Comment vivre l'absence après le décès d'un proche, comment communiquer encore avec lui sentir sa présence, survivre à cette douleur surhumaine

bonjour,

 

je viens de perdre mon père avec qui j'avais une relation très soudée, nous étions très proches, nous nous comprenions sans nous parler, et avions toujours des sujets de conversations sur tout, il était mon soutien dans la vie dans ma vie professionnelle, il savait m'apaiser, il me comprenait. J'ai tout perdu, toute ma vie s'est écroulée, son absence est une véritable torture, je repense tout le temps à lui, je le revois dans ma tête physiquement , marchant avec ses habitures, mimiques, j'entend  et je cherche à entendre dans ma tête ses paroles, ce qu'il m'aurait dit, j'essaie de ne pas oublier sa voix ses intonations, ses mots, ses paroles, son odeur, j'ai gardé ses vêtements pour pouvoir encore sentir son parfum tellement son absence est invivable il était mon soutien, ma raison de vivre, et aujourd'hui je me sent vide, sans avenir, sans objectifs, ma vie a perdu tout son sens, je ne sais plus à quoi me rattacher, je passe mes nuits à pleurer, à crier, à l'appeler, je le supplie de revenir ou de me parler, j'ai l'impression qu'il va revenir que c'est un cauchemar, et quand je vais sur sa tombe pour la fleurir et prier, je n'arrive pas à faire le lien entre le fait qu'il se trouve physiquement juste en dessous, je ne sais pas comment je vais continuer à avancer sans lui, aujourd'hui j'essaie mais je suis épuisée et je crois que je ne vais pas y arriver. La solitude est un mot qui prend tout son sens et il est vrai qu'elle pèse des milliers des tonnes, je donnerai tout pour le revoir, l'entendre, parler avec lui

Si vous avez vécu la même chose merci pour vos conseils

VIVENDI

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Bonjour, Vivendi.  Je comprends ce que vous ressentez, ce vide terrible qui soudain prend toute la place dans votre vie, et tout ce qui faisait vos centres d'intérêt avant, est soudain devenu complètement déplacé, absurde, ridicule voire indécent, comparé à cet événement central, cette cassure qui semble définitive. C'est normal, quand on perd un être qu'on a beaucoup aimé, de se sentir anéanti et comme perdu. Vous pensez que vous ne pourrez pas vivre sans lui, mais ne cherchez pas à voir trop loin dans le futur, contentez-vous d'un jour après l'autre, et même d'un moment après l'autre au sein d'une même journée. Si vous vivez seule, ne renoncez pas à fréquenter vos amis, même si leurs activités vous paraissent soudain futiles, dénuées d'intérêt. Il y a un temps pour se réfugier dans les larmes (on a besoin d'évacuer la tristesse) et ce temps - de durée variable- est incontournable. Mais il y aura  à plus ou moins long terme un temps pour revivre, refaire des projets, repenser à vous.  Ne vous empêchez pas de pleurer, mais ne vous y complaisez pas non plus. Votre père vit toujours, mais dans une dimension qui nous est pratiquement inaccessible. Faites-lui plaisir en ne vous coupant pas de la Vie, la vôtre.... La blessure du deuil peut être longue à cicatriser, mais elle finit quand même par se guérir avec le temps. Je ne sais pas si cela pourra vous apporter quelque chose, une réponse, un soulagement, mais je viens cet après-midi même de témoigner de ce qui est arrivé à la mort de mon père, puis à celle de ma mère, dans la discussion sur l'après-vie démarrée par PERIER.  Je m'appelle ROSICOLI.  Je vais prier pour vous, si  vous en êtes d'accord (répondez-moi .oui ou non) Pensez à demander de l'aide à votre ange gardien, si vous croyez qu'ils existent. Il ne vous laissera pas sans soutien. Ayez confiance en vous-même, en votre avenir, et faites plaisir à votre père qui vous veut apaisée et heureuse.

bonjour et merci encore pour votre réponse qui fait chaud au coeur

j'avoue qu'à ce jour je n'arrive pas  à fréquenter mes amis justement parce que tout me semble futile, quand j'entend des collègues de bureau rire aux éclats et venir dans mon bureau en riant en parlant haut et fort , j'ai du mal, ils n'ont jamais fait cela de rigoler dans mon bureau, je pourrai croire que celà est fait exprès mais bon...

