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Commentaires bienvenus

Commentaire de Monique DELNESTE le 11 Juillet 2010 à 17:15

Merci Véronique pour ton commentaire sympa auquel je ne peux te donner de réponse sans avoir consulté Pierre Dubois...à suivre.
J'ai passé une soirée très agréable en votre compagnie hier sur la plage de Renécros. Avec un dynamisme comme le tien, je ne suis pas étonnée qu'Epanews/Var soit si vivant. Bien amicalement. Monique

Commentaire de brisemarine le 11 Juillet 2010 à 12:25

Désolée Monique, je viens de voir la sortie ...
A voir si tu en as envie de la reprogrammée en septembre ... en la mettant suffisamment à l'avance pour permettre aux personnes de prévoir leur agenda...
Merci de ta présence hier soir ce fut un plaisir de te rencontrer
Bien amicalement,
Bises
Véronique

Commentaire de Monique DELNESTE le 15 Juin 2010 à 1:24

Comme nous avions évoqué ce phénomène lors de notre dernière rencontre, voici le texte que j'ai retrouvé dans mes archives:
HISTOIRE VRAIE

Il y a un phénomène dont j'aimerais vous parler. Il se peut qu'il contienne le seul espoir d'un avenir pour notre espèce!
Voici l'histoire du Centième singe:

Le singe japonais, Macara Fuscata, a été observé en liberté durant une période de plus de 30 ans.
En 1952, sur l'île de Koshima, des savants fournissaient aux singes des patates douces, lâchées dans le sable. Les singes ont aimé le goût des patates douces crues, mais trouvaient la saleté désagréable.
Une femelle, de 18 mois, du nom d’Imo a trouvé qu'elle pouvait résoudre le problème en lavant les patates dans un cours d'eau avoisinant. Elle a enseigné ce truc à sa mère. Ses compagnons de jeu ont également appris cette nouvelle manière de faire et l'ont enseignée aussi à leurs mères.
Cette innovation culturelle a peu à peu été acquise par différents singes, sous le regard des savants.
En 1952 et 1958, tous les jeunes singes ont appris à laver les patates douces sableuses, pour les rendre plus comestibles.
Il n'y avait que les adultes qui ont imité leurs enfants qui ont appris cette amélioration sociale. D'autres adultes ont continué à manger les patates douces sales.

Alors quelque chose de saisissant a eu lieu. En automne 1958, un certain nombre de singes de Koshima étaient en train de laver des patates douces. Le nombre exact n'en est pas connu.
Supposons que lors du lever du soleil un matin, il y avait 99 singes sur l'île de Koshima qui avaient appris à laver leurs patates douces.
, ,
Supposons que plus tard ce matin-là, le centième singe a appris à laver des patates;
C'EST ALORS QUE CELA S'EST PASSE!
Vers le soir, presque tout le monde de la tribu lavait les patates douces avant de les manger. L'énergie supplémentaire de ce 100e singe, de l'une ou de l'autre manière, a créé une percée idéologique!
Mais remarquez : la chose la plus surprenante que ces savants aient constatée, c'est que l'habitude de laver les patates douces a spontanément «sauté» au-dessus de la mer, à ce moment-là.
Des colonies de singes sur d'autres îles et la horde de l'île principale à Takasakiyama ont commencé à laver leurs patates douces.

Ainsi, lorsqu'un certain nombre critique atteint une prise de conscience, cette nouvelle conscience peut être communiquée d'esprit à esprit.
Bien que le nombre exact puisse varier, le phénomène du centième singe signifie que quand seulement un nombre limité de personne a connaissance d'une nouvelle façon de faire, cela peut rester la propriété de la conscience de ces personnes.

Mais il y a un point critique au-delà duquel il suffit qu'une seule personne de plus se branche à une nouvelle prise de conscience pour qu'un champ soit renforcé de manière que cette prise de conscience atteigne presque tous

Les expériences du Dr. J.B. Rhine à l'université Duke ont démontré plusieurs fois que les individus peuvent communiquer une information privée de l'un à l'autre, bien qu'ils se trouvent à des endroits différents.

A présent, nous savons que la force de cette communication extra-sensorielle peut être amplifiée à un niveau d'efficacité puissante lorsque la conscience de la« centième personne» y est ajoutée.


Lifetide, de Lyall Watson. 1980.