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Je... suis. Parfait Pourquoi ?

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Commentaires bienvenus

Commentaire de AIDEN Trimeau le 18 octobre 2015 à 20:11: Yves, "Je vous aime", bonne soirée :)

Commentaire de Lovyves le 18 octobre 2015 à 20:07: Comment pourrait on appeler "trop d'empathie" ?
(en dehors du besoin d'être parfait, bien sûr).

Commentaire de AIDEN Trimeau le 18 octobre 2015 à 20:06: Moi non plus katy, j'ai plus de joie en général, et dire je t'aime est très salvateur c'est certain :

"Donner de l'amour aux autres, c'est se guérir soi-même" (Dans le sens ça nous fait du bien )

Merci pour le lien :)

Commentaire de Katy le 18 octobre 2015 à 20:03: Oui, il m'a fait sourire et même rire, car, j'ai repensé à des gens que j'ai rencontrés, une collègue récemment et qui avait la même fraîcheur que la jeune fille, la même spontanéité.

Il est vrai, que l'on se rappelle longtemps de ces personnes, même si on ne fait que les croiser quelques jours, car, elles apportent une bouffée d'oxygène, l'air semble littéralement plus léger, même en y repensant après coup.

Merci. Je ne suis pas triste pour l'heure.

Commentaire de AIDEN Trimeau le 18 octobre 2015 à 19:44: Merci katy de ton témoignage.

Commentaire de Magdala le 18 octobre 2015 à 19:42: Oui et le plus difficile est de se détacher du sombre par peur du "lendemain", le qui-suis'je pèse aussi beaucoup, en ce sens je rejoins Terre de Comos, lâchons le fardeau.
Katy, j'ai posté un lien dessous pour Aiden, qui je l'espère te fera sourire ce soir.

Commentaire de Katy le 18 octobre 2015 à 19:37: Je prends les conseils donnés à Aiden, car, c'est à peu près pareil, à la différence qu'il m'est arrivé d'avoir envie de me venger, mais le temps de trouver une idée, l'envie était partie.

Magdala a probablement raison concernant les changements vibratoires, car, la souffrance (cette petite musique triste que l'on entend au fond de soi, devant un être dont elle émane ou une situation, d'où elle émane) constatée, devient trop lourde et les moments de vide, succèdent à ces instants lourds, qui alternent avec des moment de révolte (face à cet "inévitable") qui alternent avec des moments lumineux, de calme, et ainsi de suite.

Mais il est vrai que je ne ressens plus de colère du tout (une révolte interne tout au plus qui se voit bien plus rapidement calmée qu'auparavant. Instantanément ? On dirait), même, face à ce qui en générait avant : l'injustice.

Cette période est sombre et lumineuse à la fois...

Commentaire de Magdala le 18 octobre 2015 à 19:36: Pour toi Aiden, c'est simple, sincère et traité de façon amusante

https://www.youtube.com/watch?v=pIls4gwSWOY