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Commentaire de Lovyves le 15 novembre 2016 à 21:33

Chère Virginie,
Se positionner : fait d'adopter une attitude, de prendre parti, de soutenir une idée et de l'argumenter.
Au risque de changer (de position), si les arguments contraires (des autres ou de soi) sont plus convaincants.

Ni maître, ni esclave, ni disciple, ni Dieu… que des humains.

Je ne "philosophe" pas (pas de thèse) ; je pense et j'essaie de vous inviter à penser.
A penser sur ce que vous dites, sur ce que je dis.

Commentaire de Lovyves le 14 novembre 2016 à 15:42

D'abord, bravo Liouba, pour le débat, ceci mérite d'être souligné.
Oui, Liouba, chacun est un cas particulier.
Mais de ce cas particulier, peut on en dégager des généralités, est ce valable pour un grand nombre ?
Et inversement.
Dit autrement, mettre en évidence (et séparation) les points communs et les particularités du sujet en question (enfants et adultes faces à leurs névroses).

Bien sûr, intéressant de le faire remarquer : les victimes.
Les victimes d'elles-mêmes, lesquelles démontrent, sans cesse, que c'est de la faute de l'extérieur (des autres).
Peuvent elles changer ?
Oui, bien sûr, comme tout le monde.
Cependant, là il y a une grosse difficulté : s'arracher à ce que j'ai chéri (idéologie, comportements) jusqu'à présent.
Et des bénéfices que la victimisation engendre : "je suis la pauvre victime, malheureuse, innocente, de ma vie enfantine .. j'arrête là la liste !).
Les douleurs sont, apparemment, à ce que je vois ici ou là, plus dures que celles d'un accouchement.
C'est peut être un accouchement (que de "sortir" du mal être que l'on a chéri).

Quel que soit le cas, c'est un choix, où le pouvoir et le vouloir sont là, si j'en prends la décision.
Tout a un prix, et c'est "le beurre" ou "l'argent du beurre" … c'est horrible, la réalité.

Commentaire de Liouba le 14 novembre 2016 à 12:32

Pour le 1er point Lovyves : si je ne suis pas sûre de la facilité ou non de l'un et de l'autre c'est que chaque cas reste particulier. Il est des enfants qui s'élèvent avec une facilité déconcertante comme il est des adultes qui guérissent bien et cela peut être pour chaque cas un lot de difficultés de tout degré.

Et pour le 2ème point : bien sûr que l'on pourrait dire de certaines personnes qui peuvent et veulent mais ne le font pas, qu'elles se "complaisent" dans leur état initial. Est-ce pour autant de la fatigue voire de la paresse ? Il y a parfois des bénéfices à rester en victime aux quelles ces personnes sont incapables de substituer autre chose. D'où : peuvent-elles vraiment changer ?

Commentaire de Lovyves le 14 novembre 2016 à 9:53

Si Liouba n'est pas sûre de ...
De quoi parle t'elle alors?

Certes, certes,
Tout est relatif, pas complètement ou seulement momentané.
Cependant osons prendre parti, et ensuite de voir le bien fondé de nos positionnements et les limites (de ce bien fondé).
Plutôt que de "jouer" à :
Il y a celui qui veut, mais qui ne peut pas.
Celui qui peut, mais qui ne veut pas.
Et, celui qui veut et qui peut, mais que ceci le fatigue.

Un train peut en cacher un autre; pour les justifications, c'est idem.
Comprenne qui pourra et voudra !!

Commentaire de Liouba le 14 novembre 2016 à 9:26

Je ne suis pas sûre qu'il soit plus facile de construire un enfant fort que de réparer un adulte brisé. Les 2 demandes une quantité d'amour et de savoir-être que l'on doit adapter à chaque personne. On en fait donc des erreurs, le tout est d'avoir l'humilité de le reconnaître.

