« Nos sentiments négatifs tirent toujours leurs origines à l’intérieur de nous, les éléments extérieurs ne sont que des Déclencheurs qui font simplement écho à nos propres blessures ». Pierre Villette
Le corps stocke les émotions non digérées dans l’inconscient sous forme de ressentis (j’ai unNœuds à l’estomac, Je me fais de la bile, j’ai la boule au ventre, j’ai du mal à la digérer, j’ai la gorge serrée, j’ai du mal à respirer, j’ai un poids sur la poitrine …). Notre Inconscient, a enregistré toutes ces émotions et certaines sont encore bloquées en nous, ce sont elles qui nous font réagir.
Ces expressions n’ont rien d’anodines. Les émotions, trouvent leurs sources dans le corps et ont une influence évidente sur notre état physique. La
partie inconsciente de notre cerveau utilise ces ressentis (Sensations Corporelles) pour stocker également les événements associés, c’est une gigantesque mémoire pratiquement illimitée. Il relie
les événements par ressenti (éléments kinesthésiques) en les associant aux images et aux sons. Voilà pourquoi pour un même ressenti des quantités innombrables d’images et de sons sont
associés.
Lorsque nous sommes touchés négativement, incommodés, en difficultés, mal à l’aise, inconfortables, tristes, en colère, … il s’agit d’un déséquilibre émotionnel et Il y a toujours un
déclencheur. Il est nécessaire de l’identifier, il touche quelque chose d’inconscient et on se sent mal sans savoir vraiment pourquoi. C’est aussi pour cette raison que quelque chose
d’apparemment anodin va nous bouleverser sans qu’on comprenne pourquoi. On est sensible à un tel point que cela reste plus fort que nous, c’est simplement qu’on ressent tous les événements
additionnés passés de son vécu qui ont générés le même ressenti et parfois l’accumulation peut sembler énorme alors que la situation ne semble pas si terrible que ça.
C’est la raison d’être de cette méthode d’observation qui consiste à bien s’observer au moment ou un déséquilibre émotionnel intervient à un moment précis pour trouver le déclencheur, l’émotion associée et la sensation ( ressenti corporel) dans ce
moment précis. Bien sûr, nous pouvons mettre cette dernière phrase au pluriel.
C’est cette observation qui permet ensuite avec des méthodes de libération émotionnelle comme LMO © (Libération par les mouvements oculaires) ou l’EFT (Emotional Freedom
Technique), d’aller chercher les différentes associations faite par notre inconscient pour libérer la charge émotionnelle bloquée qui permettra d’éliminer le mal-être ressenti et de
s’en libérer.
Le deuxième effet positif est le fait qu’en s’observant nous permettons à notre corps émotionnel de reprendre sa place, de se reconnecter à ses émotions, de nous rapprocher de nous-mêmes, de trouver sa place pleinement.
D |
Trouver le Déclencheur suite à l’inconfort |
E |
Chercher l’Emotion présente |
S |
Observer la Sensation Corporelle ressentie |
Note |
Note de 1 à 10 pour le niveau de l’inconfort |
Méthode DES et Technique LMO : Inventeur Pierre Villette, © 2016 Tous droits réservés
Si vous vous demandez pourquoi vous êtes né, quel est le but de cette vie, si vous pensez que la vie ne peut pas être que se lever, manger, avoir des enfants, puis vieillir et mourir et que vous avez la certitude qu'il existe quelque chose de plus grand, alors ce livre est fait pour vous.
Fusionnant les dernières découvertes en neuroscience et les lois de l'Univers, l’auteur nous livre sa méthode, les clefs de réussite, pour sortir de notre insatisfaction à nous sentir hors de notre chemin de vie.
Il nous permet de renouer avec notre nature profonde pour appréhender la connexion à Soi, l’alignement à notre Être qui correspond, pour l’auteur, au bonheur.
Il nous apprend que nous sommes responsables de notre vie et que nous pouvons changer maintenant, si nous le décidons, vers une vie heureuse.
Pour « se trouver », ce livre propose une première partie théorique des principes du bonheur et de la connexion à Soi. Une seconde partie pratique, pour une mise en œuvre concrète nous offre de nombreux outils et techniques à utiliser soi-même, des exercices pratiques, des protocoles puissants pour se nettoyer, se libérer des blocages durablement, consolider son état et enfin Être, pour être heureux.
« Le vrai bonheur ne dépend d’aucun être, d’aucun objet extérieur. Il ne dépend que de vous-même. » Dalaï Lama
Merci d’avoir choisi ce livre, merci à qui ? Merci à l’énergie qui vous a porté, à la vie qui vous a souri et à l’Univers qui vous a guidé. Merci également à votre enfant intérieur qui vous a poussé gentiment vers cette lecture ressentant que c’était une voie de libération possible pour lui…
Qu’allez-vous trouver dans cet ouvrage ?
Vous allez trouver la chose la plus importante : La meilleure version de vous-même !
Vous allez apprendre à vous connaître à travers vos valeurs et vos propres clefs de succès pour réussir à être qui vous êtes, à connaître votre mission de vie. Accompagnant les explications, la théorie, vous allez découvrir de nombreux outils, techniques, protocoles, exercices et méthodes que vous pourrez utiliser et mettre en œuvre vous-mêmes. Ils vous permettront de nettoyer vos blessures et devenir la plus belle partie de vous-mêmes et surtout être heureux, être vous-mêmes, donc juste Être. Vous allez apprendre des techniques pour gérer votre stress, le dépasser et surtout ne plus le subir et vous en débarrasser à jamais. Vous allez découvrir le bonheur de lâcher-prise à partir de plus de 10 méthodes différentes, certaines originales. Je veux croire que parmi celles-ci, il n’y en a une et mêmes plusieurs qui vous correspondent. Je ne peux pas croire le contraire, tellement les techniques sont diverses, nombreuses et efficaces. Vous allez appréhendez les principes mentaux qui créent votre bonheur et votre malheur. En effet, vos pensées, les mots que vous utilisez sont responsables de votre état émotionnel. En observant votre fonctionnement, vous pouvez changer rapidement et atteindre un bien-être persistant. Vous avez tout cela dans cet ouvrage pour parvenir à la meilleure version de vous-même. Vous êtes responsables de votre vie. Alors prenez-là en main, maintenant, tout de suite, à cet instant avec ce livre pour vous accompagner, vous guider, vous soutenir, vous découvrir… Vous trouverez des protocoles pour une communication efficace, non violente, bienveillante pour l’autre et vous-même. Vous comprendrez les mécanismes d’une écoute centrée sur l’autre. Vous parviendrez à comprendre comment vivre l’instant présent.
