Accéder au bonheur comme tout un chacun le souhaiterait est ce possible?

Je suis toujours à la quête de ce bonheur absolu, y arriverais je un jour?

Et vous qu'en pensez vous?

Je vous remercie de vos commentaires.

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Réponses à cette discussion

Il me semble que Lovyves peut faire  des commentaires moins abstrait y compris au nom de la philosophie socratique.

Cette philosophie "socratique " n'excuse pas tout.........

Bonjour à tous,

Il s'agit bien de s'autoriser des commentaires !! Ne faisons pas des formes du vivant des idoles. Merci d'avoir commenté ces accords toltèques. Dans ce sens notre meilleur allié est le doute. Il n'est pas obligatoire d'être socratique ou encore platonicien ou encore, aristotélicien ou encore etc...... Mieux; il s'agit de la qualité de nos doutes face à celles et ceux qui ici même cherche à nous refiler coryances et convictions jusqu'aux accords dit toltèques. Et notre culture s'empare une fois de plus d'une nouvelle mode, jusqu'au moment ou un copain, nous pose cette terrible question: " Dis moi t'es du genre toltèque ou  bouddhiste...?" Le rire ou le silence sont mes seules réponses. Il en remet alors une louche : "ha bon tu n'y crois pas..." ? Que dire à cela......?

Car l'idole est déjà en marche qui se confond avec "Je suis" "tu es "etc.....

Mais rappelons nous tout de même que les propos tenus ici ne sont qu'un aspect de celui ou celle qui les tiens. Un autre piège est la personnification, c'est que notre imaginaire s'empare de ce qu'il à sous la dent.......

Bonjour Roland,

Merci de ton retour et des tes commentaires.qui mériteraient peut-être plus que ma réponse à mon point de vue et par là ce qui m'est inspiré à la lecture de ton propos :

Le doute est pour moi un allié tranquille face aux croyances, représentaions d etoutes natures et bien entendu l'imaginaire hégémonique. Une autre façon d'annoncer ma couleur je ne suis pas dans la course au pouvoir pas plus que dans une surenchère du savoir. Nous ne devons pas confondre le monde des pensées qui nous traverse avec la "machine à penser". Il existe des voies d'alliance entre nos pensées nos émotions et nos sensation et nos intuitions. Cela je le vis.Carl Gustave Jung écrit très bien tout cela dans son ouvrage "dialectique du moi et de l'inconscient".  L'élargissement du champ de notre conscience associé à une qualité de présence témoignent en effet que quelques chose est à l'oeuvre dans une certaine dynamique du vivant. Peut-être que dans tout cela le plus difficile est daccepter/d'accuellir nos limites et le fini auquel nos limites nous renvoient. Car nous ne sommes que de passage et donc confrontés à des contraintes existencielles qui sont aussi notre lot commun.

Bonjour Thérèse,

Je profite aussi de vos propos vers Rolland puisqu'il ne sont pas privés. Alors je n m'en prive pas.A vous lire la question qui reste en suspend pour moi est la suivante : Pour bien repérer ce qui se joue pour vous à l'occasion de vos souffrances vous êtes vous faites aider ? Accompagner ? Cela semble si simple que je suis entrain d'imaginer que cette conquête de simplicité pourrait-être aussi le fruit d'une relation d'aide ? Qu'en dites vous ? bien à vous   Jean-jacques

Bonjour,

Juste quelques rélexions à partager.

Le plus souvent sur le terrain dit de "spiritualité" nous ne savons pas en  fait de quoi nous parlons. Ce qui pourrait être une autre fenêtre sur le vivant nous le transformons en idole. Et comme par hasard masquée derrière de nombreuses références avec quelques mots qui semblent magiques (toujours les mêmes) et qui pour moi ne le sont pas.

