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Faut-il être deux pour être heureux ?

La solitude peut conduire au bonheur sans l'amitié d'autrui qu'il peut en attendre.Etre heureux et trouver le bonheur seul dans la béatitude de son isolement.......JC

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Réponses à cette discussion

Lien permanent Réponse de Gérard Jean-Jacques le 29 Juillet 2013 à 10:05

"l'humain à un côté obscur et un coté lumineux mais bien évidemment que l'égo préfère le second."

??????????????

Lien permanent Réponse de Gérard Jean-Jacques le 29 Juillet 2013 à 10:18

"une évidence" Pour qui ?? Désagréable pour moi est de trouver dans ce sites des personnes qu écrivent comme si leur "jargon" était la même affaire entendu pour tous. Cela me pause question ?

Lien permanent Réponse de Sculpteur métallic équitable le 31 Juillet 2013 à 17:54

Être heureux c'est aussi participer,selon ses capacités,au progrès de l'humanité,en se rendant utile par toutes les formes de pensée et d'action susceptible de faire espérer que demain sera meilleur qu'aujourd'hui .cette participation au monde donne du sens a la vie.....Jc

Lien permanent Réponse de Gérard Jean-Jacques le 29 Juillet 2013 à 10:24

Revenons à ce sujet de "faut-il être deux pour être heureux" ? La question en contient une autre : doit-on vivre seul pour être plus heureux et puis une autre suis-je suffisamment autonome sur le plan affectif pour envisager ensemble : le lien et la séparation ? C'est aussi en filigrane des questions d'aliénations. La couple étant un ( pas que) très bon réceptable et révélateur de nos aliénations..

Lien permanent Réponse de Pascal Cadart le 5 août 2013 à 20:33

Je suis heureux seul, je suis heureux en couple, je suis heureux en groupe, je suis heureux avec des amis, je suis heureux lors d'une retraite en silence. Le bonheur n'est pas un sujet de philosophie, le bonheur, c'est un état d'esprit.

Je vois que dans la majorité des réponses personne ne répond pour lui-même. Et c'est cette réponse là qui est intéressante.

Personnellement j'aime bien les moments de solitude, mais je je saurais pas vivre seul. Tous les gens que je connais et qui vivent seuls ne sont pas heureux. Je pense aussi que le bonheur ça se partage.

Lien permanent Réponse de Pascal Cadart le 6 août 2013 à 20:50

Thérèse,

Je suis retourné 5 pages en arrière, il n'y a que toi et JC (Jésus Christ?!) qui parlent de leur vécu.

J'ai 64 ans,de l'ancienne génération, ma femme s'appelle Thérèse, c'est moi qui fait les courses, le ménage nous le faisons à deux, Et je crois que j'ai fait beaucoup pour la libération de la femme là où j'étais? Je laissais ma femme partir sans moi avec une vingtaine de femmes au sport d'hiver. Dans les années70, ce n'était pas courant. J'ai toujours été pour que chacun ait son espace de liberté. Dans notre couple, nous faisons à la fois des choses ensembles et des choses séparément.

Dans les évangiles, c'est Marie que je préfère, elle a tout compris.

Maintenant être heureux seul, j'ai vraiment du mal à le concevoir. On peut d'habituer à la solitude mais ne pas partager avec d'autres me parait comme un repli sur soi.

J'ai envie de te poser cette question? Combien de fois as-tu ri dans cette journée? Comment vivre seul peut-il être un choix épanouissant?

Bonne soirée!

Lien permanent Réponse de Pascal Cadart le 7 août 2013 à 18:48

vu ce que tu avais marqué par ailleurs, je m'attendais un peu à cette réponse. Si j'ai bien compris, être seul chez soi, mais totalement ouvert à l'extérieur.

Mais être dans la solitude et heureux me parait impossible. En tout cas, je ne connais personne dans ce cas.