La confiance, l’estime de vous, la congruence sont primordiales pour être bien, ce sont aussi des sujets qui sont abordés avec des exercices à réaliser vous-mêmes pour retrouver la confiance en vous. Ce livre s’est inspiré des apports de la PNL, des principes chamaniques des peuples amérindiens d’Amazonie, de la sagesse Hawaïenne Ho’oponopono, des quatre accords Toltèques. Il s’appuie également sur de nombreuses techniques de libérations émotionnelles qui proviennent de techniques de mouvements oculaires, de l’EFT, de l’intervention orientée solution, et de bien d’autres choses encore qui sont toutes décrites dans cet ouvrage. Toutes ces techniques ont abouti à la création d’une méthodologie unique d’accompagnement. Elle se nomme LIBEMO et elle est également décrite en détail à la fin de cet ouvrage. Cette méthodologie s’appuie sur des outils existants et d’autres que j’ai créé pour compléter et rendre parfaitement efficace un travail sur soi.
Pourquoi écrire ce livre ?
Simplement afin de faire bénéficier au plus grand nombre les découvertes, techniques et outils développés au cours de mes recherches et consultations avec des résultats dépassant mes espérances. Il y a de nombreuses clefs explicatives et outils concrets pour évoluer personnellement et trouver le bonheur. Vous trouverez également une connaissance et des outils pour évoluer spirituellement, pour être en harmonie avec les lois qui régissent l’Univers et nous sommes à son image. Ceci afin d’être bien avec soi, aligné et c’est le secret du bonheur. Je vous apporte dans ce livre, les explications du pourquoi nous sommes trop souvent insatisfaits, et même quelque fois malheureux. Et je vous propose des outils concrets à utiliser vous-même pour en sortir, pour être heureux. Vous trouverez de nombreuses techniques et méthodes pour vous aider et aussi de nombreux exercices que vous pouvez réaliser vous-même.
Comment utiliser ce livre ?
« Ne croyez personne sur parole, pas même moi, expérimentez par vous-même. » Indy
Ce livre comprend deux parties principales, la première explique comment nous fonctionnons consciemment et inconsciemment, comment fonctionne l’Univers. Cette première partie explique également quelles sont les lois qui régissent l’Univers et celles qui régissent l’inconscient (origine souvent de nos soucis). Elle explique également pourquoi nous ne sommes pas heureux, qu’elles sont les causes de nos tourments et comment en sortir. En cela, c’est une première partie théorique. La seconde partie propose de nombreux outils qui peuvent être utilisés pour soi-même, pour être son propre thérapeute pour « se trouver » et ainsi accéder au bonheur. En cela, c’est une partie pratique. Dans une troisième partie vous trouverez des ressources : schémas, stages, lexique et bibliographie pour aller plus loin. Vous pouvez allez directement vers le chapitre qui vous appelle ou lire cet ouvrage du début à la fin chronologiquement.
Extrait du Livre "Se trouver, la clef du bonheur : L’Énergie qui m’a poussé à écrire ce livre
Ce livre aurait dû être terminé et publié en 2016. Au début de l’année 2017, au moment de faire ses propres vœux pour la nouvelle année et également les suivantes à 3, 5 et 10 Ans, je me suis aperçu que je n’arrivais pas à terminer ce livre qui était ce-pendant bien avancé et pourtant il était déjà pratiquement déjà écrit dans ma tête. Et 2017 est une année « UN » en numérologie,
c’est une année du renouveau, c’est l’année ou on sème les graines pour ensuite les voir grandir jusqu’en année 8 le temps de la récolte. L'année 9 est l’Année du changement, qui fut, en 2016,
une période de grand nettoyage, 2017 est l'occasion de repartir sur de nouveaux paradigmes en accord avec la nouvelle terre.
Je me suis posé en début d’année et je me suis demandé pour-quoi ce livre ne se terminait pas. Le premier constat était in-croyable je n’avais jamais pensé que le blocage venait de là. Il
s’agissait de ma légitimité à écrire un livre. Je ne me sentais pas légitime, je pensais que je voulais nourrir mon ego, faire des conférences, des ateliers, des salons pour présenter ce livre et
donc passer devant la Lumière, et même, être au centre et je perdais donc le sens de travailler pour les autres après avoir travaillé sur moi.
Le deuxième constat était plus concret, je ne réservais tout simplement pas le temps d’écrire, je passais tout mon temps en consultation, en administratif, marketing, salons… 7 Jours sur 7, donc
zéro temps pour écrire et cela me servait de prétexte pour répondre à ce blocage de légitimité.
Je dois vous raconter un fait assez surprenant. Un matin à mon cabinet, j’ai « reçu », « entendus », « ressentis » je ne sais pas bien quel mot mettre sur ce moment, bref il m’est arrivé quelque
chose d’incroyable, je me suis pris soudain d’une envie d’écrire quelque chose, je n’ai pas eu le temps de me préparer, prendre une feuille blanche, un stylo, j’ai été comme poussé à écrire,
alors j’ai écris sur ce qui se trouvait là, à cet instant, un dossier, une fiche client et même sur une revue.