MERCI pour vos prières

encore merci pour votre témoignage, je vais essayer de suivre vos conseils

je vous engage vivement à aller regarder la discussion sur la vie après la mort (qui apparaît justement en n°1 des discussions du Forum, cliquez sur la liste à droite TOP FORUM. Vous allez y trouver beaucoup de témoignages réconfortants sur la vie de nos défunts. Bien sûr, cela ne suffit pas à combler leur absence, mais lorsqu'on est convaincu que la Vie continue sous une autre forme, notre légitime colère contre l'absurdité et l'injustice de la mort retombe peu à peu. Il faut du temps, je vous l'ai dit. Si votre deuil est très récent, vous allez traverser des phases d'abattement, de confiance, de doute, de colère, vos sentiments seront mélangés, c'est les montagnes russes émotionnelles.... Il faut prendre le temps de se remémorer les bons souvenirs, et redire au défunt, dans votre coeur, par exemple en vous adressant à sa photo, TOUT CE QU'IL VOUS A APPORTE DE POSITIF, tout ce qu'il a fait de bien dans sa vie pour vous et pour les autres. Ils nous entendent, et leur présenter un bilan positif de leur incarnation les aide à se décrisper des ressentiments, échecs, déceptions de leur vie, et donc à se libérer plus vite pour monter dans la lumière. Il est bon dans les premiers temps du deuil de regarder des photos et des films, même si cela nous fait pleurer, car voir ses défunts alors qu'ils étaient plein de joie et souriants, en vacances, dans des fêtes, etc. rend présents ces moments de bonheur et nous console temporairement.  Quant au sentiment d'être incompris par les autres qui continuent de vivre alors que vous, vous souffrez, c'est normal aussi. Personnellement je ne l'ai pas éprouvé au décès de mes parents, mais dans une autre circonstance. J'ai eu un cancer du rectum à 47 ans, non dépisté par mon généraliste, qui n'a pas pensé utile de faire une coloscopie alors que j'avais maigri de 17 kg sans régime... Et il m'a prescrit pendant des mois une simple pommade pour les hémorroîdes. Jusqu'au jour où j'ai eu un vrai doute et ai consulté un gastro entérologue qui a fait les examens nécessaires. Quand j'ai appris que j'avais un cancer invasif, j'ai tout de suite pensé à la mort de mon père (décédé d'un cancer) et j'ai cru ma vie finie. Du jour au lendemain, ma vie a basculé, et tout ce qui faisait mon quotidien ( les problèmes du boulot, principalement, car je suis cadre dans une marie) sont passés au second plan. Je pensais que je risquais de mourir, et mes collègues continuaient de discuter des amours éphémères des stars du show biz, de l'accessoire le plus mode qui irait avec ce ravissant petit top "trop fun",  du résultat de la Star Académy, etc... J'avais l'impression de ne plus appartenir au même monde qu'elles, moi qui ne pensais plus qu'à mes marqueurs biologiques et à l'éventualité de survivre avec un anus artificiel.... Je ne devais pas être très chaleureuse avec elles, car je trouvais indécent qu'elles s'occupent de telles futilités et ne me témoignent pas plus d'intérêt alors que j'étais gravement malade. Je pense que vous devez ressentir ce sentiment d'incompréhension et d'abandon dans votre deuil, mais il ne faut pas en vouloir aux autres. Tant qu'on n'a pas traversé ces terribles épreuves, on ne peut pas se douter, et on se montre très maladroit, mais ce n'est pas intentionnel. Appuyez-vous sur des amis véritables, qui vous aideront à traverser votre épreuve. Lisez les livres du ¨Père Brune, de Raymond Moody, d'Elisabeth Kubler-Ross, etc... il y en a plein, qui vous redonneront de l'espoir et du courage. "La source noire", par ex, de Patrice Van Eersel, m'avait bien réconfortée.  Vous allez trouver une mine d'amour dans ces travaux et témoignages. La liste de ces merveilleux livres est dans la discussion 'La vie après la mort". Et surtout, prenez le temps de dire à votre père tout ce que vous n'avez jamais pu lui dire. Il n'est pas trop tard pour lui dire combien vous l'aimez. Il vous entend, de la dimension où il est, alors soulagez votre coeur, exprimez-vous par oral ou dans un journal intime, mais ne gardez pas trop longtemps contenues vos émotions. Laissez-les sortir, elles s'apaiseront d'elles-mêmes. Je vous embrasse bien fort.Amicalement. 

