Cela ne prend que le temps de l’éclair de reconnaître la vérité. Ensuite, tout ce que nous avons à faire, c’est d’aller là, dans cette pensée où il n’y a ni identité ni la possibilité de la perdre, ni existence ni souvenir d’exister, ni naissance ni fatalité de la mort, comme s’éveillant sans fin d’un évanouissement et demandant sans relâche où suis-je ?
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