Bonjour
Être vrai est l'état naturel du petit enfant avant que la société (parents, école, religion etc .. ) ne l'ait profondément blessé au point de mettre des stratégies en place pour se protéger.
Alors il cache sa vraie nature ...
Je pense qu'il est possible d'apprendre à de nouveau "être vrai" petit à petit
Par exemple à dire NON là où on a pris l'habitude de dire OUI pour avoir la paix.et qu'on n'en peut plus

C'est quoi pour vous "être vrai" ?
Merci d'avance  pour votre participation à ce fil de discussion ♥

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Réponses à cette discussion

Merci katy !

Bonsoir à Tou(te)s
Chère Katy, questions sur l'intelligence me paraissent très intéressantes.
Problème, pour moi, c'est que les questions sont biaisées dès la formulation.
Biaisées par la morale, l'intelligence est elle une vertu ou son contraire?
L'intelligence, c'est une faculté de l'humain, elle est neutre moralement.

Ben votre teinture de morale qui vous gêne, revêt tout de même une importance quant à la finalité lors de l'utilisation d'un outil, même neutre.


On lit souvent que les animaux sont dotés de pas mal de choses que nous avons perdues (comme l'intuition), mais que nous possédons l'intelligence, et, au regard de la tournure de l'histoire humaine, il n'est pas excessif de s'interroger.

Vous pensez que l'intelligence est neutre, ce serait donc l'intention qui déterminerait l'utilisation.

Qu'est-ce qui vous rend si certain de cette réponse, plutôt que celle qui décrirait l'intelligence (celle que l'on attribue à l'humain) comme une "tare" anoblie : par rapport aux caractéristiques des autres animaux qui, eux, sont adaptés au monde dans lequel ils vivent, alors que l'humain a dû en inventer un autre pour survivre. Cette particularité étant attribuée à l'intelligence ?

Mais je viens de penser que l'utilisation néfaste (qui occasionne des résultats qui empirent une situation au lieu de l'améliorer) peut également avoir comme source une incompréhension quant à l'utilisation optimale de l'outil : qui est ici l'intelligence.

Peut-on utiliser l'intelligence sans comprendre son utilisation optimale (et l'utiliser à mauvais escient ou de façon non satisfaisante) ?

Je me doute que votre réponse sera non, mais en y réfléchissant un peu plus et observant le parcours humain....ce n'est pas si sûr.

Rien de définitif, Chère.
Mais quel que soit le sujet, il y a un point de départ, une base, une signification première.
Osons nous commencer par le début (sur Epanews peut être pas, pour ne pas froisser les croyances de X ou Y) ?

Vers la fin de votre dernier commentaire : "Peut-on utiliser l'intelligence sans comprendre son utilisation optimale.."
Ceci met bien en exergue la différence entre : l'intelligence "faculté" et l'intelligence "utilisation de".
Nous ne pouvons pas parler des 2 à la fois, sinon c'est de la discussion de comptoir de bar.

Intelligence : faculté à faire de liens.
Faculté à trouver le moyen le plus approprié pour arriver à des fins, à un objectif (que ce soit pour les animaux et/ou pour l'humain).
Donc, c'est toujours positif, du moins dans l'intention.
Et, pour soi; pour les autres … là intervient possiblement la morale.

Ensuite le néfaste ?
Le néfaste, par rapport à quoi, qui ?
En dehors des masochistes, je ne vois pas, l'intérêt, (de l'intelligence) en constatant un résultat néfaste et continuer.
Mais, il y a aussi : intelligence avec l'ennemi !!
Et possiblement avec l'ennemi intérieur, qui sait ?

Ensuite, nous pouvons parler de l'intelligence .. positive, favorable .. à soi et/ou aux autres.
Et, là, on se rapproche de la définition de l'amour.
L'intelligence est un synonyme de amour.

Pour l'intelligence à partir du moment où l'on est doté d'une faculté, la suite inévitable est l'utilisation de cette faculté.