merci ROSICOLI j'ai effectivement le même sentiment d'incompréhension et d'abandon à la différence que mes collègues ont déjà connu le deuil de leurs pères, qu'elles savent ce que c'est, et que lors du décès j'étais présente alors qu'elles ne le sont pas, pas même un "bonjour, comment çà và aujourd'hui ?...." alors je doute s... et j'ai du mal à faire comme si elles avaient un comportement normal, mais je suppose que cela passera avec le temps??

l'égoisme des personnes est hallucinante et je fais le triste constat qu'il ne faut pas s'attendre à un retour des personnes que l'on a aidé, je suis déçue par l'être humain par moment quand je vois qu'il n'y a pas d'empathie, de respect

 

encore merci rosicoli

Bien sûr, c'est de la souffrance de vivre un tel manque de tact. Peut-être ne savent-elles pas quoi vous dire, comment aborder le sujet. Et puis, la mort de quelqu'un, comme la maladie ou le handicap, nous renvoie à notre propre fragilité, et tout le monde n'est pas suffisamment éveillé pour aborder cette question avec lucidité. Parfois le silence vaut mieux que des paroles maladroites. Cela ne vous consolera pas, mais à mon dernier jour de travail (je rentrais le lendemain à l'hôpital  pour mon opération qui a duré 5 h) , une collègue que je trouvais très gentille avec moi en général est venue, toute troublée, et m'a dit textuellement : "  je m'excuse, je ne comprenais pas ta mine renfrognée, mais là, j'ai appris.... " Si seulement elle s'était arrêté à ce mot, ça m'aurait fait chaud au cœur. Mais hélas elle a poursuivi.... j'ai appris que tu étais toute pourrie de l'intérieur, alors, courage !  Vous voyez, maintenant, je peux en rire, parce que je m'en suis sortie, et que j'ai réussi à lui pardonner (il m'a fallu un certain temps pour y arriver), mais sur le moment, quelle douche glacée elle m'a assénée, en croyant sincèrement me témoigner de la compassion ! On peut tuer quelqu'un énergétiquement avec des mots... J'étais déjà dans la pire des angoisses, alors pas besoin d'en rajouter sur les ravages du cancer !  Mais j'espère pour vous que vous avez de la famille et de vrais amis sur qui compter. Les relations de travail, quoi qu'on en dise, ça reste de l'ordre du superficiel. Il vaut mieux avoir peu d'amis mais des vrais que plein de connaissances sans  fondement...  Et si vous êtes vraiment trop mal, n'hésitez pas à chercher de l'aide auprès de professionnels, les psychologues ne mordent pas, ils sont à l'écoute des gens en souffrance, c'est leur rôle. Ils sauront vous accompagner dans ce processus du deuil qui nécessite une certaine durée. Soyez surtout à l'écoute de votre cœur et de ses besoins. Certains jours, vous aurez besoin de solitude, d'autres jours, de contacts. Certains jours de rassembler toute votre mémoire sur votre père, et d'autres jours, de vouloir l'oublier. C'est normal, ne culpabilisez pas ! Et si je peux me permettre un dernier conseil : fractionnez le temps le plus possible. Un jour après un autre.  A chaque jour suffit sa peine, demain prendra soin de lui-même, dit Jésus.  Et si un jour, c'est trop lourd à porter, coupez-le encore. Une heure après une heure.... et si une heure c'est encore trop dur, une demi-heure ou un quart d'heure...  Il faut laisser du temps au temps pour cicatriser, et se concentrer sur le présent. Je sais que ce n'est pas facile, mais essayez de vivre au jour le jour, sans trop penser à l'avenir (vous êtes déjà bien envahie par le passé, n'en rajoutez pas avec le futur)  Je vous embrasse.

encore merci

 

vous avez choisi les bons mots pour décrire ce que je ressens, vous avez su poser les bons mots sur les sentiments, la détresse et la souffrance ressentis , sur le temps et les minutes qui s'écoulent depuis le décès .

merci pour votre aide et votre réconfort

je vous embrasse également

Bonjour Vivendi,

Comment allez-vous ?  

