exemples de problèmes sociaux:

- précarisation de l'emploi (moins d'heures, contrats plus court, mobilité exigée...) pour certains, 

- surcharge de travail pour d'autre avec tendance à l'exploitation par le chantage du risque de chômage

- baisse de la part des salaires dans la répartition des richesses produites et son corolaire: captation des richesses par les plus puissants

- baisse de toutes les garanties sociales acquise durant l'après guerre et par le Conseil National de la Résistance (sécu, chomage, aides diverses et programme de solidarité) 

- baisse tendanciel de l'accès des populations à la connaissance nécessaire à son développement (qualité de l'école -reconnaissance des enseignants- accès à la culture citoyenne...)

- isolement  des classes populaires, abandon des quartiers populaire et donc risque de troubles sociaux en gestation

- destruction des repères consécutifs à l'idéologie de résistance contre les grandes puissances économique

("la france aux français" (extrème droite dans l'imaginaire collectif) est par exemple une expression de léon blum président du front populaire de 1936 qui à acquis un grand nombre droits sociaux, congés payés....Cette phrase s'inscrit dans une compréhension profonde de la critique marxiste (non rasciste!) qui avait compris le besoin du grand capital de faire pression sur les salaires par la concurence entre les travailleurs) 

En clair, le  social c'est centrer les débats sur les réalités des rapports économiques et de classe (les intérêts des plus riches ne sont pas compatible avec les intérêts des plus pauvres, même majoritaires) et de considérer que les comportements individuels, les usages collectifs (sociètale) sont souvent prisonniers ou détourné par les réalités sociales.

ex: l'alcoolisme chez les travailleurs sous qualifier, la lutte contre l'alcoolisme (sociètale) est surement moins pertinante que la lutte collective contre la sous qualification...

Les débats sociétaux ne sont pertinant que si ils n'occultent pas les causes sociales.

Les écolos actuels (de cohn bendit à cécil duflo) font le travail du grand capital en défendant les projets " d'économie carbone" qui va appauvrir les plus démuni et les classes moyenne (ce sont eux qui ont des caisses de 20 ans poluantes et des maisons mal isolé) et qui va participer à la création de nouveaux marchés financiers de spéculation à cour terme (qui justement vont à l'opposé du développement durable écolo...). A noter que la plate forme financière "bluenext" (bourse du carbonne) européenne représente déja 50 millions d'euros de flux spéculatif. 

Le développement des thèmes sociétaux par "l'opposition" (comme le PS) correspond à une transition: les compromits avec le grand capital n'étant plus possible et leur loi devenant légion, ils n'ont eu comme solution que de hurler avec les loups de la droite capitaliste financière ou de déplacer le débat sur des questions secondaire (mariage homosexuel,transgressisme,légalisation du canabis...)

A remarquer qu'a chaque fois leurs combats à fait le jeu des puissants:

- homosexualité= dynamique de création de l'être "hybride" et androgine qui facilite le développement du consomateur unique (produit de beauté...)

- transgressisme= derrière la liberté individuel et le refus des lois, morales et traditions, on trouve la destruction de toutes valeurs communes, de tout état de droit, berceau de l'individualisme amorale pratiqué par la finance (fait penser ton adversaire selon tes règles)

- féminisme= baisse des salaires (avant 68 un salaire sufisait pour faire vivre un ménage. après 68 il en fallait 2), asssimilation de la liberté de la femme à celle de travailler

- droit de l'homme= caution humanitaire (pour le public) des actions d'ingérence des pays occidentaux dans le reste du monde, au profit des multinationnales et des lobby

....

Et cela pour quels avancés CONCRETES?

 Est-on plus libre?

l'équité existe t'elle ? ( plus de hierachie de valeur entre homme et femme par exemple ? ) 

plus heureux peut être? 

Par : le Veilleur