Aujourd’hui, on voudrait vous dire ...

… qu'il existe un endroit où tout est calme.

Lorsque la mer est agitée, lorsque la tempête rugit en surface, il existe un endroit où tout est calme : le fond de l'océan.

...

Et l'océan n'est pas moins l'océan en surface qu'en profondeur.

En nous aussi, il existe un endroit où malgré le chaos extérieur, ou quelles que soient les circonstances, tout est calme et serein. A chaque instant. Et l'on peut décider de s'y connecter. Ou pas.

C'est cet endroit qu'il serait bon de rejoindre. Dans son corps. Quelque part dans son corps. Grâce à la méditation, à la respiration, au silence.

Sans cet accès-là, nous sommes voué(e)s à rester enfermé(e)s dans notre petit moi. Celui qui a peur. Celui qui a mal. Celui qui subit. Celui qui pense, rumine, ressasse, rejoue les mêmes scènes, s'accroche à son histoire.

Le grand moi, lui, profond, calme, serein, confiant, nous aide à avancer, à grandir, à évoluer.

C'est à celui-là qu'il faudrait parvenir à se connecter, un peu tous les jours, sous peine de rester enfermé(e) dans cet ego, cette personnalité. Seulement. Inconscients.

Il n'est pas question de tuer cet ego, cette personnalité, qui fait ce que nous sommes aussi, et surtout. Car sans cet ego, cette personnalité, nous ne sommes rien. Ou pas conscients d'être.

La prise de conscience de ce que nous sommes ne peut se faire que via cet ego, cette personnalité. Que personne ne nous demande de faire disparaître. Mais plutôt de voir, d'observer. Et puis de jouer ensuite. L'embrasser, l'accepter, l'intégrer. Dans un tout. Cohérent. Lui laisser la place qui est la sienne. Ni plus ni moins.

Utiliser cet ego, cette personnalité, qui fait que nous sommes tous uniques, au service de notre grand et beau moi.

Nous ne sommes rien sans l'un ni sans l'autre.

Ne pas se flageller mais voir ce que nous sommes en profondeur et le laisser remonter à la surface.

Se servir de ce petit moi pour faire rayonner le moi profond.

Nourrir le grand moi chaque jour un peu plus. Son cœur, son âme, son corps.

La Vie est un immense terrain de jeu. Une fois que je sais qui je suis au fond, une fois que je touche du doigt mon essence et l'essence des choses, alors je peux continuer à jouer. Jouer mon rôle. Jouer des rôles.

Comédies. Tragédies. Scènes épiques. Romances. Ce qu'on veut en réalité. Mais par choix. Pas par défaut.

Jouer son rôle en conscience. Voilà tout.

Jouer le rôle principal. Quitte à en choisir un. Aventurier. Comique. Business man. Wonder Woman. Don Juan. Ou que sais-je ?

Décider de ne pas trop se prendre au sérieux quoi qu'il arrive.

Jouer tous les rôles si l'on veut.

On n'a qu'une vie !!! Il faut en profiter à fond !

Alors jouons ! Sans se prendre trop au sérieux .

SALMA   ALAMI

tu es ce que tu penses -- la loi d'attraction -- Facebook

Crédit photo : Benjamin Voros

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Commentaire de Lovyves le 23 novembre 2017 à 21:27

Bonsoir à Tou(te)s
Merci beaucoup, pour cette précision (que je ne qualifierai pas).
Donc " tu es ce que tu penses, la loi d'attraction " est une communauté sur "facebook".
Eh bien! ceci en dit long sur la "dissonance cognitive".
La pensée est elle le produit de l'humain; ou l'humain est il la production de sa pensée ?

Cependant, ceci n'exclut pas du tout l'intérêt pour l'essentiel de ce texte.
A chacun de prendre les "outils" de son choix pour être en sérénité.

J'en profite pour réaffirmer que je m'intéresse à ce qui est dit (ou écrit), peu importe l'auteur (direct ou indirect).

Commentaire de Albatros le 22 novembre 2017 à 22:46
Petite précision :
" tu es ce que tu penses, la loi d'attraction " est une page de Facebook et non la fin du texte que j'ai publié aujourd'hui.
Commentaire de Lovyves le 22 novembre 2017 à 20:41

Oui, très bien : Grâce à la méditation, à la respiration, au silence.
En son corps, tout son corps; pas "quelque part".
En étant plus concis, les belles choses (écrits édifiants) de ce texte, ne seraient pas dissoutes dans de l'inconvenant.

Qui sait "on" ?

"tu es ce que tu penses" (fin du texte).
Oh, que non.
Je ne suis pas ma pensée, Vous n'êtes pas votre pensée.
Aberration.
"Je pense, donc je suis" (Descartes) est à essuyer, à bannir.
Chaque être humain est infiniment plus et infiniment plus important que sa pensée.
Le respect de l'être humain est un absolu; sa pensée : une chose dérisoire.
Toutes nos pensées ne sont issues que du conditionnement de l'humanité dans son Histoire.

Cependant, bien sûr, nos pensées nous influencent.
Donc, une prise de conscience de chaque pensée est très importante; pour soi et les autres.
Surtout pour soi; car les autres, ils ont le 2° accord Toltèque .. à penser !

Commentaire de Evie le 22 novembre 2017 à 19:32
Très beau texte ...merci Albatros .

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