Une autre réflexion est que nous les hommes (petit h) sommes souvent dans la séduction. Il n'est pas rare qu'entre nous la compétition s'annonce dès que des femmes se trouvent dans les parrages. Cela je l'ai constaté sur ce site. Le chasseur-cueilleur-prédateur n'est jamais très loin. Ce qu'il importe alors (et pas pour tous) va être de plaire ce qui peut passer par convaincre avec aussi de la mauvaise foi qui s'emmêle. C'est que la séduction fait naitre des enjeux qui sont d'un autre autre que ceux de la connnaissance. La dimension psychologique personnelle en devient alors preignante au regard des fragilités de chacun plus ou moins masqué par du discours.

Rappelons nous tout de même que le mot séduction est souvent associé à manipulation..

Bon il ne s'agit pas selon mon point de vue de convaincre à n'importe quel prix. Et puis très souvent le seul fait de vouloir convaincre autrui va nous révèler que derrière cet "autrui" c'est de bien autre chose dont il est question...!! Donc je le rappelle nous ne sommes que de passage, se le dire de temps en temps ça calme.....Ce que je crois, ce que je pense n'est que toujours relativement important, ja mais (selon moi) absolument important. Quand il y a naturellement rencontre avec un/une autre, alors c'est une cerise sur le gateau des relations.

Nous n'imaginons pas combien et comment parfois se sont nos blessures qui parlent au travers d'un masque. Quand nous le sentons cela peut aussi ne pas nous convenir. C'est que nous sommes encore et toujours des êtres humains.

Bonne journée.

Thérèse,

Je ne pense pas que le chausseur cueilleur le soit du fait de la présence féminine Ce que je dis c'est que la  présence féminine fait partie des proies du chasseur. Dans tout cela selon moi il y a des ingrédients  d'un grand malentendu antropologique entre les deux sexes. L'homme projette sur la femme certaines choses qui n'ont pas ou peu à voir avec elle. Et la femme projette sur l'homme aussi d'autre chose qui n'ont pas ou peu à voir avec l'homme. Certaines attentes se ressemblent et ne sont pas de même nature.ce qui génère de nombreux imbroglios. Ne pas oublier tout de même que la première femme miroir de l'homme est sa mère ou son substitut. Elle lui dit : " t'es un beau garçon...tu es le plus beau...." (bonjour les compétitions à venir (rire) cours de récré, pissotière j'en passe et des meilleures...) Bien entendu avec le temps tout cela prend des formes plutôt subtiles. Cela dit dans nos relations avec l'autres sexe il se trouvent des enjeux pas vraiment conscient qui peuvent nous conduirent à de drôles d'impasses.

Thérèse c'est quoi pour vous ce que vous appelez "épanouissement spirituel " si vous pouvez me décrire cela j'en serais ravi. Comprenez qu'avec ce mot que beaucoup ici emploi je ne sais toujours pas en dehors du dictionnaire ce que cela signifie pour chacun ?? Autrement dit encor que dites vous vous -même quand vous employez ce terme ? A quelle expérience il fait référence ?

ouille ! le mal de tête !!!

Thérèse merci d'avoir répondu à mes questions. Une fois de plus et grâce à votre témoignage nous voyons que le mot spirituel est employé de façon variable. D'ou l'intérêt de votre précision.

 

  Coucou Thérèse,

  Je suis beaucoup absente de mon forum, je n'interviens pas en ce moment, beaucoup trop de choses à penser et à faire. Merci à vous tous d'être là.

   Je suis heureuse Thérèse pour ta fille et pour toi. Moi, je suis aux anges aussi mais mes enfants veulent la surprise et moi aussi bien que...... je sache au fond de moi le sexe du bébé. J'espère un petit chouchou , j'en ai déjà deux, mon fils, mon premier petit fils, un éveillé spirituel en puissance vu son regard, sa douceur et surtout son goût pour tout ce qui est ésotérique.... bon sang ne saurait mentir.

