Oui, mais ça c'était avant !

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Commentaire de Patrick ONNIS le 5 Avril 2015 à 19:25

Champ : France métropolitaine. Source : INSEE

Trois points me paraissent essentiels pour faire perdurer un couple :

Premièrement : une sexualité riche, épanouie et fréquente.

Deuxièmement : le respect que l’on a vis-à-vis de son conjoint ainsi que la reconnaissance que l’on peut lui porter au regard de ce qu’il a pu faire pour nous autrefois.              

Troisièmement : faire perdurer un certain nombre de rituels et d’habitudes instaurés tout au long de la vie commune, comme par exemple, de fêter le jour anniversaire de la première rencontre.

Nous ne pouvons pas renier ces années et tirer un trait sur notre relation du jour au lendemain. Il est donc important de tenir compte de ces trois points afin de savoir si oui ou non le couple peut être sauvé. La décision sera d’autant plus difficile à prendre s’il y a des enfants.

Le dicton « quand les parents boivent, les enfants trinquent » se vérifie la plupart de temps. Nous devrons donc nous référer inéluctablement à un autre proverbe qui précise : « on ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs ».

Il se trouve que, dans le cas qui nous intéresse, les œufs sont nos enfants et qu’ils seront plus ou moins affectés par cette situation.

Beaucoup pensent que les enfants s’adaptent facilement aux changements. Permettez-moi d’en douter ou tout au moins de nuancer cette affirmation.  

Il apparait de toute façon très important de faire en sorte que ceux-ci souffrent le moins possible en évitant certains comportements et propos qui ne feraient que plus de dégâts.

N’oublions pas que la cellule familiale représente l’univers de l’enfant. Dans la plupart des cas, briser un mariage, c’est briser le monde de l’enfant d’autant plus si la situation est conflictuelle.

Il y a deux ou trois générations, la majorité des couples continuait à vivre ensemble et s’efforçait d’élever leurs enfants en dépit des heurts et des scènes de ménage. De nos jours, au moindre petit problème, on brandit la menace du divorce, rendue facile juridiquement. Ces deux attitudes diamétralement opposées ne vont pas dans la bonne direction, a mon sens.

Autrement dit, il convient d’adopter une attitude intermédiaire entre ces deux comportements extrêmes. Il y a des cas où le divorce et la séparation sont inévitables et, je le répète, avant de s’engager dans une telle procédure, le couple ne doit pas négliger le sort des enfants.

Commentaire de Patrick ONNIS le 5 Avril 2015 à 19:10

.... A s'offrir en partage
Autour du grand voyage
Qu'est notre grand amour
Quand on a que l'amour
Mon amour toi et moi
Pour qu'éclatent de joie
Chaque heure et chaque jour...

Commentaire de Patrick ONNIS le 5 Avril 2015 à 19:06

Merci à Mère Térésa et à Lally. Sans commentaire. Tout est dit !

Commentaire de Patrick ONNIS le 4 Avril 2015 à 22:33

Une très belle synthèse ma chère Béatrice. Merci

Commentaire de Patrick ONNIS le 4 Avril 2015 à 18:58

Domenico Dolce et Stefano Gabbana, duo homosexuel célèbre dans le monde pour avoir créé la marque Dolce & Gabbana, ont surpris tout le monde en prenant la défense de la famille traditionnelle et en présentant plusieurs arguments contre l’adoption d’enfants par les homosexuels. Ils ont même réprouvé la possibilité de fécondation in vitro des enfants parce qu’à leur avis, chaque enfant a droit à un père et une mère.

C’est dans une interview au magazine italien Panorama que le duo a déclaré que la famille traditionnelle composé du père, de la mère et des enfants est « une mode qui ne passe pas ».

« La famille n’est pas une lubie. Dans la famille, il y a un sentiment d’appartenance surnaturelle », explique Stefano Gabbana.

Domenico Dolce dit «Ce n’est pas une question de religion ou de statut social, il n’y a pas matière à débattre à ce sujet: tu nais et tu as un père et une mère. Ou du moins ce devrait être ainsi. »

«Nous sommes opposés aux adoptions par les couples gays. La seule famille est la famille traditionnelle.

Je ne suis pas convaincu par ce que j’appelle les enfants de la chimie, les enfants synthétiques, les ventres à louer, les semences de sperme choisies dans un catalogue. Et puis allez expliquer à ces enfants qui est la mère. Procréer doit être un acte d’amour. Aujourd’hui, les psychiatres eux-mêmes ne sont pas prêts à affronter les effets de ces expériences. », ajoute Domenico Dolce.

Dolce conclut: «Je suis gay, je ne peux pas avoir un enfant. (…) certaines choses ne peuvent pas être changées. L’une d’elle est la famille. »

Si seulement les défenseurs de la famille traditionnelle parvenaient eux-aussi à organiser de grandes campagnes de boycott de toutes les marques et les célébrités qui œuvrent à la destruction de la famille et du mariage et à la mise en place d’un nouvel ordre sexuel mondial qui traite les enfants comme des marchandises…

Commentaire de Patrick ONNIS le 4 Avril 2015 à 18:52

Vous avez raison Colibri "nuançons les choses" !

Tout est question d'état d'esprit !

Commentaire de Patrick ONNIS le 4 Avril 2015 à 18:50

Comment pourraient-ils deviner que, sous leurs apparences un peu "guerrières", elles restent des midinettes qui fondent devant un bouquet de fleurs ?

Commentaire de Patrick ONNIS le 4 Avril 2015 à 18:46

Quant au bouquet de fleur !

Commentaire de Patrick ONNIS le 4 Avril 2015 à 18:43

Rien que pour vous, ma chère Karen !

Commentaire de colibri7 le 4 Avril 2015 à 17:38

oui une qualité dans la durée mais des couples de 40 vire 60 ans ensemble c'est terminée les mentalités ont évolué

donc nuançons les choses merci!

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