Le grand problème de la place du féminin en grammaire ou la victoire du système sur un débat important ?

Je vais pour expliquer mon idée comparer cette question avec une autre qui est celle de l’uniforme dans le cursus scolaire.

De tout temps les humains (pour ne pas dire Homme qui poserait un autre débat lol)  sont différents, et le but d’une société est de réussir à vivre avec ces différences.  Le but de certaines religions puis des lumières par la suite a été de tenter de mettre des règles et de proposer (ou imposer) une façon de vivre ensemble malgré nos différences réelles. Seulement voilà : un beau jour est arrivé « Mr consumérisme » est à réussi à convaincre une large partie de la population que la seule manière en tant qu’humain, de montrer sa différence passera par la tenu vestimentaire. Créant de ce fait de nouvelle étiquette bien repérable entre : les jeunes en joggings, ceux en costar, ceux qui portes des baggys,  ceux qui portes des sarouels…. Et limitant de ce fait considérablement le débat des différences idéologique de chaque personne aux fringues qu’il porte. Si l’on prend un exemple de « uniforme » qui existe encore dans notre société, c’est le fait de porter un costar lors d’un mariage. Voir autant de personnes porter un costar voudrait-il dire que ce sont toutes les mêmes personnes ? L’on connait tous les histoires de ces familles où le cousin communiste ne s’entend pas avec l’oncle jeune patron sous les yeux amusés d’un anarchiste se disant que le problème n’est pas là. Et pourtant, lors du mariage de l’un d’eux ils seront tous en costar pour lui faire plaisir. Donc limiter leurs différences à leurs tenus est bien ici un raccourci basé sur des préjugés donc une erreur.

 

Mais alors d’où pourrait venir cette vision et qui arrange telle ?  Montrer qu’il y a des différences, qu’il y a un réel problème (homme/femme) dans notre société est clairement embêtant pour le pouvoir, car pose des questions politiques, le tout est donc de réussir habilement à évincé le problème sans avoir de conflit. Pour cela on propose des modes différentes pour que chacun puisse exprimer sa différence (montrant un appauvrissement des idéaux qui ne suffisent plus à montrer une différence) ou on offre un « bol d’oxygène » au féministe avec le « E » en fin de mot pour leur montrer illusoirement (telle la différence par les fringues) que l’on reconnait dans notre société le problème de la place des femmes. Et de ce fait on l’on montre  que le pouvoir les a entendus est s’efforce de faire changer les choses, en leurs disant de pas trop raller « on a déjà commencé à vous donner le « E » en fin de métier. » Mais dans la pratique, quel en a été le changement ? Dans ces métiers elles sont payées sur la même échelle de salaire que les hommes ? La société patriarcat à donner une place plus importante à la femme ? Que nenni et en plus il leur demande d’attendre, car elles avancent progressivement avec un outil de surface qui masque les différences grâce au « E ». Ne serait-il plus temps de ne plus débattre sur ces outils servant à masquer nos différences, mais bien de mettre sur la place publique les différences qui existe et de les régler dans le font les questions de société et plus la forme ? Accepté le débat de la place du « E » est déjà une défaite sur le fond ou l’on se raccroche sur une forme. 

 

Pour le "Mais tout a un début, et l'histoire, et ce qui se passe en ce moment le prouvent." Si la novlangue de Orwell met une place importante au signe du féminin dans celle-ci, ce n'est peut-être pas pour autant preuve "d'avancer" ? 

 

 

 

 

un peu de musique pour détendre : https://www.youtube.com/watch?v=Sbg79oJ3lbc

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