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Non à la Solitude

Pour faire suite à l'Actualité, faisons de ce groupe un partage avec

de l'humour, des idées de partage, mon ressenti du moment, un coin d'amour où l'on peut se ressourcer ... Enfin ce groupe évoluera au fur et à mesure des idées ...

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Modification : 30 juin

Commentaires

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Commentaire de Philippe TATUCHA le 12 Juillet 2011 à 10:08
Bonne journée à tous et toutes ! Bien-être et Soleil !
Commentaire de Philippe le 12 Juillet 2011 à 7:38

Bienvenue à toutes les nouvelles... Que ce groupe vous apporte chaleur et présence... Belle journée à toutes, en particulier à toi Brisemarine !

;-)

Commentaire de Marie Barret le 10 Juillet 2011 à 19:47
Merci Marie-line pour ton invitation, je serais sur Sisteron fin juillet et ce sera avec plaisir.
Commentaire de Philippe TATUCHA le 10 Juillet 2011 à 18:57
Très belle initiative !
Commentaire de Philippe TATUCHA le 10 Juillet 2011 à 15:58
Il a ma présence, mon écoute, mon aide aussi. Mais les gands problèmes d'ordres psychologiques, je les laisse aux personnes compétentes qui peuvent l'aider à gérer sa vie, trouver des portes, à mieux vivre. Il allait toujours vers les autres tout en se complaisant de son état, maintenant il va dans une stucture associative qui apparement lui fait du bien. Son regard a changé, il a le sourire et il y va régulièrement.
Commentaire de G.RARE le 10 Juillet 2011 à 15:44

En effet, cela me rappelle ma discussion , lorsque je pratiquais les groupes Maguy Lebrun, avec une personne spécialisée dans les soins palliatifs et l'aide aux mourrants alors que cela n'existait pas encore et que seul un hopital pour personnes âgées le pratiquait à titre expérimental avec des  bénévoles. Elle me disait "on rend visite dans la chambre du malade, on lui tend la main et le plus terrible c'est quand la personne refuse cette main".

Que faire alors ? On ne peut forcer personne contre son gré, on doit respecter les autres même s'ils sont dans la plus grande détresse.  Alors il faut essayer de contourner ce refus, par la gentillesse, par la patience.

Le même problème se produit encore de nos jours par les périodes de grands froids, ce qui pose des dilèmnes aux membres du Samu social et autres : nombre de "SdF" (je n'aime pas cette étiquête) refusent, malgré leur solitude, malgré la température, leur aide, leur proposition pour s'abriter.

Commentaire de Philippe TATUCHA le 10 Juillet 2011 à 15:04
Et aujourd'hui cela ne l'intéresse plus non plus. Son travail à faire sur lui-même est très long. je laisse aussi cette tâche à son psy, je ne suis pas spécialiste en la matière. Quand il m'appelle, et quand je suis en forme, je le vois volontier, sinon je me protège et ne veux pas me faire bouffer mon énergie;
Commentaire de Philippe TATUCHA le 10 Juillet 2011 à 15:00
Il me semble qu'il avait déja fait des tentatives sans passer à l'acte. Je ne connais pas son histoire. Il a un père qu'il voit en vacances de temps en temps. Il y a des gens qui le soutiennent, et est suivi par un psy, d'ailleurs c'est lui-même qui lui a donné des adresses d'associations (encadrées par des psy), mais il n'osait pas y aller. maintenant c'est fait. je lui ai demandé si il avait eu une passion, ce qu'il avait voulu faire étant plus jeune, il m'a répondu "du cinéma ". je lui ai dis tu peux aussi t'inscrire à des cours de théâtre, t'épanouir dans ce domaine. Il m'a répondu : " ca ne m'intéresse plus ". Pourquoi lui ai-je demandé. Il m'a répondu : " je voulais à l'époque n... les gonzesses " . Bon, que dire à cela ? Je suis resté sur le cul.  
Commentaire de Philippe TATUCHA le 10 Juillet 2011 à 12:56
Merci G.Rare, mais cela fait des années qu'il est sous traitement, qu'il prend plus ou moins. Et il m'a dit qu'il avait arrêté de le prendre depuis un certain temps car cela ne lui faisait rien d'après lui d'où peut être son état. Je l'ai bien engueulé aussi.
Commentaire de Philippe TATUCHA le 10 Juillet 2011 à 12:52
Je ne sais pas si je lui ai sauvé la vie, car tu sais son " appel au suicide", " se tirer une balle dans la tête " ou de dire " on ne devrait plus vivre à partir de trente ans car après on s'ennnuie ", je l'ai senti intuitivement comme une souffrance, un appel à aller vers lui. Il avait besoin qu'on le remue, qu'on l'écoute et s'intéresse à lui. Je l'ai provoqué aussi, sachant qu'il ne ferait rien. En tous cas, il m'a bien pompé de l'énergie, j'étais épuisé !
 

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