Lovyves, certes ; "Il suffit un instant de conscience (et d'oser) à un adulte pour se débarrasser des "formatages" et névroses que la société lui a inculqués."Mais avoir conscience est une chose, oser, une autre et en avoir les moyens ("bons outils") encore une autre et ceux qui s'en voient pour y arriver (et y arrive-t-on complètement et tout le temps ?) ne sont pas plus incapables ou de faible volonté.

Commentaire de Lovyves le 14 novembre 2016 à 9:05

Eh, eh ! Virginie !
Le contraire de simple est … complexe.
Une chose simple peut être difficile à faire; et, une chose complexe peut ne pas être difficile à faire.
Mais nous avons appris (usage par la société) à utiliser les mots pour ne plus comprendre ce que nous disons.
Et le complexe peut être difficile à accomplir; et le simple facile.
Bref tout existe.

"Tout est manière d'aborder les choses"… Eh oui, et de ne pas complexifier les choses.

Oui, sortir de "ses schémas", c'est un choix … simple, mais avec des résistances internes; lesquelles que nous qualifions, souvent, par de "grands mots"; il faut bien justifier mes hésitations.

"Mais encore une fois pas si simple malgré toute la bonne volonté et les prises de conscience.".
Peut être que la (les) question qui est à se poser : "pourquoi si je veux changer, choisir est problématique" ?
Il n'y a pas de nouveaux schémas, si je garde, même en partie, les anciens schémas; nos habitudes, nos "péchés mignons", ils sont si mignons !
Et puis, que va penser mon entourage, si je n'aborde pas les événements comme eux ?

Oui, Virginie, "on peut tout", devenir un "bon ouvrier", on peut !
Tant que c'est "on peut", ce n'est pas "être".

" De même qu'un excellent ouvrier, avec de bons outils, pourra à un moment de sa vie, flancher pour divers raisons, ou ne plus aimer son travail et devenir, médiocre.".
Encore une fois, tout est possible (vrai) ! Mais cette phrase me fait penser à de la rhétorique oiseuse (tout justifier, pour ne pas se positionner).

"L'amour guérit les blessures".
Oui.. Et là, c'est simple, très simple; les choix "coule de source".
Beaucoup trop simple, pour "le Monde" dans lequel nous vivons, et auquel nous avons été formaté.
L'amour, n'a pas de schémas, d'inconscience, de justifications, pas de "blessures" du passé; que de la conscience, simple, limpide, dans l'instant présent.
Je fais, parce que c'est beau, c'est bon, pour moi et pour les autres, sans peur du choix.

Commentaire de Lovyves le 12 novembre 2016 à 15:44

Chère Virginie,
Pas simples et difficultés ne sont pas synonymes.

L'adulte peut avoir des difficultés à lâcher ses "boulets", ses souvenirs frustrants, voire ses maltraitances.
Ceci a existé, c'est du passé, à lui de continuer à les faire vivre ou pas; c'est un choix … simple.
Est-ce que mon idéologie est plus ou moins importante que l'être humain, que je suis ?

Oui, enfants, nous avons Tou(te)s eu des frustrations, des injustices, voire des maltraitances.
Cependant, ce n'est pas "QUE" (ceci, la vie des enfants), loin de là.

Oui, ne pas occulté nos passés; nous sommes le résultat de nos passés; et, qu'ai-je envie de faire présentement (avec ce que je suis)?

J'ai appris, au travail, que les bons outils allaient aux bons ouvriers et les mauvais outils aux mauvais ouvriers.
Ceci me parait toujours d'actualité à méditer.

Commentaire de Lovyves le 11 novembre 2016 à 19:38

Ceci est l'exemple même de la manipulation mentale pour maintenir les humains dans la dépendance et irresponsabilité.
Il faut des années pour qu'un jeune humain "se construise".
Il suffit un instant de conscience (et d'oser) à un adulte pour se débarrasser des "formatages" et névroses que la société lui a inculqués.

Soyons conscients du "rêve" de la société.

Commentaire de tytodom le 11 novembre 2016 à 17:13

Absolument ....................

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