Une révolution énergétique

Qui n’a jamais rêvé d’échapper à la mort…
Rester jeune plus longtemps, ça vous tente ?! Ceux qui abrègent leurs jours n’auront pas l’opportunité de découvrir les résultats des recherches menées par Google sur le prolongement illimité de la vie. Tout reste en effet à découvrir dans ce domaine.


Depuis des millénaires et sur tous les continents, le mythe de Faust est au cœur des préoccupations humaines. Il cristallise tous les possibles, les fantasmes les plus excentriques auquel l’Homme se prête bien volontiers. Que d’empereurs chinois n’ont versé dans l’alchimie en quête d’immortalité, à la recherche de l’élixir de longue vie. La diététique et la pharmacopée chinoise en témoignent encore aujourd’hui, celles-ci regorgent en effet de formules médicinales de longévité et de préparations alimentaires étranges telle que le mythique « oeuf de 100 ans » (1). Ce met recherché n’est consommé qu’après une longue période de maturation durant laquelle il se charge lentement de sulfure et d’ammoniac et devient littéralement noir. Son apparence d’œuf « pourri » ainsi que son odeur repoussante ne rebutait en rien les empereurs qui croyaient fermement en son pouvoir de rajeunissement. En Égypte antique, Néfertiti prenait dit-on, de longs bains quotidiens de lait d’ânesse afin d’entretenir sa grande beauté et sa jeunesse. Sur l’île d’Ikaria en Grèce, « l’île où les gens oublient de mourir », on recense l’une des plus fortes concentrations de centenaires au monde. L’explorateur au Nacional Geografic Dan Buettner en a même fait l’objet d’un ouvrage dans lequel il porte l’accent sur l’alimentation de 5 zones européennes, modèles de longévité (2). Plus proche de nous, le compte de Saint Germain, philosophe et alchimiste renommé de son temps (18ème S.), prétendait détenir une eau de jouvence qui lui a valu le vif intérêt de Mme de Pompadour tant il ne paraissait pas son âge. La comtesse de Genlis relate dans ses mémoires sa rencontre avec le compte en 1821, alors âgé selon les calculs actuels de 161 ans ! (3).


Aujourd’hui encore, le fantasme de jeunesse et de beauté éternelles bat son plein grâce aux progrès de la chirurgie esthétique, des industries de la parapharmacie et de la cosmétique qui continuent d’exploiter le mythe et s’évertuent, à l’instar du lapin lunaire dans la mythologie chinoise(4), à concocter d’innombrables élixirs de vie éternelle non sans un certain talent… commercial ! Mais peut-on vraiment « tuer la mort », comme l’a fièrement annoncé Bill Marris à la tête de Google Ventures, une start-up au projet sulfureux ? Et est-ce seulement souhaitable ?
Revenons sur Terre, regardons autour de nous… Tentons d’y voir un peu plus clair.


Alors que vous lisez justement cet article, votre énergie personnelle s’écoule et va, s’amenuisant. Et chaque organisme vivant est soumis à la même loi non négociable : le temps fait son œuvre bien malgré nous. Non, vous n’avez plus tout à fait 20 ans. À cette époque, vous ne perceviez pas les limites de votre métabolisme. Vous dansiez jusqu’à l’aube, vous étiez capables d’assimiler toute sorte d’aliments, parfois même en grande quantité, cela ne semblait poser aucun problème. Certains d’entre vous, pour ne pas dire la majorité, ont connu les excès de l’alcool, enchaînant nuits blanches et journées laborieuses. Évidemment, notre corps ne peut supporter un tel rythme éternellement. Et face au vieillissement qui s’invite dès 40 ans, l’affaiblissement général nous fragilise et diminue notre tolérance aux excès de toute sorte. Les premières complications apparaissent. Certains problèmes chroniques s’aggravent. Nos facultés psychiques comme physiques diminuent, révélant au grand jour certaines défaillances de notre organisme déjà bien installées. Inexorablement notre énergie vitale s’étiole, au grand dam de nos espoirs et de nos rêves les plus secrets. Alors que nous nous vidons de cette précieuse sève, parfois nous nous affolons car n’est-elle pas synonyme de vie ?! Et fatalement, l’ombre de la mort s’installe dans notre esprit inquiet.