Ce que vous déconsidérez comme "discussion de comptoir de bar" ne serait il pas votre difficulté à voir quelque lien sur cette question de l'intérêt de l'intelligence ?

Dans votre démonstration du versant "faculté" vous dîtes que c'est positif, puisque, cela permet la résolution de problèmes et la création d'autres outils, orientation dans ce monde...faire des liens.

Vous concluez que c'est toujours positif. En êtes vous certain ?

Non, parce que, plusieurs bémols, viennent tempérer cet enthousiasme : que les liens ne soient pas aussi adaptés que prévu, que les références sur lesquelles l'esprit se base pour établir ces liens, soient obsolètes ou mal renseignés...ce qui ramène à une faculté pas toujours positive.

Cela implique les erreurs d'utilisation :

Concernant la mauvaise utilisation de l'intelligence en tant qu'outil, je ne sais pas si c'est maso, mais en considérant le fait que l'humain a inventé un autre monde parce qu'il lui était quasiment impossible de survivre dans celui de départ (la nature), il semblerait que ce "nouveau monde" commence à devenir néfaste, voir dangereux pour l'humain, justement (et même tous les êtres vivants, au passage).

Donc, il y a bien eu un problème quelque part dans le processus.

Problème dans le processus d'utilisation ou "l"outil" ? ce qui pour une faculté pareille revient un peu au même : puisqu'elle constitue une possibilité d'utilisation (penser), trace le processus (établir des liens entre une source, un cheminement et un objectif ou relier des éléments) et crée l'outil le mieux adapté : concept, théorie, idée....

Donc problème dans cette faculté ? puisqu'au vu des échecs répétitifs, l'humanité ne semble pas avoir tellement compris pourquoi cette faculté existe et lui a été attribuée.

Merci Aiden, pour cette communication, laquelle me parait très sincère et intéressante à lire.

Cependant il y a une phrase qui me .. fait "tiquer" :
"Donc oui, on peut peiner mais pas blesser (il me semble) en véhiculant cette part d'ETRE spontanée, mais aussi la part d'ego qui reste néanmoins (et heureusement) afin de pouvoir communiquer "comme tout le monde". (et c'est l'ego, selon moi, qui peut effectivement et éventuellement blesser l'autre, donc faire gaffe, faire au mieux, personne n'étant à l'abri de faire du mal).".
Non !
Pour moi ceci est du verbiage incohérent.
Si Aiden me dit quelque chose qui ne me convient pas, alors je peux être peiner, mais pas blessé !
.. Intéressant !!
C'est Aiden qui décide de mes émotions et sentiments.
Mais, mais .. si c'est l'ego d'Aiden qui parle, alors, là, j'ai le droit d'être blessé.
!!!
Je rêve !?

Et, je vais faire, "un coup de gueule" pour Tou(te)s, puisque personne n'a réagi :
Balivernes du "new âge de ce XXI° siècle !!!
Sur Epanews il y l'apologie des accords Toltèques; alors une alternative :
Ou vous considérez les accords toltèques comme une fumisterie ?
Ou c'est sérieux ? … en ce cas .. je ne peine pas, je ne blesse pas l'autre; c'est l'autre qui se peine ou blesse avec mes propos.
Quel que soit votre choix, pour moi ce sera très bien, car il sera VRAI.

Concernant les croyances, on peut considérer des connaissances qui n'ont pas pu être vérifiées comme des croyances.
Dans ce cas, la plupart de ce que l'on apprend, est.....appris et pas constaté (certaines choses peuvent l'être ultérieurement ou par voie de recherche, mais pas toutes), donc, il s'agit de croyances.

Une chose non constatée, n'en est pas fausse pour autant, mais celui qui ne peut constater (de façon factuelle ou abstraite) est un peu réduit à choisir d'adhérer ou pas.

S'il choisit d'adhérer, il lui reste la possibilité d'insuffler une part de doute, recul ou pas.

Après, il y a la confusion entre croyance et intuition. On sait, mais il est impossible de le démontrer. Vu de l'extérieur, cette information invérifiable peut être considérée comme une croyance.

