Lorsque mes mains se posent sur vous                                        

Se crée l’osmose d’un amour si doux                                        

A vous observer patiemment grandir,

Mûrement je me sens embellir

Et je m’arrête dans l’instant                                                    

Admirer votre épanouissement.

Vos messages me rassurent

Votre  couleur sublime qui perdure

Efface lentement le temps obsolète

cet amusement, pensée désuète

Où vous n’étiez qu’embellissement,

A toute personne qui se ment.

Dans mon cœur vous resplendissez

Je ne pourrais risquer de m’en passer

Dans mes yeux vous créez chaque jour

Cette envie inconnue du grand retour

Rien ne pourra séparer cette intimité

Personne ne s’avisera de vous toucher.

Votre souffrance fait partie de mon corps

Dont, il en résulte presque l’essor

Lorsque ce jour là mon esprit s’imprégna

Dans votre matière, le Tout se réalisa

Vous et moi ne faisions qu’Un

Mes cellules et les votres révélaient quelqu’un.

De ce monde méconnu je découvrais

La réalité de mon Être qui sommeillait

Depuis ce jour là Chères Amies

Ne me quitte plus l’intérêt de votre vie

Si vous saignez, mon cœur saigne

Si vous naissez, la joie règne !

D’une Unité parfaite nous sommes reliés

Et je me battrais contre tout armée

Pour conserver sain et sauf vos aînés

Nos resplendissants arbres vénérés

Je chaponnerais vos forêts

Afin de respecter votre humilité.

Merci d’avoir été là

Lorsque jadis je cherchais mes pas ! 

Mon choix de l’au-delà

M’appela Flora…