Mais ce déclin a de bon qu’il augure une nouvelle ère, une nouvelle vision de la vie, de nouvelles valeurs aussi. C’est en effet bien souvent à cette époque que naissent en nous des questions fondamentales et que renouons avec un mode de vie plus sain. Nous devenons plus profonds, notre rapport au monde plus pertinent, nous allons à l’essentiel. La maturité s’installe.
Mais au sortir des épreuves qu’une vie responsable impose, nous exigeons certaines compensations, un confort moral et matériel minimal. Méticuleusement nous installons ce paradigme rassurant dans notre quotidien. Notre vie a été un combat dont nous pouvons être fiers, les nombreuses expériences qui l’ont jalonné nous ont comblé et cependant, nous restons sur notre faim : les promesses qui les accompagnaient se sont envolées ou pire, elles ont été consommées sans nous satisfaire. La frustration est intolérable.


Mais il est un espoir auquel vous ne vous attendez pas.
Laissez-moi vous introduire à cette facette insoupçonnable de l’existence et pourtant fondamentale : la dimension énergétique du corps humain. Je vous invite dés à présent à pénétrer cette réalité à laquelle nous n’avons malheureusement pas accès. Notre conscience connaît des limites qu’il va nous falloir dépasser si nous voulons appréhender cet horizon inconnu. Suivez-moi…
Bien qu’il demeure – malgré les prouesses technologiques – invisible à l’œil nu, le corps énergétique est une super-structure parfaitement organisée, composée de filaments ramifiés extrêmement fins, répartis sur toute la surface du corps humain. Ces filaments transportant de l’énergie, se regroupent en certains centres énergétiques plus denses et particulièrement actifs communément appelés « chakras ». Ce gigantesque réseau ô combien complexe, est le siège de la mémoire corporelle et transgénérationnelle. En d’autres termes, cette structure supporte toutes les données qui forment notre identité physiologique ainsi que les causes-racines (5) de nos maladies, et transmet ces effets au corps symptomatique (le corps physique). En effet, lorsque nous croyons combattre les causes d’une tumeur, en réalité, nous ne nous attaquons qu’aux symptômes, aux manifestations de causes plus profondes. C’est de cette façon que la médecine actuelle aborde la maladie. En fait, les véritables origines pathogéniques s’organisent et se développent à partir du corps énergétique. C’est en son sein que s’expriment également les maux hérités de nos parents et ceux dont nous sommes les auteurs. C’est un véritable livre ouvert sur notre état de vie qui nous demeure hélas inaccessible. Si nous ne parvenons pas aujourd’hui à lire ses informations c’est que notre civilisation a opté pour la médecine symptomatique et pour les thérapies préventives qui, si pertinentes soient-elles, n’abordent pas la science hermétique du corps énergétique. Et pour cause, ces médecines sont la projection de notre conscience mentale fortement limitée.


Le corps énergétique, bien connu de la médecine chinoise, englobe et quadrille toute la surface de notre corps physique. Il est doté de sa propre conscience, infiniment plus vaste que celle qui est la nôtre dans le quotidien, une conscience que l’on pourrait qualifier de globale, autrement dit sans limite de temps et d’espace. Accéder aux informations d’une conscience universelle est sans nul doute l’expérience la plus bouleversante qui soit. Les données qu’elle nous fournit sont bien plus saisissants et pertinents que les innombrables connaissances et savoirs empiriques que notre mental peut mettre à notre disposition. En tant que conscience totale, le corps énergétique est un accès direct au Moi profond et multidimensionnel. Si cela peut s’avérer difficile à entendre et à admettre, cette science n’en demeure pas moins un sujet des plus fondamentaux qui soient puisqu’il touche au métabolisme, à l’énergie vitale, aux racines originelles de nos maladies et aux données transgénérationnelles (karmiques). Par conséquent, son accès ouvre des possibilités illimitées de guérison et d’évolution.


