Traduction de pensées réelles d’une autre langue- C’était la première occasion de rencontrer l'âme de "Gypsy". Se promener chacqu’un avec ses mains dans celles de l’autre, ou chercher ce qui se cache dans le sable, ou essayer de monter sur l’arbre pour voir de ramasser les noix, ou attendre qu’y avait personne à la maison pour goûter la liqueur dans le garde-manger, ou tourner avec une brouette volé dans une cour avec elle dedans et je qui portais. C’était tout cela et peut-être beaucoup plus, notre amitié: à la fin, nous étions deux «Tsiganes», mais aussi deux enfants, l'un dans la tête de l'autre et l’un pour l'autre, sans poser de questions et sans envie, en sachant que nous pouvons compter sur notre confiance mutuelle d’enfants, à l’epoque et après quarante ans, jusqu'à quand l’un a rencontré à nouveau l'âme de l'autre. Elle, la "Gypsy", la nomade qui m’a choisi comme "son" point fixe, à ne pas abandonner. Et que comme une "Gypsy" choisit de me protéger du mal, parce qu'elle sait que je ferai toujours la même chose pour elle. Le «pacte» n'a pas besoin des mots ou des sceaux, mais seulement des regardes, parce que l'âme du «tsigane» est toujours la même: ma "Gipsy" n'a pas besoin de mots, pour te lire "à l'intérieur". Il peut y avoir pas de schema, pour encadrer ou décrire ce qui se passe, car avec ma "gitane" chaque mot prend toujours une valeur relative: ce que nous faisons dans notre quotidien, se croiser avec les pensées, la compréhension intime immédiate des problèmes, ils sont tous des «faits» qui font le mots inutiles. Avec ma "gypsy" en fait, on peut parler déjà seulement avec notres âmes ... Gypsy, tu m’as remercié à plusieurs reprises, d'être toujours à tes côtés: c’est moi, qui te remercie, pour me donner la joie de te retrouver...et de vivre aussi."''>>