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Vos poèmes

A vos plumes pour nous faire partager vos poèmes

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Modification : 29 févr. 2016

Forum de discussion

Adieu Poète

Publié par Aloha 1 déc. 2015 0 Réponses

Il est parti le poète, P’tit Louis du coin d’la rue Parti avec tous ses mots : Mots d’ire, mots d’or Mots d’amour ou d’faire ailleurs Mots rebelles, mots hurlant La détresse De ses compagnons de…Lire la suite →

Tags : écrire, amour, mots, Poète

Le silence des bêtes.

Démarrée par Magdala. Dernière réponse 19 oct. 2015. 3 Réponses

Les mots ont cessé, les yeux se disent loin, dressés sous la brise devant le soleil, avec les bêtes … Sauvage est le monde, diable qui nous retient frêle. Je te sais et ne te cherche, friable,…Lire la suite →

L'Amour

Publié par Magdala 18 oct. 2015 0 Réponses

L'amour nous rend libre ou le contraire, être libre nous ouvre à l'amour. Alors, lorsque l'Amour refuse de se laisser enfermer, quelques-uns le traite de tous les noms d'oiseaux ... moi j'aime tous…Lire la suite →

Qu’attendre à cœur ouvert ?

Démarrée par Magdala. Dernière réponse 16 oct. 2015. 6 Réponses

La joie, le souffle du vent au petit matin, au soir aussi, j’entends tinter les cloches des troupeaux.Partir, ainsi s’en vont les jours. Les cimes des frênes balancent leurs robes fraiches, la…Lire la suite →

Commentaires

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Commentaire de Belllule le 1 Mars 2011 à 10:58

Je publie presque touis les jours sur mon blog des poèmes... Je ne les copie pas ici mais n'hésitez pas http://confidences-libellule.over-blog.com/... Bon, en ce moment il y a beaucoup de poème plutôt durs, la vie ne me ménage pas!

Mais il y a aussi quelques comptines ou jolis petits mots... Je serai contente de les partager aussi avec vous.

bises à tous

Belllule

Commentaire de G.RARE le 27 Février 2011 à 21:10

JE SUIS MORT

J'ai une grande nouvelle triste à t'annoncer : je suis mort. Je peux te parler ce matin, parce que tu somnoles, que tu es malade, que tu as la fièvre. Chez nous, la vitesse est beaucoup plus importante que chez vous. Je te rencontre parce que je n'ai pas toute ma vitesse et que la fièvre te donne une vitesse immobile, rare chez les vivants. Les vivants et les morts, sont près et loin les uns des autres comme le côté pile et le côté face d'un sou, les quatre images d'un jeu de cubes. La vie et la mort s'affrontent. Le miracle est de vivre double en face de cette grande énigme et n'être qu'un. C'est notre secret. Je cède la place. Abandonne-toi. La vie est morte, vive la vie. Le poète est mort, vive le poète. Adieu. Je commence à me dissoudre. Nos traits se tissent ensemble. La ressemblance est outre. Elle émane de l'esprit. La réalité commence.

(avec la complicité des Jeans qui s'aiment : Cocteau et Marais)

Commentaire de michel le 20 Février 2011 à 8:11
pardon pour ce poeme decousu je maitrise tres mal le clavier  prenez le comme un jeu et remettez le en ordre  merci bonne journee
Commentaire de michel le 20 Février 2011 à 8:07
je suis heureux de rejoindre le groupe  vos poemes  ,j ai de la matiere a faire partager  je vous souhaite une bonne journee en buvant un jus d                                  orange                                                                                                                                     L   orange                                                                         la lame    etincelante, le matin                                                                te coupe en deux,sans chagrin                                                                 le presse-jus te transforme en pulpe et pepins                                          en deux dechets degoulinants,c est ta fin                                              mais tu donne au moment opportun,merci                                           l odeur aigre douce appetissante                                                            mais aussi,un jus epais et fortifiant                                                           qui reveille le corps et l esprit,encore merci                                             l orange du matin,brillance                                                                      sans pensee                                                                                              mais de plus en plus en presence.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        
Commentaire de Belllule le 19 Février 2011 à 20:46

Bonjour,

Je rejoins le groupe car j'aime la poésie et j'en écris, mais je le fais sur mon blog... Vous pouvez venir lire mes poèmes à http://confidences-libellule.over-blog.com/... bonne lecture à tous...