Certes les espoirs sont infinis mais encore faut-il pouvoir admettre l’inconcevable.
Évoquer l’inexprimable m’apparaît comme un enjeu majeur car c’est de la santé énergétique personnelle dont dépend la vie morale, physiologique et sociale.
C’est de ce défi qu’est née la Méthode Anankea : au cœur même de l’impensable. Nous tentons à travers notre démarche de poser les bonnes questions et d’apporter des réponses claires et pragmatiques à des questions essentielles :
De quoi est constituée l’énergie vitale?
Comment évolue-t-elle dans le temps ?
Est-elle renouvelable ? Comment en prendre soin ?
Quels obstacles majeurs à la santé énergétique ?


Autrement dit : quelles sont les différentes pathologies rencontrées dans le corps énergétique ? De quelle nature sont-elles ? D’où viennent-elles ? Comment se développent-elles ? Comment se manifestent-elles dans le corps biologique et dans le corps mental ? Comment les soigner ?


Tandis que des millions d’euros sont investis chaque année pour rajeunir et embellir des individus en mal d’éternité, j’ai vécu il y a quelques années, à l’écart de la convoitise des médias et de l’industrie pharmaceutique, une expérience de guérison aussi spectaculaire qu’ « impossible ». Mes cellules ont été profondément régénérées et ma vie prolongée à moindre coût, si je puis dire. L’investissement fut tout autre. Il est ici question d’implication personnelle sur le long terme : en effet, régénérer son organisme profondément et durablement exige un plein engagement moral, spirituel, physique, durant de nombreuses années et de façon quotidienne. Pour ceux qui me connaissent déjà, vous n’êtes pas sans savoir que j’attache une importance toute particulière à la pratique du yoga, de la méditation et de la prière. Au terme de plusieurs années d’entraînement assidu, la connexion avec la Conscience Universelle prend forme en nous et imprègne notre quotidien. Mais la confiance reste sans nul doute LA clé qui ouvre la porte d’une adhésion intime à l’activité régénératrice qui nous parvient de la dimension supérieure.


En 2008, ma compagne Iori et moi nous connaissions à peine mais quelle joie de nous rencontrer ! En juillet, nous décidâmes de bivouaquer dans les gorges du Tarn, les Causses sont des endroits merveilleux et d’une grande qualité énergétique. Un agriculteur nous prêta généreusement un terrain le temps de notre court séjour. Malgré la période estivale, nous fumes surpris par le froid vif qui s’installait à la tombée du jour. Assis au bord du précipice, nous regardions doucement le jour s’éteindre à l’horizon. C’était un spectacle grandiose, puissamment vivifiant, nous nous sentions comblés. Au loin, nous distinguions quelques vautours planants mais quelle ne fut pas notre surprise lorsque nous les vîmes pointer tous ensemble dans notre direction. Iori me fit remarquer qu’ils étaient maintenant trois à planer très exactement au-dessus de ma tête. Troublés, nous y reconnurent un signe. Il était temps de nous abriter pour passer la nuit au chaud. Notre tente était toute petite mais cela n’avait aucune importance, notre nid était chaud et douillet. Ce soir là, je n’eus aucun mal à entrer en transe au cours de ma méditation, plus profonde qu’a l’accoutumée. Iori était à mes côtés. Attentive, elle m’observait avec discrétion.
Une demi-heure passa dans notre abris silencieux quand je sentis des vagues intenses d’énergie parcourir mon corps de bas en haut. Puis, se muant en une colonne massive et vibrante, cette énergie emplie de subtile intelligence s’érigea en moi, et tel un cobra, je commençai à tanguer. Mes pensées s’étaient évaporées, je n’étais plus que cette énergie en mouvement.
Soudain je tombai au sol de tout mon poids, glacé et raide. Je demeurai ainsi inerte un temps qui me parut infini. Iori me regardait avec une extrême vigilance mais sentait qu’elle ne devait sous aucun prétexte interrompre la scène tandis que, de nouveau, la langue chaude pénétrait en moi, remontant lentement à mon cerveau (activité de la Kundalini). Avec vivacité, elle neutralisa un corps étranger qui s’était développé dans le tissu complexe de mon corps énergétique et le tira jusqu’à mon estomac vide. Brusquement je me redressai et expulsai par la bouche la matière indésirable en un jet puissant. Je vomis dans une bassine que Iori, très impressionnée, me présentait. Au même instant, une énergie de vie puissante se débloqua et se déversa généreusement en moi.
Je sus à cet instant que je venais de traverser ma propre mort pour rejeter une tumeur cancéreuse logée dans mon cerveau qui devait rapidement m’emporter. Celle-la même qui avait eu raison de mon grand-père paternel 50 ans plus tôt, très exactement au même âge (40 ans). C’était donc bien un signe : les vautours tournoyants au-dessus de ma tête n’étaient pas là par hasard, ils avaient la faculté de déceler ceux que la mort allait bientôt emporter.