   Comme on dit jamais deux sans trois..... puis il y a ma chouchoute sa soeur aînée ........ qui attend avec impatience, elle a eu 2 ans le 23 Septembre. Anniversaire dimanche. Elle aussi vu son regard a ce petit quelque chose..... de magnétique, sa maman est magnétiseuse. Quelle famille.

   Toi sûr ce sera une petite verseau, j'aimerais bien aussi mais comme c'est pour fin janvier???????????j'ai déjà une petite capricorne, quel caractère, hhhhhhh, 

   Attendons dans la joie et la bonne humeur, une belle année pour nous en perspective.

   Bises

   Marye

   

Le mot spiritualité signife d'abord ce qui relève de l'esprit distinctement de la matière. Donc il est donc imagionable de se marrer sans évoquer ce mot là.

voici un petit texte que je garde depuis lontemps et qui aide

Tous, nous sommes à la recherche du bonheur, bonheur que la vie semble distribuer par épisodes parfois si ténus, si inconsistants, qu'on hésite à y reconnaître sa marque : chapelet de menus plaisirs entrecoupés de longues plages d'ennuis, de contrariétés, de chagrins. Parfois, plus violem­ment, la douleur et la peur vont jusqu'à ternir le souvenir d'un passé plus avenant. Puis la vie reprend ses droits. Bana­lité évidente comme le quotidien dont elle fait le lit. Banalité aussi de constater qu'une répétition trop fournie en mé­comptes finit par loger notre sentiment d'existence au sein d'une aigre noirceur. La tentation est forte de penser nos plaisirs comme la fausse monnaie d'une vie attristée ou, si l'on préfère, comme la monnaie du péché. Ainsi, l'idée de bonheur comme succession de plaisirs - furtifs et coûteux -se mue en son contraire.

En d'autres termes, il n'y a de bonheur que dans une succes­sion de plaisirs, plus durable que les atteintes de la tristesse et du chagrin. Forcément... Mais à qui échoit cette chance ?

Est-ce une loterie ? Quelques-uns tirent un numéro faste. La majorité s'en retourne les mains vides. Reste que les premiers et les seconds s'éprouvent innocents pour le meilleur et pour le pire. Cette passivité assumée rend le bonheur inaccessible (au mieux aléatoire) alors que sa recherche est une idée forte et juste. Cette dernière a animé les Américains dans leur vo­lonté d'indépendance. Elle est une composante essentielle de la liberté, point de rencontre de l'individu et de la société. Le philosophe Spinoza (1632-1677) expliquait que la joie est le plaisir accompagné de sa raison d'être comme la tristesse est le chagrin lesté de sa compréhension. Pareille intelligence s'applique donc à notre part la plus intime comme la plus so­ciale. Sans doute ne savons-nous pas toujours brider nos passions ; sans doute, à satisfaire un plaisir comme si nous étions seuls en cause conduit (souvent) à son échec. Le cha­grin que nous en éprouvons conduit à une tristesse née de la (re) connaissance de notre faiblesse. Quant aux malheurs qui « viennent d'ailleurs », nous préserverons une part - même amoindrie - de bonheur en essayant d'aller de l'avant, non pas comme s'ils n'existaient pas, mais parce que l'avenir nous appartient en tout état de cause. Comprendre que, souvent, nous sommes les auteurs de notre bonheur - ou de son contraire - nous libère du senti­ment d'impuissance. Savoir que le bonheur nous appartient n'est-ce pas déjà comme un goût de bonheur ? •

Jean Nousse

LE VIF/LEXPRESS 24/1/2003

  

   Merci Parachaco d'envoyer ce texte, il y a un moment que j'ai créé ce forum mais je pense que pour beaucoup la notion du Bonheur est encore d'actualité dans cette société où toutes nos valeurs  vont de part et d'autre et s'envolent au gré du vent.

   Pour ma part, le Bonheur est dans l'instant de bonheur partagé.

   Belle soirée,

   Marye

 

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