Qu’est ce qui est venu ? Le titre et le sommaire de ce livre, en une fois, comme ça brusquement, je me suis senti obligé de le faire. La sonnette, retentissait, une cliente souhaitait entrer pour
sa consultation, je n’entendais rien, je n’écoutais rien que cette « voix » qui me dictait quelque chose, je ne savais même pas sur le moment ce que c’était. Je n’ai entendu la sonnette que quand
la « voix » s’est arrêtée… Ensuite, j’ai eu beaucoup de mal à reconstituer le sommaire, tellement j’avais écris partout et très mal en plus, mais tout cela me parlait, un mot me suffisait pour
reconstituer une phrase. Ensuite, lorsque je me suis mis à écrire ce livre, les mots les phrases, sont venus à moi sans vraiment d’effort, presque comme par magie, j’ai l’impression encore d’être
guidé et sans fausse modestie, je trouve ce livre merveilleux, comme un livre de secrets, secret pour être Soi, être heureux, un livre pour Être tout simplement.
Aujourd’hui je me sens donc légitime, avec tant de choses à partager, j’ai d’ailleurs en tête mon prochain livre, il est égale-ment déjà écrit dans ma tête, mais je me concentre sur celui-ci, il
est tellement important à mes yeux. Je me sens désigné pour l’écrire, je me sens obligé de le faire. Il ne m’appartient pas, il appartient déjà à l’Humanité.
Si vous vous demandez pourquoi vous êtes né, quel est le but de cette vie, si vous pensez que la vie ne peut pas être que se lever, manger, avoir des enfants, puis vieillir et mourir et que vous avez la certitude qu'il existe quelque chose de plus grand, alors ce livre est fait pour vous.
Fusionnant les dernières découvertes en neuroscience et les lois de l'Univers, l’auteur nous livre sa méthode, les clefs de réussite, pour sortir de notre insatisfaction à nous sentir hors de notre chemin de vie.
Il nous permet de renouer avec notre nature profonde pour appréhender la connexion à Soi, l’alignement à notre Être qui correspond, pour l’auteur, au bonheur.
Il nous apprend que nous sommes responsables de notre vie et que nous pouvons changer maintenant, si nous le décidons, vers une vie heureuse.
Pour « se trouver », ce livre propose une première partie théorique des principes du bonheur et de la connexion à Soi. Une seconde partie pratique, pour une mise en œuvre concrète nous offre de nombreux outils et techniques à utiliser soi-même, des exercices pratiques, des protocoles puissants pour se nettoyer, se libérer des blocages durablement, consolider son état et enfin Être, pour être heureux.
Il est Coach certifié et Maître-Praticien PNL, Praticien en Hypnose classique et Ericksonienne, Praticien LIBEMO, lMO, LOS, LPC, EMA, EFT, TIPI, PEAT, Maître-Enseignant Reiki, Maheo’o, Lahochi, Kundalini, Praticien Chi Nei Tsang et Praticien Alignement chamanique Ouro Verde.
Par ailleurs, Il est également ingénieur en informatique, secouriste, moniteur de plongée sous-marine et enseignant Qi-Gong.
La créatrice du programme Ho’oponopono et première à l’enseigner est la chamane Morrnah Nalamaku Simeona. Ce programme a ensuite été développé par le Dr Ihaleakala Hew Len et Joe Vitale.
Voici les quatre mots à prononcer pour pratiquer Ho’oponopono :
DÉSOLÉ
PARDON
MERCI
JE T’AIME
« Ho'oponopono » signifie « rendre droit, corriger ce qui est erroné, faire ce qui est juste » en Hawaïen. C’est un art de vivre qui vient d'Hawaii. C'est un rituel de pardon et de réconciliation, issu de sagesses ancestrales ; il est un véritable chemin vers la conscience Unitaire. Cela rejoint d’autres sagesses ancestrales comme le bonjour des indiens « Namasté » qui signifie « Je salue Dieu en toi, je reconnais la Divinité à l’intérieur de toi, parce qu’elle est aussi à l’intérieur de moi ». Egalement Les Mayas disaient pour dire bonjour « In Lakesh » qui veut dire « Toi une autre version de moi ».
Pour aller plus en détail dans la signification de ce terme Ho’oponopono, il est composé de deux mots. Le premier « Ho’o » signifie : commencer une action, qui est la cause. Le second « Pono » veut dire : bonté, droiture, honnêteté, intégrité, pureté, moralité, bienveillance, correct, perfection. La notion de Pono est en fait une des bases de la culture et de la philosophie hawaïenne car « vivre Pono », c’est vivre : « aligné », « centré », « dans l’équilibre », « dans le pardon » et « dans un état de pureté de cœur » le plus parfait possible. Le concept de Pono apparaît même comme essentiel et central dans la culture hawaïenne. Ho’oponopono veut donc dire, remettre en ordre, corriger, harmoniser, nettoyer, agir correctement.
J’aimerai dans ce chapitre, vous faire partager mon expérience et surtout ma compréhension de cette méthode de nettoyage Ho’oponopono, comme je la pratique pour le plus grand bien des personnes qui viennent me consulter.
L’histoire du Docteur Ihaleakala Hew Len
Le Docteur Hew Len (formé à Ho’oponopono par la chamane Morrnah Simeona) a contribué à la guérison de malades mentaux dans un hôpital psychiatrique à Hawaï. Quand il est arrivé dans cet hôpital, les malades étaient très violents et les conditions de travail pour le personnel particulièrement difficiles. Quelques mois après son arrivée, un peu de calme s’était déjà installé parmi les patients et le personnel. Petit à petit, les cellules d’isolement se sont vidées et les traitements ont été allégés. Au bout de trois ans, la salle où se trouvaient enfermés les cas les plus graves fut fermée car pratiquement tous les malades avaient vu leur état s’améliorer de façon importante et avaient pu être libérés.
Jusque-là il s’agit certes d’une guérison spectaculaire. Mais lorsque nous apprenons que le Dr Hew Len n’a jamais vu un seul de ses patients, alors là cela devient extraordinaire !
