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Commentaire de Lovyves le 16 Mars 2016 à 9:14

Tout à fait Chene,
Et, "maître du jeu", nous rend responsable de notre bonheur ... ou pas (bonheur).

Ainsi (avec le bonheur), à ceux qui essaient de me "faire du mal", pas besoin de pardonner; juste :
"Puis je t'aider à soulager ta souffrance" ?

Commentaire de chene le 16 Mars 2016 à 7:57

voila qui nous ramène à la personne.... Qui fait quoi ? qui est coupable ? je n'en vois aucun et quand je ne vois ni coupable ni victime je suis maître du jeu. ( Je)

Commentaire de Lovyves le 15 Mars 2016 à 9:01

"La souffrance ressentie est réelle et ne peut être niée ni moquée".
Quelqu'un aurait osé dire ceci ?

Commentaire de chene le 15 Mars 2016 à 8:22

La souffrance ressentie est réelle et ne peut être niée ni moquée, ce n'est pas cela, elle résulte d'un mécanisme d'auto défense acquit  dans l'enfance, un formatage. Ce formatage s'adresse à l'égo, cette petite voix qui dit " tu es plus importante que les autres" et qui donne l'illusion que les autres sont différents et méchants.

Dans la vie adulte le mécanisme reste et l'égo est facile à " attaquer " la voie de la sagesse nous invite à prendre du recul et à refuser de se croire " touchable" par de simples paroles.

il existe pas mal de thérapies qui aident à passer à cette étape où l'égo se calme et sourit des attaques qui ne sont que du vent, et qui en plus sont le bonheur des gens qui aiment manipuler et " faire tourner en bourrique " les personnes sensibles.

a vous de choisir " je continue à souffrir aux attaques verbales et je fais le jeu de l'attaquant " ou je choisi de ne plus me laisser souffrir et j'accepte l'inacceptable verbale et le transforme en force de vie d'amour.... 

Si les souffrances infligées sont physiques, là encore faire le choix de refuser calmement, mettre un grain de sable dans l'engrenage de violence, les personnes agressives sont sensibles à la fermeté calme,  et faire le choix de partir,  là encore il y a des aides.

bon courage et belle journée

Commentaire de Lovyves le 13 Mars 2016 à 9:17

Liouba, m'amuse, me fais rire.
Et pourtant c'est pas drôle ... pour Liouba.
Mais, c'est son choix.

Liouba devrait nous faire un article sur l'orgueil et ses justifications, ce serait, très certainement, fort intéressant.

Commentaire de Liouba le 13 Mars 2016 à 9:05

Bien sûr que si ce ne sont que des "mauvaises paroles", on peut les laisser glisser.

Il est toute fois une quantité de souffrance infligée que l'on ne peut laisser glisser et qui ne sont pas le fruit de l'interprétation ou du ressenti... C'est donc un peu simpliste de dire que l'on est seul responsable de la cause de nos souffrances, ça ne marche pas toujours ainsi dans la vie.

Commentaire de chene le 12 Mars 2016 à 7:35

la souffrance " effective " ne vient pas de l'autre, c'est une acceptation. Comme dit Lovyves ne pas accorder de crédit aux propos, laisser glisser sans réagir c'est d'ailleurs plus efficace que de répondre.

Désamorcer la bombe plutôt que crever l'abcès. Choix à faire si l'on veut moins souffrir. L'autre n'est qu'un tentateur, ne pas l'ignorer ni le mépriser, lui laisser la possibilité de changer, mais on n'est pas obligé de rentrer dans son jeu. 

Commentaire de Lovyves le 10 Mars 2016 à 15:34

Bonjour à Tou(te)s
La "source" n'est la "cause".
Exemple :
La "source" : autrui a dit des choses désobligeantes à mon égard, voire médire ou plus (tentative de nuire, de "faire mal" à autrui. Il est le responsable de ces propos; pas des effets.
La "cause" : les propos éveille en moi de la souffrance, du mal être; c'est parce que j'accorde crédit à ses propos, je les prends pour vrais, que je souffre. Je suis responsable de ma souffrance; à cause de mon attachement à des "valeurs" ou que je prends pour vrai ce qui est faux.

Si autrui a besoin de nuire, de dire "du mal" de soi; c'est qu'il est en souffrance (pour diverses raisons).
Il n'y a pas besoin de pardon; mais de compassion pour l'autre.

La compassion peut avoir diverses formes; pour les personnes "de bonne volonté", ce n'est pas de leur donner raison ou de ne rien dire (être gentil avec le médisant); mais de les inciter à voir le réel de la situation.

Commentaire de Liouba le 10 Mars 2016 à 13:39

Le fait d'accepter que l'autre soit différent ne me parait pas avoir de rapport avec pardonner ou demander pardon en cas de souffrance effective.

Commentaire de chene le 10 Mars 2016 à 12:18

ne pas se sentir concerné par le pardon, il n'y a rien à pardonner car il n'y a pas faute, juste se détourner et passer son chemin, sans haine ni idée de vengeance, juste être étonné.

Accepter que l'autre soit différent et l'aimer comme il est,  sans rien attendre. Merci Sylvie

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