Qu'est ce pour vous que l'identification au corps ?

Pensez vous qu'il soit 'possible' de ne plus s'identifier au corps ?

 

.....

Si je cesse de m'identifier à ce corps, les objets cessent d'être perçus par ce même corps, ils Sont comme ce corps dans Ici et Maintenant

 

Si je cesse de percevoir ce corps,  où suis je ?

 

Je Nous Aime

 

Nita

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Réponses à cette discussion

Le mouvement des pensées, des sensations et des émotions est sans fin.
Mais l'identification avec elles peut se terminer maintenant.
Vivre l'instant est une mort, une mort de tout ce que vous pensez être,
une mort de celui qui espère et attend.

L'amour attend votre absence.


"Parfum de l'Un" de Jean-Marc Mantel

Pourquoi devrions nous nous identifier à quelque chose..... Pour moi il n'y a pas de séparation, nous sommes UN TOUT dans le TOUT

amicalement

Martina jade

Les pensées sont elles personnelles  ?

Où est le penseur ?

Où est ce 'je' qui se pense ?

La vie pèse sur qui ?

....

et s'il n'y avait rien à faire

et d'ailleurs qui fait ?

 

Nita

Roland a dit :

Ah oui : nous sommes tous des "presque dieux" !

Merveilleux ! Merveilleuse philosophie !

Toujours dans ton nuage de conceptions mentales où nulle tension n'existe.

Tu ne traduis que ta pensée personnelle (partagée sans doute par quelques autres philosophes de haut niveau !), sans épaisseur vécue, croyant détenir une "vérité".

Quand réponds tu à mes questions ? ? ?   ;-)

Dans les Dialogues avec l'ange il est dit un truc du genre :

"Le poids, c'est la voie."

Oui, la vie nous pèse, et c'est une bonne chose. Chaque poids qui pèse, indique aussi la direction de la voie : tant que nous ne le portons pas correctement, le poids nous enfonce. Mais quand nous acceptons le poids et que nous saisissons la manière juste de le porter (ce pour quoi le poids est là), que nous trouvons l'axe vertical et l'énergie de vie qui pousse vers le haut, alors il ne pèse plus et nous avons accompli un pas sur la voie ...

Mais dans ta voie, il n'y a pas de poids, pas de tensions, tout est déjà "presque" réalisé ... il n'y a donc pas de chemin ni de direction ... Il n'y a pas de quoi progresser, ni de nécessité de lutter pour parvenir à la vraie lumière que l'on porte en soi. Tu es comme un vers de terre, qui, parce qu'il voit les étoiles, croit que demain il va les toucher !

Mais j'essaye encore de t'éveiller à une autre réalité ! Qu'est-ce que je suis bête !

Oui, il n'y a pas de sagesse en toi. Ainsi cela est !

Amicalement.

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