En effet, il restait dans son bureau et regardait simplement les dossiers de ses malades un par un et travaillait avec Ho’oponopono sur lui-même. Et au fur et à mesure qu’il faisait cela, les malades allaient de mieux en mieux. Ce travail consistait à guérir sa propre partie qui avait généré toutes ces déficiences. Il prenait chaque dossier et il répétait simplement : Désolé, pardon, merci, je t’aime et c’est tout ! Lorsqu’il faisait cela il ne s’adressait à personne en particulier. Il invoquait simplement un esprit d’amour afin de guérir la partie de lui-même qui était en rapport avec le problème. Ainsi il corrigeait les pensées erronées qu’il entretenait à ce sujet. Si on veut changer notre vie, il faut commencer par se changer soi-même.
Quand Joe Vitale lui a demandé ce qu’il avait pu faire pour obtenir un tel résultat, il a répondu :
« En tant que psychologue de l’établissement, qu’est-ce j’ai apporté comme contribution ? J’ai appliqué l’Identité de Soi Ho’oponopono, un procédé de repentance, de pardon et de transmutation des problèmes qui se déroulaient en moi consciemment ou inconsciemment avant, pendant et après chacun de mes passages à l’unité de l’établissement. Je n’ai fait aucune thérapie ni consultation avec les patients de cette unité. Je n’ai participé à aucune rencontre des employés pour étudier les dossiers des patients. Comme psychologue de l’établissement, j’ai personnellement pris la responsabilité à cent pour cent de nettoyer ce qui se trouvait en moi et qui m’occasionnait des problèmes. Je suis la création du « Je suis », imparfait, c’est la saloperie, la mémoire qui réagit et qui rejoue sous forme de jugement, de ressentiment, de colère, d’irritation et Dieu seul sait quelle autre partie de m___e peut être transportée par l’âme. Paix de Soi. » Dr Hew Len.
Cela veut dire que nos subconscients sont reliés. Le Dr Hew Len rejoint la physique quantique, en ce sens que nous pourrions posséder une « âme groupe », un inconscient collectif où sont stockés les mémoires depuis le début de l’humanité. Cela a été observé dans le règne animal et végétal.
Par exemple, lors d'une série d'expériences débutées à Harvard en 1920, le psychologue William Mc Dougall a étudié à quelle vitesse des rats pouvaient apprendre à s'échapper d'un labyrinthe rempli d'eau. A sa grande surprise, il a découvert que les générations successives apprenaient plus rapidement. Il ne s'agissait pas d'un exemple d'évolution Lamarckienne dans lequel les parents transmettent leurs talents à leur descendance. Il s'agissait de générations dissociées, de l'acquis et non pas de l'inné. La première génération de rats a fait plus de 165 erreurs. Au bout de plusieurs générations, les rats n’en commettaient plus que 20. D'autres chercheurs ont découvert que lorsqu'ils ont recommencé l'expérience plusieurs années plus tard, leur première génération de rats, provenant d'une lignée tout à fait distincte a débuté au même niveau d'expertise que la dernière génération de Mc Dougall. Certains ont même "appris" le système sans faire la moindre erreur. D'une certaine façon, ils "savaient" déjà. De plus, alors que l'expérience progressait, des générations successives du groupe de rats ayant participé à l'expérience, qui n'avaient jamais été à proximité du labyrinthe aquatique, se sont également améliorés, en même temps que le groupe expérimental. L'aptitude était en quelque sorte apprise par les autres rats, autant dans le laboratoire que dans le reste du monde, notamment en Australie. Les rats Australiens avaient déjà reçus les informations de leurs compères européens sans aucun contact. Tout ceci serait-il transposable à l’homme ? D’après la physique quantique, la réponse est affirmative. En appliquant cette théorie, on peut envisager à l'inverse que plus il y aura d'individus à élever leur propre niveau de conscience, plus l’état de conscience supérieure de l’humanité deviendra puissant.
L'Humanité entière pourrait s'engager dans un processus d'Éveil nourri par une conscience unifiée !
Les différentes parties de notre identité selon la tradition Hawaïenne
Elles sont au nombre de quatre :
Quand nous pratiquons ho’oponopono, nous utilisons notre âme, le père, le superconscient, notre être supérieur pour demander à Dieu, notre partie Divine de nettoyer les mémoires erronées chez l’enfant, le subconscient. Il faut ensuite lâcher prise et laisser faire la Divinité en nous.
Mise en œuvre d’Hoponopono
Désolé,
Pardon,
Merci,
Je t’aime.
Ensuite, il suffit de laisser faire Ho’oponopno pour le grand nettoyage. Il faut accepter d’être le seul responsable des erreurs de pensées et d’en confier le nettoyage à Dieu, selon Luc Bodin.
C’est tout ? Oui c’est tout !
Ces quatre mots possèdent un pouvoir exceptionnel.
« Désolé, je ne savais pas que j’avais cette mémoire erronée en moi, pardon à la vie, à Dieu, à moi-même d’avoir créé des situations désastreuses» ne veut pas dire que nous sommes coupables mais seulement responsables. Nous sommes effectivement responsables de toutes les choses qui arrivent dans notre vie. Ces deux mots vont permettre de couper le lien avec les mémoires erronées.
Ensuite « Merci de m’avoir indiqué le problème que je portais, sans le savoir, Je t’aime la vie, les personnes autour de moi, mes mémoires erronées, Dieu et moi-même » cela exprime de la gratitude, cela va permettre à la Lumière Divine d’entrer en nous et de transmuter les émotions négatives attachées aux mémoires erronées.
Pour que la guérison des mémoires se produise, il n’y a rien d’autre à faire que de passer le relai à la vie, à Dieu, dans l’amour et la confiance. C’est l’explication que nous donne Luc Bodin dans son livre sur Ho’oponopono.
