Le doute apporte la confusion et refuse l’expérience

Prouve est devenu l obsession de l’espèce humaine c est une habitude
intellectuelle qui, au lieu d’élargir vos horizon les restreint. La
preuve devient facilement un refus de ce qui « EST ».
Chaque fois que tu projettes ton attention consciente vers une plante ou
toute autre forme de la nature, ton rayonnement jaillit. Ni le temps
ni la distance ne peuvent détruire cette union.
La vérité est comme une vague sur la plage. Elle déferle imprégnant le
sable de son énergie, et le sable connait la vague. La mer se retire.
Le sable est sec, il ne connait plus la vague, ni même sa source. Avec
le soleil de midi, le doute est à son comble… jusqu’à ce que reviennent
les vagues avec substantielles de la vérité. C est ainsi que joue au
pluriel le flux et le reflux de la vérité et du doute. Ne t’en inquiète
pas car, pour l’espèce humaine, c est aussi naturel que le mouvement des
vagues sur la plage.

Une pensée confuse, limitée et refoulée, constitue un danger car elle
vise à retenir le penseur captif. Il ne devrait pas y avoir de pensées
emprisonnées. Examine le donjon de tes pensées et délivre toutes tes
prisonnières. Abandonne tes droits sur elles. N’en sois plus
embarrassé, libère les simplement.

Tu ne trouveras la paix qu’en sachant qui tu es. A ce moment là, les
preuves t’apparaîtront comme une offrande nécessaire à ceux qui ne
peuvent accepter la réalité de leur propre vie. Douter t’empêche
d’accepter ton Etre. Inutile de te dire que le doute interdit l’accès
aux réalités supérieures. Le doute est la partie de ton mental qui
lutte pour garder le contrôle. Le doute spécule comment maintenir sur
un chemin connu. Tu ne peux à la fois ce chemin et accéder à un
niveau plus élevé d’éveil conscient. Là, il n’a pas de place pour le
doute, pour la peur. Le doute anéantit la foi. La foi ne le connait
pas, ne veut pas le connaître, car, pour elle, l’instant est plénitude.
Le chemin de la foi est un voyage au-delà du temps, de l’espace ou des
limites dimensionnelles. L’esprit cesse alors de vouloir transformer
l’inconnu en connu.

En toi quelque chose sait. Dans toute l’humanité, quelque chose sait.
One ne découvre pas la vie en accumulant les informations. Il s’agit
dans ce cas de savoir. Le savoir est une information devenue statique.
La vie est révélée par le « connaissance ». La « connaissance » est
une information en mouvement, toujours libre, spontanée. La science
s’est polarisée sur le savoir, particulièrement celui est perçu par les
sens physiques.

« Sois indulgent envers ta condition humaine. C’est un privilège, un
honneur. Garde présent à l’esprit le fait que tu n’es pas limité – toi,
être humain – a des expériences physiques. Tu peux connaître – toi,
être humain, l’univers dans sa totalité, dans son unicité, sans pour
autant renier une certaine identification à ton corps physique. Ta
conscience s’élargira et tout dans l’univers deviendra partie de ton
Etre. Ton identité sera le corps de la « Terre-Homme » - Humanité – et
non plus seulement le corps « d’un homme » - un humain.

Maintenant j’aime les moments d’oisiveté, ceux qui permettent de
connaître les espaces libres de l’instant présent, de prendre le temps
d’explorer le vide, la solitude, pour en apprécier la richesse et la
plénitude, de défier ce paradoxe qu’il faut du temps pour atteindre
l’absence de temps.
Nous sommes unis dans une conscience d’amour.

En fait, le rejet de soi représente la forme d’énergie que nous
rencontrons le plus fréquemment chez l’homme, une aversion maligne
enfouie au plus profond de la peur inconsciente.

Il n’y a pas de réponse à une telle question. L’amour peut t’envahir à
l’instant, te transformer en « pur » lumière, mais tu peux aussi bien
mourir dans de nombreuses années, en continuant à hurler ta peur. Tout
est possible – le choix t’appartient.

… approprie toi ce qui s’oppose à toi et utilise son énergie en la
retournant contre lui. La puissance est dans le Chi.

La connaissance s’atteint dans l’instant présent – « maintenant ». La
pensée ne contient pas « la connaissance » ; la logique et la raison en
nient le principe. Il n’y a pas « connaissance » si tu réagis à la peur
; si tu agis par amour tu as la « connaissance ».

L’homme n’est pas sur cette terre pour revendiquer un espace et s’y
fixer à jamais. Seule la peur nous attache à un lieu appelé « foyer »,
sensé offrir la sécurité Certains y trouvent toutefois la satisfaction
de leurs besoins et de leur destin, car prendre racine leur permet de
grandir.

Voir les personnes d’aujourd’hui avec les yeux d’hier vous projette hors
du courant de la vie, vers les tourbillonnants remous de la stagnation.
Pour quelques malheureux cette situation prend le nom de mariage.
Voyez votre partenaire dans la vie, tous les gens que vous côtoyez comme
totalement « neufs » à chaque instant.

L’homme n’est pas confiné à la réalité physique. La possibilité lui
est offerte de déployer ses capacités supérieures de conscience, en
explorant des espaces plus élevés de vérité et de réalité.
Ne vois tu pas la perfection de chaque jour, de chaque instant ?

Si tu te décidais à confier tous tes fardeaux au fleuve de la vie, si tu
te laissais porter par ce qui « EST », tu connaitrais une liberté qui
ne pourrait pas se traduire par des douleurs de dos. Cette douleur
correspond à une surcharge.

CE MOMENT EST PARFAIT. Comprends le. Deviens le. Vie le. Respire le.
Reste avec lui. Centre toi en lui. La perfection d’abord limitée,
désagréable, douloureuse, inconfortable, pleines d’exigences… évoluera
vers la paix, la liberté, l’acceptation, l’expansion infinie. De
rigide, la vie deviendra fluide.

Centre toi sur ce qui « EST ». L’esprit humain est toujours fortement
tenté de croire en une toute petite vérité. Prends-la… fais-la tienne…
mais ne te détourne pas d’une vérité plus vaste… ta vérité… la vérité
humaine. Sois attentif au chant collectif de l’humanité, mais ne crains
pas de chanter ta propre mélodie. Dans la vie qui coule en ton Etre.
Suis l’étoile qui demeure dans ton cœur et te guide vers ta position
parfait de ce qui « EST ». Joue le jeu de la vie en étant conscient de
la règle d’or… le joueur contrôle le jeu, le joueur est celui qui joue…
celui qui est joué.

http://terredefemme.com/extrait-du-livre-dialogue-avec-la-nature-de...

Si ça vous parle : http://www.michaelroads.com/newsletters.htm
http://www.michaelroads-france.com/
http://www.michaelroads-france.com/livres.html

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Réponses à cette discussion

Waow !
Je pars une semaine et vais imprimer ce texte pour le relire avec moi, au calme.
Merci pour ce partage.
Bon dimanche, belle semaine !
Merci à vous, à chacun, chacune !
Très touchée, et ravie que cela vous ai touché, plu.

Bisous luminodoux

Marie-Ange
Hé oui ! Tout a un sens !!

(parfois on croise des sens interdit ! alors il nous reste à lire entre les lignes, contourner, trouver une autre voix(e) (!) , de préférence : la nôtre !

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