Je reste dans le groupe pour pouvoir réagir aux votres!

Bonne soirée

Commentaire de G.RARE le 22 Janvier 2011 à 10:53

Comment ne pas devoir s'indigner ?

La voilà ma grande colère...

 

Oh non, vraiment jamais je ne vous croierai plus :
Oui vous m’avez menti lorsque j’étais enfant,
Et moi, pauvre innocent, je vous ai toujours crus
Respectant la mémoire des âges précédents,
Prenant pour vérité tout ce que j’avais lu
Et allant à la messe au moins une fois l’an.
Je croyais en un monde qui était pacifié,
Où tous étaient égaux et chacun libéré.
Oui vous m’avez menti et vous mentez encore
Avec vos croyances qui subissent la mort.
Vous nous dites toujours “aimez votre prochain”
Mais vous ne voyez pas la sang dessus vos mains,
Car il s’agit du sang des Hommes assassinés
A cause de leurs croyances ou bien de leurs idées.
Oui vous m’avez menti et vous mentez encore
Car il est des prisons où la loi du plus fort
Gouverne sans partage et viole la liberté.
Car il est des pays où l’on ne peut penser
Si on a le malheur de dire la vérité
On est mis en prison et l’on est torturé.
Oui vous m’avez menti et vous mentez encore
En disant que demain on aura du bonheur.
On massacre des enfants et assis sur vos chaises
Vous meublez chaque instant en disant des fadaises.
Des millions d’Hommes ont faim et vous vous empiffrez
En disant “c’est les autres, on n’est pas concernés”.
Oui vous m’avez menti et vous mentez encore
Et quand vous vous cachez pour fabriquer la mort
Vous avez peur des autres qui vous tueront avant.
Mais vous vous en moquez car vous fuierez devant
Et irez vous cacher sur une autre planète
En laissant sur la Terre que des cons et des bêtes.
Oh non jamais, je ne vous croierai plus
Et je me méfierai de vos idées reçues.
Heureusement, pourtant, il reste une Lumière,
Vous ne l’aurez jamais et cela j’en suis fier :
Il me reste l’Amour, oui l’Amour infini,
Malgré tous vos sarcasmes et tous vos interdits,
Et vous pouvez en rire car vous n’existez plus :
Vous étiez combattants, vous êtes combattus.

Commentaire de G.RARE le 5 Janvier 2011 à 10:57

Quand j'ai rencontré l'Illumination...

Patience...Lumière...
Illumination.
(citation de R.B.)

La lumière jaillit
Du chateau de la vie.
Elle irisait le ciel
Pour me rendre éternel.
C’était une cathédrale
Aux parois de cristal...
Je ne comprenais pas
Mais je comprenais tout.
Quand je faisais un pas,
Je me trouvais partout.
Elle m’avait transcendé,
J’étais atomisé,
J’étais fils de la terre
Issu de l’univers.
Puis, petit à petit,
La lumière s’éteignit
Et je redevins moi,
Homme de par la loi.

Commentaire de G.RARE le 28 décembre 2010 à 12:59

Poème de Pablo Neruda
traduit et adapté de l'Espagnol/ Editeurs français réunis/ 1970
bien entendu, la traduction ne peux pas rendre la musicalité du texte d'origine...

Abeille blanche, ivre de miel, toi qui bourdonnes dans mon âme,
tu te tords en lentes spirales de fumée.
Je suis le désespéré, la parole sans écho,
celui qui a tout eu, et qui a tout perdu.
Dernière amarre, en toi craque mon anxiété dernière,
En mon désert tu es la rose ultime.
Ah ! silencieuse !
Ferme tes yeux profonds. La nuit y prend son vol.
Ah ! dénude ton corps de craintive statue.
Tu as des yeux profonds où la nuit bat des ailes.
Et de frais bras de fleur et un giron de rose.
Et tes seins sont pareils à des escargots blancs.
Un papillon de nuit dort posé sur ton ventre.
Ah ! silencieuse !
Voici la solitude et tu en es absente.
Il pleut. Le vent de mer chasse d' errantes mouettes.
L' eau marche les pieds nus par les routes mouillées.
Et la feuille de l' arbre geint, comme un malade.
Abeille blanche, absente, en moi ton bourdon dure.
Tu revis dans le temps, mince et silencieuse.
Ah ! silencieuse !