Il y a plein d’écrits sur Ho’oponopono. Je trouve inlassablement le même type de réponse : adressez-vous à votre partie Divine, à Dieu, au Dieu qui est en vous ou à la force de l’univers. Croyez-vous vraiment qu’avec votre petit mental, qui plus est, en plein cœur d’une mémoire, vous êtes capable de vous adresser à la force de l’Univers ? N’est-ce pas un petit reste d’une étape de l’enfance où vous avez découvert le pouvoir merveilleux de dire non, d’apprendre à lire ou de faire pipi au lit pour attirer l’attention sur un de vos malaises ? Je ne suis pas en train de dire que vous ne pouvez pas avoir accès à cette dimension de votre Être. Je dis simplement que l’accès à cette dimension n’a rien de systématique et qu’il ne suffit pas de penser pour y être ou de faire une demande pour qu’elle soit entendue. Sinon, pourquoi toutes les prières ne seraient-elles pas exaucées ? Je pense que 90 % des personnes qui étaient bloquées sur le Titanic ont fait des prières pour être sauvées. Ho’oponopono est aussi de cet avis. Il n’a jamais été question de s’adresser directement à la partie Divine en soi. Je ne doute pas que vous soyez en lien avec toutes les dimensions de votre Être. Ce que je sais, par contre, c’est que, au cœur d’une mémoire, vous en êtes à des années-lumière.
Je vous sens perplexes, surpris et même désorientés à la lecture de ce paragraphe. Vous ne comprenez plus rien. Vous vous dites : « Alors doit-on s’adresser à sa partie Divine ? Sinon à qui s’adresse-t-on ? ». Ce paragraphe provient du livre de Hannah Sembély, j’aurai dû mettre le texte de ce paragraphe en italique mais cela aurait gâché la surprise, le petit tour que je voulais vous jouer. J’espère que vous ne m’en voulez pas trop. Hannah Sembély a une autre façon d’expliquer Ho’oponopono qui se rapproche plus de ma propre pratique.
Je pense qu’il est nécessaire de commencer par comprendre ce qu’est une mémoire selon la sagesse Hawaïenne. Une mémoire est un blocage inconscient, associé à une émotion négative au niveau individuel. On peut aussi l’appeler traumatisme, blessure, souffrance ou choc émotionnel. Il se situe, la plupart du temps, dans l’enfance même si il peut y avoir des traumatismes à l’adolescence et à l’âge adulte. Les traumatismes se trouvent dans le subconscient, dans la partie « enfant », sachant je le rappelle, que selon Ho’oponopono, il y a quatre parties qui composent notre identité, l’enfant (le subconscient), le père (le superconscient), la mère (le conscient) et Dieu. Mais cela peut-être également un blocage d’ordre collectif, on parle alors d’inconscient collectif. Il s’agit de transmission de vos parents et ancêtres et aussi à l’humanité, les guerres, les épidémies… Prenez-vous conscience du monde existant à l’intérieur de votre subconscient et du nettoyage à faire ? C’est à l’image de l’iceberg avec sa partie immergée (le subconscient) de 90%.
Un jour, votre maman n’a pas pu venir vous chercher à l’école, vous étiez petite. Toutes les autres mamans sont venues et vous, vous êtes restée avec la maîtresse, vous vous sentez oubliée, seule, perdue et vous avez peur d’Être abandonnée. Vous avez aussi peur d’avoir perdu votre maman. Vous vous sentez peut-être même rejetée. Cette journée est marquée au fer rouge dans votre subconscient, c’est une mémoire. Cette mémoire est une partie infantile de vous, prisonnière d’un espace-temps. A cet âge là, cette partie n’est pas compétente pour s’extraire de la situation, pour la comprendre et encore moins l’accepter. Tant que vous n’aurez pas travaillé sur vous-même, vous vivrez toute votre vie avec cette blessure d’abandon, de rejet. Vous la vivrez partout, que ce soit au travail, dans vos relations amicales ou amoureuses, toujours avec cette sensation inconsciente d’être abandonnée. D’ailleurs la vie va vous servir ce plat à toutes les sauces, de façon à vous avertir, comme pour vous dire : « occupe-toi de ce problème, de cette blessure, de cette mémoire ». C’est ce qu’on appelle les schémas répétitifs. C’est comme si cette mémoire oubliée d’enfant entrait en collision avec une situation de la vie quotidienne qui réveille cette mémoire endormie dans le subconscient. Dans la tradition Hawaîenne, le subconscient est responsable des mémoires. Il les emmagasine et les répète en boucle dans une forme répétitive. Ce qui est important et dramatique, c’est que la plupart du temps, vous n’avez consciemment aucun souvenir de cet incident, vraiment aucun ! En Faisant une analyse, vous pouvez retrouver cet incident. Qu’est-ce qui peut changer aujourd’hui maintenant que vous avez ces informations ? Sans faire un travail approfondi sur comment vous avez construit cette mémoire vous allez faire comme tous ces gens qui ont fait dix ans d’analyse, vous saurez tout sur tout et alors ? Vous serez toujours autant malheureux. C’est là qu’intervient la neuroscience mais vous pouvez aussi utiliser Ho’oponopono pour dissoudre cette mémoire. Dans le processus Ho’oponopono transmis par le Dr Hew Len, que vous éprouviez une difficulté ou qu’une autre personne, à votre contact, se trouve face à un problème, il n’y a pas lieu de vous demander si elle vous appartient ou pas. A partir du moment où elle croise votre route c’est probablement que vous y êtes accroché. La mémoire, la partie, reliée au subconscient, qui souffre a besoin d’aide de l’extérieur, à l’intérieur, elle est bloquée.
« Une mémoire est comme un petit enfant sale qui se met à pleurer. La première chose à faire est de le cajoler tout en le nettoyant, le rassurer, l’aimer. » Hannah Sembély
Vos réactions, vos peurs, vos colères, et toutes vos émotions négatives (tristesse, mal-être, agacement, énervement…) sont rattachées à vos mémoires et ont tendance à diriger votre vie. Elles se manifestent plusieurs fois par jour. Dans la tradition Hawaîenne, le subconscient est responsable des mémoires. Il les emmagasine et les répète en boucle dans une forme répétitive.
Maintenant que nous avons compris ce qu’est une mémoire, nous allons approfondir pour comprendre la méthodologie. Ce qui ne change pas ce sont les quatre phrases d’Hoponopono, par contre la signification est pour moi, en rapport avec la définition d’une mémoire que nous avons vu au paragraphe précédent.
