1er réseau francophone de l'épanouissement et du bien-être

A M O U R

"L'amour est une force, l'amour est un sentiment", dit l'homme.
     "L'Amour est un état", nous dit l'esprit.



     Le véritable amour n'est pas un sentiment mais un état de conscience.
     Pour votre évolution, il vaut la peine que vous méditiez sur ce sujet.
     Tant que vous ne connaîtrez pas l'amour comme état de conscience,
     vous serez dans l'obscurité et vous ne comprendrez pas grand-chose à la vie

     Agapè

     Les anciens grecs avaient trois mots pour désigner l'amour:
     eros, philia et agapè. Eros, c'est le désir du bien sensible,
     mais aussi de toute autre objet digne d'attachement, la
     beauté par exemple. La philia c'est l'amour désintéressé qui
     prend soin de l'homme, de l'ami, de la patrie, en qui la
     volonté et la noblesse de coeur ont maîtrisé les passions
     humaines. Le mot agapè a parfois le sens d'Eros, mais plus
     souvent le sens de philia. Le dictionnaire grec donnent les
     sens suivants au mot agapè: 1- Accueillir avec amitié,
     traiter amicalement, 2- se contenter de, être satisfait de, 3-
     Aimer, chérir. Parmi les mots de même souche, on remarque
     agapètikos, tendre, affectueux, agapèteos,qui mérite d'être
     aimé ou désiré, agapèsis, affection, tendresse.

     Éros « l’amour qui prend » : Divinité de l’amour chez les
     grecs (cupidon chez les Latins), Éros est le symbole de
     l’amour dans sa dimension sexuelle.

     Philia « l’amour qui partage, autrement dit qui prend et
     donne » : C’est le souci de l'autre (amitié, solidarité)
     dont parle Aristote.


     Agapè « l’amour qui donne » : C’est la philia poussée
     jusqu’à l’universel en tant que don sans contrepartie dans
     sa dimension mystique ou religieuse.

     par Omraam Mikhaël Aïvanhov
     Le véritable amour est un état de conscience

     Quand l’amour est un état, vous ne pouvez rien faire pour le changer.
     Votre amour rayonne mais il n’emprisonne personne et il ne vous laisse
     pas non plus vous faire emprisonner par quelqu’un d’autre.

     Par contre pour la relation amoureuse, c’est différent.
     Toute relation, quelle soit réelle ou imaginaire est une forme subtile
     d’esclavage psychologique. Soit vous rendez esclave l’autre,
     soit c’est vous qui devenez un esclave.

     Un autre point à noter est que vous ne pouvez rendre esclave quelqu’un
     sans vous-même devenir une sorte d’esclave

Visites : 166

1 membre aime ceci

Article suivant >

Commentaires bienvenus

Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de ‘épanews’.

Rejoindre épanews (c'est gratuit)

Commentaire de christophe-claude le 2 mai 2011 à 10:30: Le premier ennemi de l'homme c'est lui-même.

Et dans tes tempêtes tu restes seul à décider pour toi .

Alors que le Soleil vienne.

Chris

Commentaire de christophe-claude le 1 mai 2011 à 21:18: Oui le pardon ne peut être évité il passe par la signification de notre approche avec l'existence et le temps érode l'édifice imaginaire et démontre si la sève de vie nous irrigues.

Chris

"Vivre, c'est apprendre à aimer." (Abbé Pierre)

Commentaire de Marie K. le 30 Avril 2011 à 7:27: Le véritable Amour implique bien plus que d'aimer ce et ceux qu'on veut bien aimer: c'est pouvoir aimer aussi ses ennemis et ses malheurs.

Aimer ses souffrances et aimer les gens qui vous font souffrir.

Ce n'est pas du masoschisme: c'est comprendre que tout est Amour.

Et qu'il y a un sens à nos souffrances.

Lorsqu'on aime nos souffrances, la douleur s'efface.

Et on comprend alors, qu'on peut agir pour transformer nos souffrances en expériences constructives

qui nous permettent de grandir.

On comprene qu'on ne manque jamais de ressources.

Comme le dit Mikhaël Aïvanhov, le véritable amour est un état de conscience.

Il est au-dessus du Bien et du Mal.

"Love means never having to say you're sorry" (Love Story)

Commentaire de christophe-claude le 28 Avril 2011 à 17:23: ( rire ! )

Commentaire de harmony le 28 Avril 2011 à 17:17: Très joli : l'amour est un état de conscience...

pour le sentiment : le senti... ment (sourire)

Commentaire de Marguerite le 27 Avril 2011 à 21:39: le lâcher prise de notre identité est le fondement de la liberté, en effet, je suis bien d'accord.

Je ne connais pas trop Aïvanhov, mais je sais que Lester Levenson m'a bouleversée tant cela sonnait juste. Sans la moindre fioriture, en somme.

Commentaire de christophe-claude le 27 Avril 2011 à 20:34: Bonjour de Omraam Mikhaël Aïvanhov à Lester Lewison et d'autre enseignement de vie nous amène au lâcher prise d'un fondement illusoire, d'une identité que nous vénérons comme un faux dieu érigé pour nous protéger.

C'est comme les prophéties, tout dépend des points de fuites et de leur perception.

Commentaire de christophe-claude le 27 Avril 2011 à 20:07: Marguerite bonjour, j'ai enfin lus Lester Lewenson que je ne connaissais pas et ceci est touchant ; je te remercie d'être passé déposer ce message.

Commentaire de Marie K. le 27 Avril 2011 à 12:27: La Vie est un sommeil, l'amour en est le rêve.

Et vous aurez vécu, si vous avez aimé.

(Alfred de Musset)