Commentaire de G.RARE le 13 décembre 2010 à 20:20

Cadeau ! La suite de mes poèmes d'Amour

 

L’être humain poursuit sa quête du Graal d’Amour, homme à la recherche de son Antinéa, femme à la recherche de son Tristan, ils rêvent, pris dans le tourbillon enivrant d’un voyage parmi les sons, les couleurs et les mouvements. Capturés par cette magie et inconscients de ses dangers, ils croient avoir trouvé la satisfaction de leurs désirs. Et c’est ainsi que l’Homme devient poète, l’Amour lui souffle des mots, une musique qui comblent ses fantasmes personnels.

Oui, je rêve de toi,

Te tenir dans mes bras,

Embrasser tes cheveux,

Etre enfin heureux.

Ta joue contre ma joue

Et ta main dans ma main,

On dirait des mots doux

Ou on ne dirait rien.

J’écouterai le bonheur

De posséder ton coeur.

Tes lèvres en un baiser

Me feraient frissonner.

J’essayerai alors

Des mots, des mots d’amour

Et aimerai ton corps

Jusqu’à la fin des jours.

J’ai envie de te faire la cour

Et te dévoiler mon amour.

Oui, je serais le ménestrel

Qui chanterait la tourterelle.

Je te parlerai des roses,

Et puis, je te dirais, si j’ose,

Pour voir le soleil de tes yeux,

Que moi aussi, je suis heureux.

J’ai envie de te faire la cour

Et je serais le troubadour

Qui chanterait les oiseaux blancs

Qui traversent les océans.

Je te parlerais des fleurs

Qui renaissent dès l’aurore.

Je chanterais la tendresse

Mais cela rime avec tristesse

Je ne peux te dire une fois encore

Mille fois merçi du fond du coeur.

Commentaire de G.RARE le 4 décembre 2010 à 16:23
Autre extrait de mon spectacle poétique ; ce passage, je l'ai écris car j'ai éprouvé le besoin de faire une pause au milieu de mes autres poèmes, puis j'y ai pris gout et c'est ainsi que j'ai intercalé d'autre passages en prose parmi les vers.

Lorsque l'Homme est allé au plus noir de son obscurité il doit prendre sur lui de remonter vers la surface, à l'image de la graine enfouie au plus profond de la terre et qui doit décomposer son enveloppe pour germer et remonter en direction du soleil, jusqu'à percer la couche de terre qui la recouvre.
Mais il doit écouter la Sagesse et faire preuve d'humilité.
En toi, fais silence, oublies qui tu es, fais le vide en ton être jusqu’au plus profond de la matière, jusqu’au plus profond de tes cellules, oublies ton passé, ton identité, tes habitudes, ton manteau du monde. En toi fais silence, puis mets toi à l’écoute de la terre, comprend qu’elle est vivante, comme toi, écoutes la vivre, écoutes les Hommes, la nature, le ciel et l’univers. Mets-toi en harmonie avec ce monde qui t’entoure et dont tu es toi-même l’une des cellules. Retrouve l’innocence de l’enfance pour redécouvrir les végétaux, les animaux, les océans, les étoiles, observe l’immensité du ciel. Ecoutes les Hommes, ceux de ton époque, mais aussi ceux qui t’ont précédé et qui t’ont laissé en héritage leurs messages gravés dans la mémoire de siècles. En toi fais silence, tu peux le faire en des lieux privilégiés où souffle l’Esprit, mais point n’est besoin, car, toi-même, tu es pyramide, menhir ou cathédrale : le Divin procède de toi autant que tu procèdes du Divin. Etre à l’écoute te permettra de pratiquer la dévotion envers les autres et tout ce qui est, et ainsi tu pourras célébrer la plus belle de toutes les choses : la Vie. Et alors, tu découvriras une Atlantide sur le chemin de la Connaissance et de la Lumière.

Tu pourras alors, si tu le veux, mettre en son et lumière les quatre éléments. Mais attention ! Sois raisonnable, fais preuve de sagesse, tu dois être un éternel étudiant, jamais tu ne sauras tout, et d’ailleurs, à quoi cela te servirait-il ? Peu nombreux sont ceux qui peuvent dire “je” étant devenu pleinement réalisés, beaucoup, attirés par la lumière, se brulent les ailes ou sont aveuglés.
 

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