« L'attachement à ne pas accepter ce qui est, crée la souffrance. »
Il y a une mémoire de mon subconscient qui s’invite dans mon quotidien, c’est mon enfant intérieur qui me parle ou l’humanité s’il s’agit d’une mémoire collective. Dans les deux cas, j’accepte sa venue, j’écoute. Je le répète encore une fois, parce que c’est important : « il n’y a pas de changement, d’évolution, sans acceptation ». Cela reste vrai dans toutes techniques et méthodes, cela est donc vrai également pour Ho’oponopono. C’est ma responsabilité d’accepter et de comprendre la situation qui se présente à moi. Lorsqu’une mémoire tourne en boucle, mon subconscient cherche à attirer mon attention afin que je décide de le libérer. Je ne savais pas que je portais cette mémoire, j’en suis désolé. « Je suis désolé » de ne pas en avoir pris conscience plus tôt. Je m’adresse, à ce moment-là, à l’enfant dans le subconscient et la mémoire qu’il porte. Je m’adresse à lui de façon bienveillante, et je suis réellement désolé de l’avoir laissé si longtemps dans cette souffrance. Il a besoin d’empathie, de présence affectueuse, de compassion et d’amour. Je peux même enchaîner par « pardonne-moi » de ne pas m’être occupé de toi plus tôt, mon enfant intérieur. Je ne savais pas que tu m’attendais. Pardonne-moi d’avoir cherché des solutions en dehors de moi-même, alors que toutes mes mémoires attendaient d’être nettoyées et aimées à l’intérieur de moi. Je ne demande pas pardon d’avoir créé la situation conflictuelle parce que je ne l’ai pas fait. Je demande pardon d’avoir rendu responsable quelqu’un ou la vie elle-même de cette difficulté parfois répétitive. Je demande aussi pardon d’avoir cru que les situations qui se sont présentées ne me concernaient pas personnellement en rejetant la responsabilité sur les autres et le monde. Pour les mémoires collectives, je demande pardon d’avoir cru que les souffrances de l’humanité ne me concernaient pas. Je me croyais séparé de tous et de tout. J’étais persuadé que j’allais bien quand les autres allaient mal alors que nous ne formons qu’Un. Je n’avais pas compris que le monde souffre également de mes blessures parce que nous sommes en connexion. A chaque fois que je demande pardon, je ne demande pas l’absolution d’un Dieu, je m’excuse auprès de mon enfant intérieur, mon subconscient, le siège de mes mémoires, de l’avoir laissé seul, sans aide, sans ressources externes et sans soutien.
Face à une mémoire de violence, renforcer le contrôle ou prendre des médicaments pour ne pas être violent est une façon de remplir mon enfant intérieur, mon subconscient, de cachets pour qu’il arrête de m’embêter. C’est sûr, que c’est une solution en apparence efficace que la plupart des gens adoptent. Si je suis une voie de cœur, je vais traiter mon enfant intérieur différemment. Au lieu de commencer à me mettre en colère, je m’adresse plutôt à mon subconscient (mon enfant intérieur) qui porte une mémoire dont j’ignore absolument tout. Je me dis « je n’ai pas su me contrôler », « je ne me maîtrise pas », « je n’y arriverai jamais », « je perds le contrôle ». Tout cela ne va pas aider mon enfant intérieur. La mémoire elle, sait autre chose. C’est cet enfant de 8 ans, qui voulait, impuissant, prendre la défense de sa petite sœur, contre les coups qui pleuvaient sans discontinuer, de sa mère hors d’elle. Et cela pour une simple broutille. J’ai seulement à demander pardon à cette mémoire (souvenir de cette violence à la maison), à cet enfant, pour ne plus, à l’âge adulte, être violent face à des situations qui me rappellent cette blessure. Je pourrais simplement dire : « Pardonne-moi de m’en être pris au monde, à l’extérieur, en te laissant seul, impuissant avec ce traumatisme ancré dans mon subconscient qui portait cette mémoire de violence. »
A ce moment là, après avoir exprimé mon regret et mon pardon, je peux commencer à entrer dans la gratitude avec le remerciement. Je peux être reconnaissant de nettoyer cette mémoire qui va me permettre de me libérer de ces réactions que je ne contrôlais pas. Elles agissaient contre moi en me rendant la vie impossible. Je peux dire « merci » à cet enfant de s’être manifesté afin que je puisse, adulte, me libérer. En plus, en me libérant, je libère le monde entier de cette mémoire que je portais. Je suis heureux de cette libération. C’est ce que faisait le Dr Hew Len, avec ses patients, dans son hôpital psychiatrique. Je suis inconsciemment responsable de tout ce qui m’arrive dans ma vie de positif ou de négatif. Par conséquent, lorsque je vais libérer une mémoire, je vais devenir plus libre. Et surtout je ne vais plus être confronté à des situations qu’appelaient cet enfant, dans mon subconscient, pour qu’il puisse guérir de sa blessure. Je peux donc le remercier de ce nouveau moi, allégé de cette souffrance, qui ne se produira plus dans ma vie. Dans cette souffrance que j’ai évoquée, ne rien savoir des causes qui l’ont provoqué, n’est pas un souci. Puisqu’il y a manifestation, je nettoie même si je ne connais pas son origine.
A ce stade, j’ai besoin de savoir à qui je vais m’adresser pour dire « je t’aime ». Ce n’est pas à Dieu, comme on le voit si souvent dans les différents écrits sur Ho’oponopono. Comme depuis le début, c’est à l’enfant intérieur, le subconscient, et à tout ce qui est impliqué dans la mémoire que je vais dire « je t’aime ».
« L’amour au cœur d’une difficulté n’est pas le sentiment premier mais le seul libérateur. »
L’enfant virtuel, qu’est mon subconscient, est à traiter avec présence, vigilance et amour pour nettoyer la mémoire qu’il porte. Je porte cet amour à mon subconscient, cet enfant qui porte la mémoire à nettoyer. Je t’aime même si je ne sais pas ni pourquoi ni comment j’en suis arrivé là. C’est l’amour que je porte à cet enfant qui libère la mémoire puisque c’est cet enfant blessé qui porte la blessure.