Je viens de regarder sur You Tube  deux vidéos du Docteur Charbonnier, elles sont très réconfortantes pour les personnes en deuil. Je vous conseille vivement de les écouter, elles vous apaiseront certainement même si la douleur de l'absence reste. De savoir que la conscience continue à fonctionner et même s'épanouit est une consolation.

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=-E6JD_F...

si le lien ne s'ouvre pas, cliquer pour le mettre en surbrillance et faire un clic droit pour accéder à la vidéo.  sinon, chercher  Docteur Jean-Jacques CHARBONIER sur You Tube.

La séparation avec les défunts n'est qu'apparente. Vous pouvez continuer de parler à votre père, il vous entend.

Bon courage.

bonjour rosicoli et merci encore pour votre gentillesse,

je vais regarder ces vidéos j'espère qu'elles m'apporteront le réconfort que je recherche, 

il me manque toujours autant, tous les jours à chaque instant, je l'imagine et le revois dans tout ces gestes quotidiens, monter l'escalier pour aller se coucher, écouter la radio assis sur un trottoir, assis à côté de moi dans la voiture, je n'aspire qu'à une seule chose le revoir et l'entendre,  mais pour l'instant même si je lui parle je n'obtiens pas de réponse... j'espère...j'attends ses conseils mais ...

j'essaie de réentendre le son de sa voix, mais cela est plus difficile, pourtant il me reviens des phrases qu'il avait l'habitude de prononcer.

l'absence et le vide sont toujours aussi insoutenables, je me réveille la nuit en pensant à des moments que nous avons vécus et partagés, des gestes qui à l'époque me semblaient insignifiants, 

je vous embrasse à bientôt 

vivendi

Bien sûr, on voudrait tous avoir des contacts, et on s'accroche désespérément au moindre signe.  Mais c'est à l'occasion du départ d'un être aimé qu'on doit faire la preuve de notre amour vraiment désintéressé. C'est à dire qu'il nous est demandé de prioriser avant tout son bonheur et son évolution dans l'au-delà, avant notre envie de consolation par un contact.  Après le décès de ma mère, j'ai eu la consolation extrême d'avoir la visite de son ange gardien, qui m'a donné une paix prodigieuse pour effectuer les démarches post-mortem et la cérémonie des obsèques, alors que j'étais en pleine dépression. Mais je n'ai eu par la suite aucun contact direct avec maman. Par contre, son esprit a visité une de mes copines d'enfance qui était devenue sophrologue et qui habitant prrès de chez moi m'avait généreusement proposé son aide thérapeutique pour soulager ma dépression. Un soir qu'elle mitonnait  son dîner, elle a senti très clairement la présence de ma mère dans sa cuisine et ayant des talents de médium, elle a pu avoir un contact télépathique avec elle. Maman était une excellente cuisinière, contrairement à moi qui suis nulle, et elle a vraisemblablement été attirée par l'odeur du repas de mon amie, et sachant que nous nous voyions régulièrement pour ma thérapie, elle lui a laissé un message pour moi. Mais je ne l'ai jamais eue en direct, et j'ai dû me résigner à ce fait. Peu importe, ce qui compte c'est que nos défunts soient bien là où il faut, et qu'ils soient heureux. Même si nous ne pouvons pas communiquer, nous devons croire que leur amour est toujours aussi fort qu'avant et même encore plus, car leur conscience est libéré de tous les filtres liés à l'incarnation. Ils veillent sur nous, veulent notre bonheur et notre épanouissement. Il faut apprendre peu à peu à vivre sans eux. C'est difficile, mais avec le temps on y parvient. Ce n'est pas de l'oubli relatif, ils sont toujours vivants dans notre cœur, mais c'est une façon de leur obéir en continuant d'entretenir la vie qu'il nous ont donnée. Je suis sûre que vous y arriverez avec le temps. Pour le moment, si les photos et les souvenirs vous font du bien, ne vous en privez pas, mais cela ne doit pas devenir une obsession. Ils nous veulent heureux même sans eux, songez-y. Leur amour est vraiment non possessif, donc osez vous faire du bien en sortant, en allant voir des amies, en allant au théâtre ou au cinéma, ce n'est pas trahir votre père, au contraire, il sourira quand il vous verra cesser de le pleurer. Au bout d'un certain temps, lorsqu'on a achevé son travail sur soi, il n'y a plus qu'une très douce émotion et plein d'amour reconnaissant, mais la douleur s'estompe et finit par se cicatriser. Personnellement, je suis croyante, et sans avoir de signe tangible, je sais que je suis unie à l'esprit de ma mère, dans ce que l'Eglise appelle la communion des saints (c'est-à-dire nous tous). Sa conscience est reliée pour toujours à la mienne, elle qui m'a offert son corps pour former celui de ma présente incarnation.  Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous, mais soyez assurée que l'amour ne s'éteint pas avec la mort, et que votre père continue de vous aimer autant que durant son passage sur terre.

