partir. « Je vous demande pardon », parce que les créatures sont vivantes, et ça fait des années, voir même des vies, que nous les ignorons, et que nous ne voulons pas prendre notre responsabilité envers elles. « Je vous demande pardon », aussi parce qu’avoir su que je créais des créatures malheureuses, chaque fois que je n’acceptais pas quelque chose, j’aurais accepté à la place. Je vous aime Car ces créatures ont besoin d’Amour pour être libérées. Et je vous remercie Car elles nous apprennent à mieux créer. Arrêter de créer des blessures, et créer du positif à la place. Quantité de blessures à libérer Imaginez un instant, toutes les fois que nous n’avons pas accepté quelque chose dans notre vie! Des fois c’est ridicule, le téléphone sonne, nous chialons après le téléphone, nous n’acceptons pas que le téléphone sonne, nous nous créons des blessures! Ajoutez à cela, toutes les choses que nous n’avons pas acceptées de nos vies antérieures! Lorsque nous arrivons ici sur Terre, dans un nouveau véhicule, un nouveau corps physique, nous portons en nous, toutes ces blessures. Oui, il y a énormément de blessures à libérer. Mais il ne faut pas voir ça comme une grosse montagne, mais plutôt de faire chacun des pas pour toutes les libérer. Ça m’a pris 6 mois pour tout libérer mes blessures, en faisant cette technique décrite plus haut, à tous les jours, plusieurs fois par jour, et même la nuit. Pour vous, ça risque d’être plus rapide, grâce aux trucs que j’ai appris en cours de route. Car au début je libérais seulement une blessure à la fois, mais j’ai appris à en libérer plusieurs d’un coup. Technique pour libérer plusieurs blessures à la fois Pour se faire nous devons demander de l’aide. Cette technique est très intéressante car nous n’avons pas besoin d’attendre de se sentir mal avant de faire quelque chose. Nous devenons proactif au lieu de réactif. Ce qui empêche les blessures émotionnelles d’avoir à descendre jusque dans le physique, pour que nous en prenions conscience, pour être ensuite capable de les libérer.
◦ « Je m’excuse de vous avoir créés. » ◦ « Je vous demande pardon. » ◦ « Je vous aime. » ◦ « Et je vous remercie. »
Libérer les émotions Les blessures émotionnelles et les émotions sont deux choses différentes. Lorsque nous n’acceptons pas, nous créons des blessures émotionnelles. Et les émotions qui viennent avec, sont bloquées dans notre corps émotionnel, comme dans une mémoire tampon (buffer) d’un ordinateur, en attente d’être traitées. Voici comment les traiter :
Respecter nos limites Comment pouvons-nous connaître nos limites, si nous nous écoutons pas? C’est très important de nous écouter pour ne pas en faire trop, sinon nous allons dépasser nos limites, et c’est un manque de respect envers soi, un manque d’Amour. Le corps physique suit le plan énergétique comme un plan d’architecte. Aussitôt que nous créons des blocages dans l’énergie, le corps physique va aller créer ces blocages au niveau physique. Lorsque nous faisons des libérations, nous libérons ces énergies dans le plan énergétique. Le corps physique va ensuite travailler, pour aller libérer les blocages qu’il s’était créés au niveau physique. Ce n’est jamais le guérisseur qui guérit. C’est le corps physique qui s’auto-guérit lui-même. C’est pourquoi je n’aime pas tellement le mot « guérisseur », je préfère « libérateur ». Si nous libérons trop d’un coup, ça peut être très difficile pour le corps physique. Après avoir fait des libérations, il est très important de s’écouter encore plus, de boire beaucoup d’eau pour faciliter le nettoyage physique, et d’aller se coucher si nous sommes fatigué. Le travail peut se poursuivre sur plusieurs jours. Comme pour l’atelier Ascension que je donne, c’est une très grosse journée de libération, et le travail se poursuit pendant au moins une semaine, des fois deux. Amour et Lumière! Eric Hamel, Libérateur www.erichamel.com Merci à Ginette Poirier pour la correction du texte. _______________________________________
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