Pour conclure, n’oubliez pas que vous ne pouvez pas éviter les mémoires. Elles surgissent à chaque instant et sans prévenir. Il est impossible de pouvoir les contrôler. Par contre, avec un outil comme Ho’oponopono, il est possible de vous mettre immédiatement à les nettoyer une fois que vous avez compris ce qu’est le processus de nettoyage et comment il fonctionne. Il est important que la répétition des phrases ne soit pas mentale mais en conscience. Je suis désolé de t’avoir ignoré mon enfant (subconscient) qui souffrait depuis si longtemps. Pardonne-moi d’avoir fait porter ma propre responsabilité sur les autres. Je te remercie avec gratitude pour cette libération et cette nouvelle liberté maintenant.
Ho’oponopono et le métier de thérapeute.
Ho’oponopono a complètement orienté ma vision et ma façon d’exercer mon métier de thérapeute. Les personnes qui viennent me consulter m’expliquent leurs difficultés qui proviennent, selon elles, d’éléments extérieurs le plus souvent. Il s’agit de blocages, d’un mal-être, de maladies, de problèmes relationnels au travail, dans une relation ou dans d’autres lieux de vie… Elles se considèrent comme des victimes de quelqu’un, quelque chose et même de la vie elle-même.
Ces personnes viennent donc me consulter pour que je trouve la solution, avec ma baguette magique, comme un magicien. J’explique souvent que je ne me considère pas comme le « guérisseur » de leurs maux, que je ne suis qu’un outil entre leurs mains et que ce sont elles qui se guérissent elles-mêmes. Mon rôle de thérapeute est donc plutôt celui d’un éclaireur de conscience, d’ouvreur de possibles et de « transmuteur » des zones d’ombre, dans le sens de transmuter ou transcender. On peut aussi aller plus loin et dire que le thérapeute, dans ce rôle avec Ho’oponopono, va rechercher la « Divinité » dans chaque personne, afin de lui redonner toute sa place.
Ce livre me donne une excellente occasion d’éclaircir ces propos. Lorsque l’on a intégré Ho’oponopono, il n’est plus possible d’entrer dans cette illusion de guérir les autres. Il s’agit plutôt d’un échange. Après et parfois même pendant la séance, quand cela est possible (c’est le cas avec les séances EFT par exemple), je remercie, avec Ho’oponopono, chaque personne d’être venue à moi et ainsi de me donner l’occasion de me nettoyer de mes propres mémoires erronées qui sont le résultat des différentes difficultés qu’on vient me présenter. De part cette action, je libère également la personne de ses blocages. Plus je libère mes propres mémoires, plus j’ouvre mon champ de vision et plus l’ouverture et la lumière vont se manifester à l’extérieur et en particuliers chez les personnes qui viennent me consulter. Ainsi j’invite les personnes à changer leurs regards sur leurs situations, à prendre conscience qu’elles ont tout à l’intérieur d’elles-mêmes pour guérir ou pour résoudre leurs problèmes. Ainsi la paix commence à l’intérieur de Soi.
« Le but de la vie est d’être Amour, à chaque instant. Pour atteindre ce but, l’individu doit reconnaître qu’il est cent pour cent responsable de créer sa vie telle qu’elle est. Il doit voir que ce sont ses pensées qui créent sa vie telle qu’elle est à chaque instant. Les problèmes ne proviennent pas des gens, des endroits et des situations, mais plutôt des pensées qui leur sont rattachées. Il doit réaliser qu’il n’y a rien de tel à l’extérieur. » (Dr. Ihaleakala Hew Len)
Ho’oponopono a complètement orienté ma vision et ma façon d’exercer mon métier de thérapeute. Les personnes qui viennent me voir m’expliquent leurs difficultés qui proviennent, selon elles, d’éléments extérieurs le plus souvent. Il s’agit de blocages, d’un mal-être, de maladies, de problèmes relationnels au travail, dans une relation ou dans d’autres lieux de vie… Elles se considèrent comme des victimes de quelqu’un, quelque chose et même de la vie elle-même.
Ces personnes viennent donc me voir pour que je trouve la solution, avec ma baguette magique, comme un magicien. J’explique souvent que je ne me considère pas comme le « guérisseur » de leurs maux, que je ne suis qu’un outil entre leurs mains et que ce sont elles qui se guérissent elles-mêmes. Mon rôle de thérapeute est donc plutôt celui d’un éclaireur de consciences, d’ouvreur de possibles et de « transmuteur » des zones d’ombre, dans le sens de transmuter ou transcender. On peut aussi aller plus loin et dire que le thérapeute, dans ce rôle avec Ho’oponopono, va rechercher la « Divinité » dans chaque personne, afin de lui redonner toute sa place.
Ce livre me donne une excellente occasion d’éclaircir ces propos. Lorsque l’on a intégré Ho’oponopono, il n’est plus possible d’entrer dans cette illusion de guérir les autres. Il s’agit plutôt d’un échange. Après et parfois même pendant la séance, quand cela est possible (c’est le cas avec les séances EFT par exemple), je remercie, avec Ho’oponopono, chaque personne d’être venue à moi
et ainsi de me donner l’occasion de me nettoyer de mes propres mémoires erronées qui sont le résultat des différentes difficultés qu’on vient me présenter. De part cette action, je libère
également la personne de ses blocages. Plus je libère mes propres mémoires, plus j’ouvre mon champ de vision et plus l’ouverture et la lumière vont se manifester à l’extérieur et en particuliers
chez les personnes qui viennent me voir. Ainsi j’invite les personnes à changer leurs regards sur leurs situations, à prendre conscience qu’elles ont tout à l’intérieur d’elles-mêmes pour guérir
ou pour résoudre leurs problèmes. Ainsi la paix commence à l’intérieur de Soi.