Dix ans après, je suis toujours bel et bien en vie. Certes je suis un miraculé, mais ma discipline y est pour beaucoup. Il ne s’agit pas d’un événement que j’ai eu la chance de vivre par hasard, il est le fruit de mon travail quotidien, sans relâche, des années durant.


Il ne suffit pas de réaliser en soi un certain équilibre ou de « manger cinq fruits et légumes par jour». Respecter à la lettre les astuces du parfait consommateur, c-a-d celui qui réfléchit et consomme « sain », ne nous libère pas des méfaits de notre ignorance ainsi que de l’inéluctable épuisement psychique et énergétique. Nous pensons qu’il est aujourd’hui temps pour l’Homme de s’éveiller à une vision de lui-même plus active, plus profonde et surtout plus pertinente. Cette quête intérieure, la découverte de notre identité énergétique, est en elle-même bienfaisante et transformatrice car chaque pas est vital, chaque prise de conscience génère un autre soi-même, plus vaste et dynamique. Le principe du corps énergétique s’applique à chaque être humain de la même manière, posant depuis des milliers d’années l’éternelle et universelle question : Qui sommes-nous au fond ? La bonne nouvelle c’est que la rencontre avec notre corps énergétique nous apporte toutes les réponses dont nous avons besoin, celles qui nous sont spécifiques.


Je suis toujours en vie et mon témoignage, je le souhaite, contribuera à mieux faire connaître la nature profonde de cette dimension et son implication dans notre quotidien, son lien intime avec notre santé et devenir. Je pense qu’il est la clé d’une longue vie, heureuse, réellement saine et accomplie.


Ganji Anankea, avec le concours de Iori
www.ganjianankea-therapy.com

(1)https://chine.in/guide/oeuf-cent-ans_3064.html
(2)http://www.slate.fr/story/100317/centenaire-alimentation-zones-bleues
(3)Source : http://www.inmysteriam.fr/personnages-enigmatiques/limmortel-comte-de-saint-germain.html
(4)Le mythe lapin lunaire se retrouve dans différentes cultures. Dans la mythologie chinoise celui-ci fabrique de l’élixir de longue vie pour la déesse de la lune Chang’e.
Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Lapin_lunaire
(5)Par cause-racine, nous entendons la source pathogénique fondamentale de la maladie qui se déporte ultérieurement dans le corps symptomatique (corps biologique ou corps mental).
À lire aussi :
Pour en savoir plus sur le corps énergétique et son lien avec le corps cognitif et le corps physique, découvrez notre article conscacré au Système ECPS dans la rubrique Connaissances
Le récit complet de mon expérience dans les gorges du Tarn dans « L’Éveilleur, le tonnerre » https://www.ganjianankea-therapy.com/livres
Les articles : « Retour à la médecine originelle », « La Mutation », « L’être humain en perte de sacré », « Doit-on avoir peur de la Kundalini » sur notre blog https://www.ganjianankea-therapy.com/blog
Le texte « Pénétrer le mystère » dans le recueil « Double Vision » https://www.ganjianankea-therapy.com/livres