Commentaires bienvenus

Commentaire de Patrick ONNIS le 20 Avril 2015 à 19:23

Merci Colibri pour cette image. Je suis d'accord avec vous "il y a de bons guides" que l'on peut suivre les yeux fermés !

Commentaire de Patrick ONNIS le 20 Avril 2015 à 19:21

Non, c'est pas notre truc, Karen ! Il est marrant votre petit bonhomme qui rigole comme une baleine ; ce n'est pas un chat noir en tout cas ni une poule mouillée !

Commentaire de colibri7 le 20 Avril 2015 à 18:47

Il y a des bergers qui sont de bons guides mais il faut d'abord connaitre leur ames!

ce que l'on oublie souvent c'est que le berger est a l'interieur du mouton c'est notre ressenti intuition, ecoutons le!

Commentaire de Patrick ONNIS le 20 Avril 2015 à 16:07

Merci à toutes pour votre participation. De toute façon nous faisons parti du club des ânes !

Commentaire de Patrick ONNIS le 18 Avril 2015 à 10:18

Merci Karen pour ces illustrations pleines d'humour !

Commentaire de Patrick ONNIS le 18 Avril 2015 à 9:41

Commentaire de Patrick ONNIS le 17 Avril 2015 à 10:11

Oui, Béatrice, j'ai pensé à vous en publiant cette photo et à vos précieuses remarques et interrogations. Vous sentez-vous berger ou mouton ?

Commentaire de Patrick ONNIS le 17 Avril 2015 à 10:01

Steve Jobs, nous dit :

« Vivent les dingues. Les déviants. Les rebelles. Les agitateurs. Ceux qui cherchent midi à quatorze heures. Ceux qui voient les choses autrement... Ceux-là changent les choses. Ils font avancer la race humaine. Et alors que certains pourraient les prendre pour fous, nous les prenons pour des génies… »

Et un auteur inconnu nous parle de la véritable liberté en ces termes :

« Parce qu’ils ne sont pas obligés de servir un tyran, parce qu’ils ne sont pas emprisonnés ou esclaves, les gens se croient libres. Oui, mais intérieurement, qu’en est-il exactement ? Ils sont souvent comme ces animaux retenus à un pieu par une corde de quelques mètres : ils s’imaginent être libres parce que la corde qui les attache les laisse se mouvoir un peu ; mais s’ils veulent aller plus loin, ils découvrent que c’est impossible. Bien sûr, celui qui n’a pas d’autre ambition que de satisfaire ses appétits matériels ou ses désirs grossiers ne se sent pas limité. Mais le jour où il voudra atteindre des régions plus subtiles, plus spirituelles, il ne le pourra pas, et c’est là qu’il sera obligé de constater combien il est esclave, impuissant. La véritable liberté, c’est de n’être retenu par aucune attache, qu’elle soit physique ou, surtout, psychique ».