Lien permanent Réponse de rahane le 13 août 2013 à 23:05

Jung a évalué que nous étions tous à la base 2 tout seul, en dialogue avec notre animus ou notre anima

Lien permanent Réponse de Gérard Jean-Jacques le 14 août 2013 à 8:31

Carl Gustave Jung parlent de l'intégration de l'ombre de l'émergence de la personna et de l'anima (pour un homme, animus pour une femme). Mais pour le sujet il s'agit surtout de se dégager du monde maternelle pour mieux rencontrer la nature en nous et par là l'antropologie collective de laquelle nous venons. Notre psychologue à nommée cette démarche : processus d'individuation. Le postulat est l'indivisibilité de la personne, par l'accordage des "opposés" en Soi. L'être seul selon le même postulat est ihérent à notre nature réelle et une condition d'une relation avec l'autre différent.

Lien permanent Réponse de Lili le 14 août 2013 à 8:33

Bonjour,

Etre seul ou se sentir seul ? Je suis plus sensible à cette question. Je fais rire quelque fois certaine personne parce que je parle aux arbres et que je peux rester des heures assise dans la beauté de la nature et "écouter pousser l'herbe" comme j'aime à répondre quand on me demande "mais qu'est ce que tu fais ?" Là, je suis heureuse parce que je sourie à la conscience de ce tout en un et donc, je ne peut être seule. Je crois que tout ce qui vie EST donc notre ÊTRE ne peut pas se trouver ÊTRE seul. Se sentir seul à être, je pense que cela est différent. Le mal être peut nous faire nous sentir détaché de ce qui EST et donc se sentir seul à ÊTRE malgré en ce tout qui, avec chacun de nous, EST et nous fait ÊTRE tous en un. Pour moi, il y a le sentiment de solitude qui nous fait nous sentir isolé des autres et la solitude où l'on s'isole pour se sentir soi.

Lien permanent Réponse de Lili le 17 août 2013 à 10:28

Bonjour,

Spiriterra merci . Pour ce qui est du couple, à la suite de ce dont je témoignais de mon idée sur la solitude et le sentiment de solitude, je pense que l'on peux connaître l'énergie et l'amour d'être heureux à 2, pourvu que l'on respecte chacun son ÊTRE et l' ÊTRE qui est autre avec soi. Je vie en couple depuis 21 ans et je connais ce bonheur d' ÊTRE à 2 et pas seulement d' ÊTRE 2. L’Autre n'est pas mon tout est je ne suis pas tout pour l'Autre et de même pour l'Autre qui EST avec moi. Nous sommes avant tout nous même et nous nous respectons chacun soi même et chacun respectant l autre. Pour être authentique et ainsi être juste avec soi et être juste avec l'autre. Nous restons nous même avec l'autre et ainsi, nous pouvons en toute honnêteté être heureux d' ÊTRE ensemble. Le manque de l'autre ne devrait pas découler de son manque à ÊTRE car là, c'est, pour moi, une dépendance de l'Autre pour vivre soi et ÊTRE. Si l'on est bien à ÊTRE soi avec soi même "seul" avec cet ÊTRE qui EST nous même, on peut ÊTRE soi à aimer ÊTRE avec les Autres et là, pour moi, on est heureux de vivre et heureux de partager d'être heureux avec l'Autre ou les Autres.

Lien permanent Réponse de Gérard Jean-Jacques le 17 août 2013 à 17:25

Bon je pense quand à moi que la réponse , si réponse il y a est individuelle d'abord. Chacun sa sauce.

Etre seul et/ou à deux pour vivre quoi ? Comment ? Qui suis-je ? Qui est l'autre ? Apprenons peut-être à nous laisser sentir en quoi ce que nous croyons savoir. ou connaitre est vrai ? Relativement à quoi ?.Le vrai ne marche-t-il pas avec le faux, le bon avec le mauvais, l'ombre avec la lumière ? Cela pourriat s'apparenter à une histoire de cul de jatte ?

Sommes nous seuls alors que nous sommes en permanence en inter-action avec notre environnement ? Isolé ? C'est quoi être seul ? se sentir seul ? se vivre seul ? Ne sommes nous pas conduit au travers des affres de notre existences à déconstruire quelques certitudes ? Serait-ce pour en ajouter de nouvelles ?