Je vous embrasse et vous souhaite une bonne semaine.

Rosicoli

Pièces jointes :

 

   Bonsoir Vivendi,

   Votre peine est mienne, j'ai vécu la même chose que vous. Mon père est parti, je l'adorais, nous étions liés au delà de la vie sur terre. Il était visionnaire médium comme moi, nous communiquions par la pensée. Notre histoire est très belle, il est là près de moi. Après son départ j'ai lu des livres et des livres sur la vie après la vie. Je m'en suis imprégnée, je me disais cela ne peut s'arrêter là, ce n'est pas possible.

    Et enfin, plusieurs années après, en 1997, (il est parti en 1994), j'étais tout simplement en train de remettre la maison en ordre, mes enfants partis, mon conjoint aussi et là une voix, j'en ai encore des frissons, il m'appelle avec le petit nom qu'il me donnait enfant et me dit quelque chose de très personnel.

    Là j'ai pleuré, pleuré et ensuite les contacts sont venus souvent, puis un peu moins et de nouveau, il revient, à chaque fois pour me protéger et me dire combien il est proche de moi. Depuis, j'aide les personnes qui veulent avoir un contact avec un défunt mais il faut attendre 18 mois, pas tout de suite. Ce que je peux vous dire simplement, pensez à lui, priez pour lui, demandez qu'il monte dans la lumière, aidez le dans son passage. Si non vous pouvez demander à un médium ou un prêtre de lui envoyer cette lumière pour qu'il monte plus vite, si c'est trop dure pour vous.

     Sachez que là il est près de vous, n'en doutez pas, vivez votre vie tout de même, je sais le chagrin est lourd mais il sera content de vous voir heureuse. Nos chers disparus ne nous quittent jamais, leur esprit est toujours près de nous.

     Je vous envoie beaucoup de lumière à vous et votre père.

     Marye

  

Merci, Marye, ENFIN  quelqu'un d'autre qui répond pour soulager la peine de Vivendi !  L'autre jour, j'étais triste et en colère de voir le nombre d'interventions sur la Tantra Danse et le désert... pour répondre à une personne en souffrance du deuil. Au moins on est deux à prier pour elle et pour son père !

Bonjour Vivendi ! :-)

Quel âge avez-vous ? 

Quelle sont vos relations (ou pas) avec votre mère, et d'autres personnes.
Les débuts sont très durs, mais la raison dit que tout le monde n'est qu'en transit sur cette terre. Il est trop tard pour "anticiper"  cette réalité, il faut donc la vivre de plein fouet à ce jour. La mort d'un être cher nous laisse anéantis, mais dans son souvenir paisible, on comprend que ce que l'on est, on le lui doit aussi, et alors continuer à vivre est un hommage. Votre père n'aurait pas voulu que vous puissiez dire "Je crois que je ne vais pas y arriver"... Même si c'est la réalité du moment... Affectueusement, 

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