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Les Quatre Accords Toltèques

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Les Quatre Accords Toltèques à eux seuls,dans toute leur simplicité, expriment une sagesse incontournable, universelle...

Découvrons les ensemble, découvrons comment les mettre en action dans notre quotidien, comment trouver la voie de la Liberté personnelle chère à Don Miguel Ruiz.

Oser être soi

Voyager vers la liberté personnelle

Et créer son paradis sur terre,

C’est possible !

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Modification : 19 déc. 2020

LES QUATRE ACCORDS TOLTEQUES

Que votre parole soit impeccable.

Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez. N'utilisez pas la parole contre vous-même, ni pour médire sur autrui.

Ne réagissez à rien de façon personnelle.

Ce que les autres disent et font n'est qu'une projection de leur propre réalité, de leur rêve. Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n'êtes plus victime de souffrances inutiles.

Ne faites aucune supposition.

Ayez le courage de poser des questions et d'exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement avec les autres pour éviter tristesse, malentendus et drames. À lui seul cet accord peut transformer votre vie.

Faites toujours de votre mieux.

Votre "mieux" change d'instant en instant, quelles que soient les circonstances, faites simplement de votre mieux et vous éviterez de vous juger, de vous culpabiliser et d'avoir des regrets.
________________________________________
Ces accords sont décrits dans l'ouvrage : Les quatre accords toltèques, Don Miguel Ruiz, Jouvence Editions

Commentaires

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Commentaire de Rose River le 9 octobre 2011 à 13:06: Ce n'est pas moi qui ai "choisi" ce mot. Mais les lois de la nature sont souvent paradoxe et je crois fermement que quand on a trouvé le paradoxe de quelque chose c'est qu'on réussi à hapréhender cette chose dans son unité. Je suppose que Don Juan, dans la littérature de Castaneda, utilise ce mot dans la mesure où le guerrier se bat contre lui-même pour accéder à une conscience supérieure et à la sagesse. En effet, pour suivre les quatre accords toltèques, il faut savoir surveiller de près son ego. C'est un combat de tous les jours. Je trouve moi aussi ce mot très puissant, mais non négatif. Il paraît même que l'archange Michael est un guerrier puisqu'il est armé d'un glaive (si mes souvenirs son bons). Moi aussi, la première fois que j'ai lu ce mot, j'ai été choqué, mais au fil de la lecture je pense l'avoir compris.

Commentaire de Lovyves le 4 octobre 2011 à 22:06: Bonsoir à Tou(te)s

"... Bien entendu je suis très loin de la perfection d'un guerrier." !

Eh bien, Rose, à mon avis !

C'est très bien de ne être une guerrière !!!

je n'arrive pas à penser que le mot "guerrier" puisse être un mot impeccable.

Un guerrier de la paix, de l'amour, me parait être une absurdité du langage... et de l'esprit.

je peux être un animateur, un organisateur, un entraîneur de la paix; pas un "guerrier".

C'est pour moi un abus de langage, beaucoup trop à la mode !

Il n'y a pas d'humanité dans ce mot.

Les mots ont une puissance, et la puissance de ce mot n'est compatible avec les amoureux de la paix et de l'harmonie.

Commentaire de Rose River le 4 octobre 2011 à 21:49: Bonsoir, Il y a environ 7 ans de cela, j'ai découvert les quatre accords toltèques, la littérature de Casteneda ainsi que les philosophies amérindiennes. Pour la première fois de ma vie j'ai eu l'envie de m'engager dans une direction précise sur mon chemin spirituel : la voie du guerrier m'a très impressionné et est devenu mon repère spirituel. Bien entendu je suis très loin de la perfection d'un guerrier. Mais je fais de mon mieux Sur mon autel j'ai inscrit les quatre accords toltèques sur une pierre pour tacher de m'en souvenir chaque jour (c'est fou ce qu'on peu vite oublier). Je serais très heureuse de pouvoir échanger sur ce sujet avec d'autres personnes.

Commentaire de Lovyves le 14 Juillet 2011 à 20:19: Bonsoir

Oui, Antoine, le chemin de l'éveil est long, sans fin.

Et les accords Toltèques sont toujours d'actualité, ici et ailleurs.