« Le secret du changement consiste à concentrer son énergie pour créer de nouveau et non pas à se battre contre l’ancien » Dan Millman
Ces deux techniques complètement différentes sont très simples et pourtant magiques par leur efficacité.
Nous allons commencer par les mots positifs. Il s’agit de faire un travail chaque soir pendant 21 jours. Prenez un temps pour vous, sans être dérangé, le soir, pour revivre votre journée. Relevez quels ont été les points positifs de votre journée. Relevez les points les plus simples possibles, et il n’est pas besoin des trouver des choses extraordinaires qui vous ont rempli de joie, mais de choses presque insignifiantes.
Voici quelques exemples, je me réveille et j’ai programmé ma cafetière, je sens la bonne odeur de café et cela me ravit. Je prends ma douche, elle est à la température idéale. je sens l’eau sur mon corps et je continue de me réveiller avec ces belles sensations, je me sens bien. Je prend le métro, un enfant encore à moitié endormi, me regarde, il me sourit, cela me réchauffe le cœur, cela me touche. Il fait gris depuis plusieurs jours et ce matin encore mais à un moment il y a un tout petit bout de ciel bleu et un rayon de soleil arrive à percer, c’est beau, furtif mais agréable, c’est comme un clin d’œil sur ma Journée qui commence, c’est un bon signe pour moi. Je suis sur le chemin pour prendre mon métro, c’est lundi, une nouvelle semaine qui commence, je suis perdu dans mes pensées, mais je perçois le chant d’un oiseau et cela me fait sourire. Voilà quelques exemples, il y en a plein d’autres, quelqu’un qui fait traverser une vielle dame ou un aveugle, une autre qui prend le temps de ramasser ce qu’une personne devant avait fait tombé sans s’en apercevoir, le mouvement d’une feuille qui tombe et que vous trouvez joli, une couleur, un habit ou tout autre chose que vous trouvez beau, on vous offre un café ou autre chose, etc...
Comment ça marche ?
Les premiers jours se n’est pas facile, et d’autant plus difficile que la journée a été rude, mais c’est surtout dans ces Moments qu’il faut faire cet exercice.
Petit a petit, vous allez muscler votre cerveau, et au bout d’un moment, il saura qu’il aura à faire cet exercice le soir, il va donc s’y préparer et mémoriser les moments agréables de la journée. Et de ce fait, l’exercice sera de plus en plus facile à faire. Puis au bout de 21 jours, c’est le temps qu’il faut pour changer de paradigmes, votre cerveau fera le travail tout seul, et vous vous sentirez bien sans trop savoir pourquoi et c’est là que la deuxième technique entre en scène pour compléter ce premier travail.
Les ancres positives,
Qu’est-ce qu’une ancre ? Une ancre est, pour un bateau, ce qui va lui permettre de rester en contact avec le fond, pour avoir une position stable, le bateau c’est vous, le fond est votre sensation positive et l’ancre est le lien (la chaîne) entre les deux. Dans le même principe, une ancre ou un ancrage est une mémorisation kinesthésique dans notre corps, un stimulus qui déclenche toujours la même réaction automatique. Pour nous rappeler un moment, on ancrera des moments positifs uniquement.
Exemples d’ancrages : Chaque fois que je vois le soleil percé et les nuages s’amoindrir, je me sens bien, cela me rappelle des moments heureux en Bretagne, le beau temps après la pluie (La vue du soleil qui perce est une ancre) ; Chaque fois que je respire l’odeur du foin fraichement coupé, je me sens heureux (L’odeur du foin est une ancre) ; Chaque fois que je passe sur le pont Neuf à Paris, j’ai peur (la personne a été agressée sur ce pont, le pont est une ancre) ; Chaque fois que j’entends le bruit de la pluie sur les vitres je me sens mélancolique (Le bruit de la pluie est une ancre). Vous avez remarqué que l’ancre est liée aux sens : la vue, l’odeur, la sensation, le bruit.
Nous avons détaillé dans l’exercice précédent plusieurs moments où on se sent bien, nous allons ancrer cet état de bien-être dans notre corps, avec un mouvement, celui que j’affectionne particulièrement est celui de me pincer le petit doigt gauche avec le pouce et l’index de ma main droite (je suis droitier), mais n’importe quel autre mouvement convient. Lorsque vous êtes en contact avec les sensations et les émotions positives qui caractérisent cette situation de bien-être, pincer votre petit doigt. Plus vous êtes en contact avec les sensations plus vous serrez le petit doigt. Votre petit doigt serré est devenu votre ancre positive.
Si vous ne pensez pas à le faire sur l’instant, repensez à une scène où vous vous sentez bien, revivez là et surtout retrouvez, dans votre corps, la sensation de bien-être, sans cette sensation kinesthésique, il est inutile de créer une ancre. Cela peut être un bien-être mais aussi un état de confiance, de détente, de dynamisme, d’ouverture, d’amour, ... vous pouvez répéter trois fois l’expérience pour renforcer l’association. Vous pouvez également amplifier l’ancre en refaisant l’exercice en revivant un autre moment de bien-être.
Voilà vous disposez maintenant d’une ancre portative, que vous pouvez utiliser, quand vous en avez besoin, pour revivre un moment positif.
Nous pouvons aller plus loin encore, imaginez que vous perdiez complètement confiance en vous lorsque vous devez faire une présentation devant un auditoire.
Allez chercher un souvenir récent ou ancien d’une situation dans laquelle vous étiez au contact avec votre confiance en vous. Faites l’exercice d’ancrage comme détaillé ci-dessus. En maintenant le geste kinesthésique, vous allez vous imaginez faire cette présentation, avec l’aide de cet ancrage, vous allez vivre positivement cette situation que vous redoutiez.
Il y a d’autres utilisations d’ancrage, celle décrite est l’auto ancrage, la plus utile à mon sens, il y a aussi, l’ancrage de ressource, l’ancre portative, l’ancre relais, l’ancrage au contexte et aussi la désactivation d’ancre négative…
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