DAUPHIN CRISTAL
Est une association Internationale loi 1901 déposer a la Préfecture de Rouen le 14 Janvier 2014 sous le no W763011320 Au journal officiel le 25 Janvier 2014 N0 annonce 1512 - page 357
Elle est une association de protection des océans, des cétacés, elle a pour but de tenter de faire fermer les delphinariums, pour que plus aucun cétacé ne soit le joujou du publique et de la cruauté humaine !
La prévention
De l'orientation
De l'information
Des actions
De la sensibilisations
Aider les personnes en difficulté
Apporter de l'aide à domicile et soutien
Des voyages
Organiser des repas a thème et des rencontres à thème
Faire des sorties
Faire des CD Spectacles....
Tenter de réaliser les rêves des enfants malades ou de toutes autres personnes pour un meilleur être
Organiser des actions en justice au niveau de l'Union Européenne et internationalepour faire respecter le droit a la vie et à la liberté !
Site Web : http://dauphin-cristal.e-monsite.com/
Lieu : Le monde entier
Membres : 27
Modification : 12 nov. 2021
Ce groupe n'a pas encore de discussions.
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Victoire pour les bélugas. Un port pétrolier arrêté au Québec !
«Il m’apparaît difficile de continuer à prévoir un site de port pétrolier avec une information de cette sorte», a déclaré le premier ministre du Québec, Philippe Couillard, lors d’une conférence de presse conjointe avec le premier ministre de l’Alberta, en visite au Québec pour vendre le projet de TransCanada.
Double victoire contre l’industrie du pétrole
A en croire les propos du premier ministre Québecois, TransCanada, l’entreprise canadienne en charge d’un projet pétrolier, devra trouver un «site alternatif» pour son terminal pétrolier. Une décision radicale qui met fin à la saga du site de Cacouna, situé dans une pouponnière de bélugas.
Pour rappel, un groupe d’associations d’écologistes et de scientifiques, dont la Fondation Suzuki, avait engagé un recours judiciaire contre les forages de TransCanada à Cacouna. Le 30 novembre tombait l’échéance du certificat d’autorisation. Le Québec a refusé de reconduire les autorisations, empêchant TransCanada de poursuivre ses projets. Une victoire pour les citoyens, les bélugas et les associations.
« La victoire s’il en est une, est celle de la science que l’on a voulu taire et qui nous rappelle encore aujourd’hui que le prix à payer pour l’ignorer peut aller jusqu’à l’extinction d’une espèce. » déclare l’avocat du groupe.
Une espèce à protéger avant son déclin total
C’est en réalité une double victoire. Le Comité sur la situation des espèces en péril (COSEPAC) vient tout juste de changer la classification du béluga de menacé, à en voie de disparition. Un détail sémantique qui change tout. En effet, sur 10 000 bélugas il y a quelques années, il en reste aujourd’hui moins d’un millier. Raison évidente pour refuser l’implantation d’une industrie particulièrement polluante dans la région.
Pollutions, perturbations causées par le bruit, développements industriels, il y a plusieurs causes à ce déclin. Une chose est certaine, c’est un mouvement général axé sur une croissance infinie de la production qui est en cause dans ce dérèglement environnemental. Plus personne aujourd’hui n’est assez dupe pour croire à une relance verte grâce à l’industrie du pétrole.
Malheureusement les politiques ne voient souvent les choses qu’en termes de retombées économiques, de profits et d’activités.
«Est-ce qu’on abandonne aujourd’hui Cacouna? La réponse est non»
Malgré la situation, le porte-parole du projet Énergie Est de TransCanada affirmait à la radio que la société conserverait la même cible pour leurs projets pétroliers. Aucune décision définitive ne serait prise de leur part à ce jour. Ce qu’il faut comprendre, c’est qu’une industrie de cette taille ne risque pas de s’incliner devant un peuple, encore moins devant une espèce de dauphin. De manière cynique, il est simplement envisagé par TransCanada de déplacer le problème.
Sources : Fondation David Suzuki / tvanouvelles.ca / ici.radio-canada.ca
merveilleux Film a revoir autant de fois que l on peut............
a diffuser dans les ecoles !!!
Je ne mange plus de viande depuis des années et mes amies n'arrivent pas à comprendre mon combat pour la survie des animaux. On a éradiqué tous les animaux sauvages de France... le dernier ours a été abattu en Savoie par ordonnance du préfet en 1916. Maintenant, on essaie de réhabiliter l'animal dans les Pyrénées avec balise au ventre pour les pister. Et le gros chat sauvage du Val de Marne n'était pas un félin dangereux...
LA CRUAUTÉ ENVERS LES ANIMAUX DE BOUCHE … Personne ne veut le savoir !
• 80 % de l’élevage en France est pratiqué de façon intensive.
• 80 % des poules pondeuses ne voient jamais le jour,
• 82 % des poulets sont élevés dans des bâtiments clos et grandissent de façon accélérée,
• 90 % des cochons vivent confinés dans des bâtiments en béton
• et 99 % des lapins sont élevés en batterie, sans litière…
La gazelle qui finira dans l’estomac du lion ne subit pas durant son existence, le triste sort réservé à la plupart des bêtes dites de boucherie. Celle-ci aura profité de la joie de vivre au grand air et de la liberté avant que son destin ne s’accomplisse subitement.
Mais l’homme, dans sa cupide insensibilité s’assoit sur cet aspect, et maltraite les animaux comme de la vulgaire marchandise. Un seul objectif : la rentabilité ! Bien sûr, l’horreur est au rendez-vous de enfer du début jusqu’à la fin de vie écourtée (abattage Halal en prime). Rien n’est épargné : mutilations en règle, privation de lumière du jour, impitoyable concentration au m², gavage, absence de litière, immobilisation dans des barres de fer (truies), compléments alimentaires chimiques voire OGM, hormones d’activation de croissance, antibiotiques à outrance…et transports longue distance dans des conditions épouvantables.
Selon un sondage pour le compte de l’association de protection animale L214, paru en 2013, 90 % des Français sont opposés à l’élevage intensif, bien qu’il permette de consommer de la viande à bas prix… Pour mettre fin à l’élevage intensif concentrationnaire, c’est aux consommateurs de rejeter tout produit non garanti issu du plein air en liberté (relative), ce qui impliquerait de payer la viande un peu plus cher ou surtout d’en réduire sa consommation (tout le monde admet qu’on en mange beaucoup trop).
Prétendre à une santé durable en se régalant de viande martyrisée relève d’une coupable désinvolture qui a maintenant peu de chance d’être exaucé dans le cadre de la nouvelle conscience planétaire.
Le genre humain ne peut prétendre aux yeux de l’Univers à aucune respectabilité, aucune évolution profonde, tant qu’il ne veille pas à ce que soient assurés le bien-être des animaux et leur intégrité dans la dignité de leur programme biologique.
La cruauté entre humains ne cessera jamais
Tant qu’elle perdurera vis-à-vis des animaux (Gandhi)
Bonjour Petite Dauphine,
Vos canalisations sont très haute en fréquence. Merci pour ses mots venant de nos amis les dauphins.
Jésabelle
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