Commentaire de Lovyves le 10 Juin 2011 à 18:47: Bonsoir à Tou(te)s

Et à SUDHANSU

Comme rien ne se perd tout se transforme, je reprends :

La faille existentielle vient de la compensation de la perte du sentiment de l'unité, résultant du verbe, outil fabriqué, pour vivre l'inadéquation entre le langage et la réalité !

Et la confrontation au mensonge a engendré le caractère sacré de la parole !

Toujours d'accord ?

Et un état vibratoire où le son et le sens ne font qu'un, permet, sans aucun doute, à accepter et comprendre facilement le langage basique des philosophes socratiques qui démontent le mensonge entre le langage et la réalité.

Je pense, que nous d'accord avec des mots différents et en Accords Toltèques !

Commentaire de SUDHANSU le 10 Juin 2011 à 8:31: Le caractère sacré (ça crée) de la Parole est né de la confrontation au mensonge résultant d'un vécu d'inadéquation entre le langage et la réalité puisque le verbe est devenu l'outil fabriqué,en quelque sorte,pour compenser la perte du sentiment de l'unité et qu'il renvoie ainsi à la faille existentielle.

Au-delà ,je suis avec la perception d'un "état" vibratoire où le son et le sens ne sont qu'un ,par la réunion de l'attention et de l'intention:cela s'exprime concrètement,à travers l'expérience du yoga du Son...

Commentaire de Lovyves le 10 Juin 2011 à 6:59: Bonjour à Tou(te)s

Intéressant :

"par la force de l'intention et la puissance de l'attention"

A moins que ce soit le contraire : "la puissance de l'intention et la force de l'attention" !?

Plus généralement :

Nous communiquons oralement grâce à une langue.

Cette langue est composée de mots qui ont une signification propre !

Ne pas se "plier" à la signification des mots, c'est vouloir créer de la confusion (Tout de Babel) !

Voir les Accords Toltèques :

Que votre parole soit impeccable.

Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez.

N’utilisez pas la parole contre vous-même,

ni pour médire d’autrui.

Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle.

Ce que les autres disent et font n’est qu’une projection de leur propre réalité, de leur rêve.

Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n’êtes plus victime de souffrances inutiles.

Mais la discipline du langage n'est pas "bien vu" ces dernières décennies !

Pourquoi pas !

Mais alors il faut prendre l'engagement et la responsabilité de sa propre signification des mots :

"je pense de cette manière de ceci, de cela", mais jamais "ca dépend de ...", "on peut voir ca comme ceci"!

Après avoir posé ces bases, on peut "jouer" avec les mots, pour le plaisir du jeu.

Et, aussi, parce que les mots ne sont que des mots; ce n'est, sans doute, pas l'essentiel de la communication !

Quelles intentions j'ai lorsque je communique avec des mots ?

Mon choix des mots obéit à quelles intentions ?

Pour donner de l'information, pour être compris, pour comprendre l'autre, pour me protéger de ..., pour me rassurer, pour se tromper et tromper l'autre, pour détromper ?

Et pour répondre à la question : comment est né la réaction sémantique, chez moi :

Du mensonge, presque permanant, du langage employé.

Commentaire de SUDHANSU le 10 Juin 2011 à 6:22: Namasté SHIN,

J'ai rencontré,en 1975,un chanteur breton,du nom d'allanic,venu donner un récital pour l'aide humanitaire,dans sa ville natale qui chantait;"qui voit le soldat voit son ennemi"

il n'en est ainsi que jusqu'à ce que l'action jaillisse d'elle même par la force de l'intention et la puissance de l'attention

Bonne journée

Commet est né(e) pour chacun(e) de nous,la réaction sémantique?

Commentaire de Lovyves le 8 Juin 2011 à 9:50: Bonjour Chère Véronique

tous les mots commençant par : "con" ou "com" sont de jolis (et polis) mots.

Car ils signifient : "avec" !

Donc : "combattre" : battre avec , est très bien; et même pour soi : se battre avec ... les moyens que je me donne, pour évoluer.

Il y a aussi : "compétiteur" : rechercher, poursuivre le même objectif qu'autre personne.

"Combattant(e)s de l'amour; combattant(e)s de la lumière"; ou "Compétiteurs (trices) de l'amour, de la lumière" me paraissent très bien.

C'est une dépense d'énergie avec soi, pour soi, avec les autres pour les autres; très loin de "guerrier" , qui est toujours contre, qui tue, qui est au détriment de soi et des autres.