C'est notre vie, notre quotidien, celui de nos enfants et petits-enfants. Il y a des toxiques partout, nous sommes continûment agressés et contaminés à notre insu. Les molécules chimiques toxiques, de plus en plus nombreuses, la pollution, nous affectent quotidiennement, à très faibles doses, mais de façon chronique, et avec des synergies d'action entre ce que nous mangeons, ce que nous buvons, ce que nous respirons ou ce qui entre en contact avec notre peau.
Remonter aux sources de la destruction de la planète conduit à un constat : la crise écologique n’est pas que d’ordre économique mais aussi physiologique, psychologique, culturel et spirituel.
Agir conduit à prendre en compte notre relation au Vivant car la crise concerne tout autant notre relation à la nature que la relation avec nous-mêmes et avec nos semblables.
Il s’agit donc d’aller au-delà de gestes « éco-citoyens » ou « d’aides humanitaires » en privilégiant les actions qui peuvent modifier notre regard sur le Vivant dont découleront naturellement les comportements adaptés à chaque situation.
La crise est l’occasion de s’interroger non seulement sur ce que nous faisons mais sur ce que nous sommes. C’est bien là une invitation à une transformation intérieure.
Un tel changement ne peut être accepté que dans la nécessité or « les hommes ne voient la nécessité que dans la crise », disait Jean Monnet.
Alors la période est propice à une recherche au plus profond de nous pour découvrir d’autres comportements en harmonie avec l’intelligence du Vivant.
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