" Moi, je crois qu'on garde toute sa vie, en soi, l'enfant qu'on a été.
On a beau l'habiller de sérieux, de principes, de responsabilités ou d'insouciance, il est là, et vous regarde de son regard d'avant.
Vous ouvrez la fenêtre, il passe ; il sommeille dans cette odeur, danse derrière les yeux fermés, rit entre les larmes et quand on l'attend le moins, un vent le porte jusqu'au coeur."
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de ‘épanews’.
Rejoindre épanews (c'est gratuit)