Donc, une croyance n'est qu'une information en attente de vérification.

Les croyances posent problème lorsqu'elles s'entrechoquent et/ou masquent toute autre possibilité (rendent "aveugle") ou encore, lorsqu'elles sont  bancales de façon flagrante, pour celui qui a réussi à vérifier qu'il en est autrement (la personne y adhère par manque d'information).

Cette histoire d'accords Toltèques, comme toute application, ne fonctionne que jusqu'à une certaine mesure. Un peu comme les vitamines (la plupart à part la C) apportent bénéfice, mais, deviennent contre bénéfiques (certaines créent, même, les problèmes qu'elles sont censé soulager) en cas de surdose.

Là, ou vous voyez contradiction, ne serait-ce pas une perte de vue du mot "mesure" ?

Beaucoup de choses intéressantes Katy et ce message.
Moins à la fin.
Katy joue au chef d'orchestre : elle bat la mesure.
Puis elle joue au rugby : "botter en touche" .
Il est vrai que tout ceci demande beaucoup de qualités.
Sauf une ...

Pour botter en touche, vous n'avez rien à envier à qui que ce soit...

Essai, transformé, Chère !

Pour ma part, à chaque fois que quelqu'un me pose une question, une question vraie (réelle), directe, je réponds toujours.

Il est vrai qu'il ne s'agissait pas tellement d'une question, plutôt d'une réponse qui appelle...ce qu'elle appelle.

Pour les accords Toltèques :


Si je vous dit que vous êtes stupide, il y a fort à  parier que cela aura un effet bien différent que si je vous dis que vous êtes intelligent.

Or, que je le pense ou pas, ça ne m'apportera rien (à part le fait d'avoir eu un impact possible, sur l'humeur de l'autre), je sais quand même que les deux mots n'auront pas le même impact, je choisis donc de le dire en toute connaissance de cause.

Pourtant, dans ce cas précis, le fait de le dire n'aura que très peu de probabilités d'un changement efficace, n'apportera rien à celui ou celle à qui je le dis (celui qui ne comprends pas, ne comprendra pas plus en le lui disant et celui qui est intelligent ne sera pas plus intelligent ou ne deviendra pas stupide, juste parce que on le lui a dit), alors pourquoi le dire ? si ce n'est chagriner, si le mot est négatif ou galvaniser si c'est positif, sans aucune autre efficacité que d'agir sur l'humeur de celui qui "reçoit" le mot.

Alors on comprends que celui qui "reçoit", peut s'appuyer sur cet accord afin de ne pas se miner en cas d'appréciation négative, mais pourquoi celui qui le  dit se permet de parler pour dire une chose qui ne fera avancer personne ? Et s'empresse d'envoyer la phrase magique (agite le gri-gri) comme on ouvre un parapluie ?

Les amphibiens n'utilisent pas de parapluie, car ils ne craignent pas la pluie....

Si l'on prend un autre exemple : avoir une parole impeccable, en voilà un autre, qui semble pourtant contredire celui que vous citez....on comprend mieux l'ouverture du parapluie.

La fumisterie sont-ce les "accords" ou leur interprétation ? ou encore leur "utilisation" : je lance la phrase magique et "op ! même pas peur" ! Mais en fait, si, au final et arrive un moment où la fameuse goutte (vous savez celle qui fait déborder le vase), tombe et tout part en vrille.

En revanche, dire une chose qui peut avoir pour effet un changement possible (comme un intelligent qui ferait l'imbécile, il est vrai que l'inverse est impossible disait Woody Allen), il est profitable de faire ressortir le "jeu".

Mais si celui qui reçoit n'entend rien et "invoque les accords", soit, au final, il est réellement stupide, soit il continue son jeu à la noix (mauvaise foi). Dans ce cas, c'est lui qui manipule.

L'accord ne s'appliquerait que pour les manipulations d'humeur, et pas pour les paroles qui visent un changement et que celui-ci soit considéré comme réalisable, sinon, il y a négociation (de la vraie, pas du tripatouillage d'émotions).

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