Conclusion d'un groupe d'étude

Au terme des recherches effectuées, le Pôle santé de (confidentiel) qui a ordonné cette étude, tient à affirmer que ce virus ne lui apparaît pas d'origine naturelle et qu'il est peu vraisemblable que sa propagation soit accidentelle.

Ces éléments doivent être signalés car ils sont lourd de conséquences quant à la réponse qu'ils impliquent, tant au niveau de la prévention que des pistes de traitements que nous avons pu relever.

Même la gestion de la crise par l'OMS laisse pantois.

Ceci étant posé, la virulence des cas graves de Covid-19 semble être liée à un choc cytokinique (ou orage cytokinique ou syndrome de libération des cytokines) qui est une production excessive de cytokines déclenchée par un agent pathogène et qui se manifeste par une violente réponse inflammatoire du système immunitaire. C'est une réponse inadaptée, nocive et généralement mortelle sans traitement approprié.

Selon les observations, cette inflammation explosive se traduit par une thrombo-embolie veineuse généralisée, principalement pulmonaire.

Il est donc d'une impérieuse nécessité tout d'abord de prévenir la contagion par des gestes barrières, puis – en l'absence de tout traitement officiel à ce jour – par l'usage préventif de compléments alimentaires naturels connus pour leur activité antivirale (réduction de la charge virale), anti-bactérienne (risques de co-infection), fluidifiante sanguine (thrombose), anti-inflammatoire et régulatrice du système immunitaire (choc cytokinique).

Au niveau médical, il est constant que les traitements antiviraux et antibiotiques efficaces devraient être apportés bien avant une gravité de la pathologie conduisant le patient en réanimation et rendant irréversibles les dommages corporels, cela afin de diminuer précocement la charge virale et de maîtriser la co-infection bactérienne éventuelle.

La préconisation officielle de ne pas utiliser d'anti-inflammatoires dans le cas d'une atteinte au Covid-19 est largement sujette à caution, compte-tenu de l'existence avérée d'un choc cytokinique.

Le gouvernement malgache utilise actuellement, contre l'avis de l'OMS mais avec succès, un médicament « miracle », le « Covid-organics » élaboré par l'Institut Malgache des recherches Appliquées (IMRA). Ce médicament, basé sur des plantes médicinales locales connues (comme l'Artemisia), a permis de mettre fin au confinement à Madagascar. Toutefois, il ne sera pas disponible en France pour mettre fin à la crise sanitaire, la directrice de l'ARS de la Réunion (située à 800 km de Madagascar) ayant indiqué que « c’est « une décision stratégique » et que cette décision est prise par le ministère français de la Santé, après plusieurs mois de tests », l'académie nationale de médecine confirmant cette position en « mettant en garde ».

Les HECT d'armoise (artemisia vulgaris , artemisia arborescens) n'est d'ailleurs pas en vente libre en France et sa vente est réglementée.

Toutefois, il est de notoriété publique que la nature ignore les barrières financière et administratives abstraites et l’armoise commune (Artemisia vulgaris) est une plante vivace qui se rencontre dans à peu près toutes les régions de France.

Ainsi, dans un temps où le « principe de précaution » peut paraître à certains dilatoire et dans des circonstances où les traitements naturels trouvent de ce fait une nouvelle légitimité, restent en vente libre certains compléments alimentaires : comme les HECT de Ravintsara ou de Saro, également originaires de Madagascar et dont les propriétés antivirales sont connues.

La question qui se pose actuellement entre les scientifiques est de savoir si, une fois les patients « guéris » et les symptômes disparus, le virus disparaît de l'organisme où s'il reste tapi pour cohabiter pacifiquement avec le corps humain, comme le font d'autres virus.

Avec le risque, comme nous en alerte clairement le professeur Montagnier, que ce virus très élaboré et qui semble avoir bénéficié des avancées de la biologie moléculaire, ne voit son pouvoir pathogène réveillé par la généralisation des antennes relais 5G sur le territoire national.

S'ajoute à cela la constatation que des bactéries du genre Prevotella (présentes dans les intestins) semblaient renfermer des séquences du virus SARS-COV-2, comme si le virus avait infecté les bactéries, ce qui pourrait expliquer les variations importantes de la charge virale d’un test à l’autre chez une même personne, comme si le virus se cachait quelque part.

L’hypothèse qui se dessine est que le virus infecte les bactéries, qui deviennent alors virulentes, provoquant notamment l’inflammation parfois fatale. L'étau se resserre lorsqu’on apprend que les infections impliquant Prevotella sont déjà connues pour provoquer des symptômes respiratoires, y compris aigus.

Est-ce à ce motif que les traitement antibiotiques (Macrolides + C3G, azithromycine conjugué à l'hydroxychoroquine) s'avèrent efficaces contre l'infection ?

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